Des chercheurs canadiens croient que les bleuets pourraient contribuer à prévenir de la maladie de Parkinson, mais aussi à la traiter, rapporte MedicalNewsToday.
Les recherches proposées sont celles de chercheurs terre-neuviens basés à l’Université Memorial. Ces derniers croient que les bleuets pourraient véritablement jouer un rôle important dans la recherche d’un traitement de la maladie.
Plusieurs autres études ont déjà soumis l’idée que le petit fruit, riche en antioxydants, pouvait permettre de prévenir la maladie, mais aucune n’a encore statué sur ses possibles effets médicamenteux.
Si les chercheurs canadiens confirmaient leur théorie, on croit que l’idée pourrait aussi s’appliquer au développement de traitements contre d’autres formes de maladies dégénératives et neurologiques.
Des extraits de bleuets auraient déjà été utilisés et auraient démontré un effet certain sur la longévité lors d’essais cliniques, rapporte l’équipe de chercheurs de Terre-Neuve.
D’autres tests sont à venir, mais les propriétés bienfaitrices du bleuet ne font déjà aucun doute dans l’esprit de plusieurs spécialistes en santé et nutrition.