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Le café serait bénéfique en prévention de la cirrhose

Le café pourrait-il s’avérer un allié en prévention de la cirrhose? Voilà la question à laquelle ont tenté de répondre des chercheurs chinois dans une nouvelle étude, rapporte The National Library of Medicine.

Les chercheurs de l’Université de Singapour concluent vraisemblablement que oui, si l’on se fie aux résultats proposés par l’étude, qui se penchait sur pas moins de 63 000 citoyens âgés de 45 à 74 ans.

L’étude trouvait ses racines en 1993, alors que l’on a demandé aux participants de répondre à des questions concernant leurs habitudes alimentaires et leur historique médical. Suivis sur une période d’en moyenne 15 ans, les sujets ont notamment permis de démontrer l’impact positif du café en prévention de la cirrhose.

On estime que deux tasses de café par jour permettraient une réduction de 66 % des risques de décès par cirrhose causée par l’hépatite non virale, selon les chercheurs chinois en tête de ces travaux.

La cirrhose causée par l’hépatite B ne semble pas répondre de la même façon que celle découlant de la souche non virale cependant.

L’étude ne permet malheureusement pas de prouver une cause à effet de façon officielle, mais s’avère concluante.

Les résultats ont été publiés dans le magazine médical Hepatology.

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Enrayer l’E. coli grâce aux bactériophages

Le MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des bactériophages contre l’E. coli, cette bactérie retrouvée dans certains aliments.

Ce sont des chercheurs de l’Université Purdue qui proposent la théorie et croient que les bactériophages permettraient d’enrayer 99 % des traces d’E. coli dans les aliments visés.

C’est d’ailleurs le résultat obtenu à la suite de l’essai et l’injection de bactériophages dans du brocoli et de la viande de bœuf, rapporte-t-on dans l’étude.

« Le traitement par les “phages” permet de libérer les propriétés naturelles antibactériennes de celles-ci, et de limiter l’E. coli et les autres pathogènes importants transmis par la nourriture », explique le professeur Paul Ebner.

Les résultats sur le brocoli ont même parfois atteint un taux de réussite de 99,9 %, ce qui s’avère une bonne nouvelle.

« Les bactéries ont des virus tout comme nous. On prend ce qui existe déjà dans la nature et on le concentre afin d’avoir un impact sur cette bactérie », conclut M. Ebner.

La souche d’E. coli testée par Ebner et ses collègues aurait fait à elle seule 20 morts et causé plus de 60 000 maladies aux États-Unis, en 2011 seulement.

Les résultats de l’étude de l’Université Purdue ont été publiés dans le Journal of Animal Science.

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Polémique grandissante concernant le vaccin Gardasil

C’est une véritable bombe qui s’abat en santé, alors que des scientifiques ont publié des observations peu flatteuses et inquiétantes concernant le populaire vaccin Gardasil, rapporte notamment Le Devoir.

« Le vaccin n’est pas plus efficace que les autres méthodes de prévention et, de plus, il est porteur de risques », déclare d’emblée la chercheuse Lucija Tomljenovic, basée en Colombie-Britannique.

Même son de cloche du côté de l’Europe et de la France, alors que 25 nouvelles plaintes seraient déposées contre le Gardasil, pourtant largement vanté et distribué chez les jeunes femmes depuis quelques années.

Le vaccin Gardasil promet de protéger du VPH et du cancer de l’utérus, mais les certitudes semblent de plus en plus fragiles en ce qui concerne le produit.

Plusieurs jeunes femmes vaccinées clament que le Gardasil est responsable de leur diagnostic de sclérose en plaques (SEP), de lupus et d’encéphalomyélite aigüe disséminée, un véritable scandale en soi si la chose se vérifie.

Quand on pense que les gouvernements et associations de santé de partout dans le monde, dont au Canada, n’ont pas hésité à faire vacciner des millions de jeunes filles et de femmes, on peut se demander quels sont les processus mis en place pour véritablement protéger la population.

Les spécialistes qui publient leurs observations et inquiétudes sur le Gardasil aimeraient maintenant faire adopter un moratoire sur le produit d’ici à ce qu’on fasse la lumière sur ses effets réels.

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Des médecins s’inquiètent d’éventuels surdiagnostics de la maladie d’Alzheimer

Pourrait-on voir un phénomène de surdiagnostics de la maladie d’Alzheimer dans le futur, notamment avec la hausse des cas potentiels liés au vieillissement global de la population? C’est la conclusion que proposent des médecins britanniques dans une nouvelle étude, rapporte Top Santé.

Ces derniers estiment à 44 millions le nombre de personnes qui souffrent de troubles et déclins cognitifs, un nombre qui pourrait tripler d’ici 2050.

La hausse ouvre donc la porte aux diagnostics de plus en plus hâtifs, ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi puisque la maladie d’Alzheimer peut être ralentie lorsque prise en charge rapidement.

Mais il existe un piège. « Fixer des objectifs pour le nombre de diagnostics de la maladie d’Alzheimer est dangereux. Le désir de faire grimper les taux pourrait pousser certaines personnes à être diagnostiquées à tort », explique le Dr Martin Brunet.

De nombreuses autres maladies et divers autres troubles de santé font également partie de ce qu’on appelle communément la « démence », et les médecins britanniques s’inquiètent de voir les patients qui en souffrent être mal diagnostiqués et, par conséquent, traités.

On estime cependant que la maladie d’Alzheimer représente jusqu’à 80 % des cas reconnus de démence.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Pas de marijuana thérapeutique pour les Québécois

Les patients québécois qui souhaitent se voir prescrire de la marijuana thérapeutique ou qui désirent en consommer légalement pour des raisons de santé devront vraisemblablement encore s’armer de patience.

Le Devoir rapporte et explique en effet que malgré l’implantation d’une nouvelle façon de faire en la matière sur le territoire canadien, le Québec demeure en attente et ne pourra offrir de la marijuana thérapeutique avant un certain temps.

Les médecins ne peuvent donc toujours pas offrir l’option aux patients de façon légale, malgré la mise en place d’une nouvelle règlementation fédérale.

« Ce n’est pas un traitement reconnu. On ne croit pas qu’on puisse nous accuser de restreindre l’accès. On verse une nouvelle responsabilité dans notre cours. On va respecter les lois, mais avec de la rigueur. Il y a dix ans, ça aurait été une fin de non-recevoir. Là, on ouvre un peu la porte », mentionne le président du Collège des médecins du Québec (CMQ), Dr Charles Bernard.

On sent un faible courant de sympathie pour le cannabis thérapeutique chez les spécialistes du Québec, alors que plusieurs études démontrent des bénéfices à l’utilisation de celui-ci. On souhaite cependant éviter du côté du CMQ de précipiter les choses.

Les prescriptions de marijuana médicale au Québec pourraient cependant devenir une réalité d’ici la fin de l’été, toujours selon cette même source. Les médecins peuvent toutefois prescrire légalement des comprimés de cannabinoïdes à leurs patients.

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La mammographie démontre certaines lacunes

Les campagnes de prévention du cancer du sein et de sensibilisation à l’importance de la mammographie chez les femmes abondent depuis quelques années, et le test de dépistage gagne en popularité.

Sans complètement discréditer l’affaire, une nouvelle étude américaine place cependant un bémol et estime que la mammographie démontre certaines lacunes, rapporte par Top Santé. Selon les chercheurs de Harvard qui dirigent cette nouvelle étude, les médecins surestiment le pouvoir de la mammographie, qui ne serait pas aussi précise qu’on voudrait le croire.

Les chercheurs croient plutôt que la mammographie permet de réduire les risques de mortalité due au cancer du sein d’environ 20 %, sans plus. La diminution du risque augmente toutefois à mesure que l’âge d’une femme progresse, dépassant les 30 % après 60 ans.

« Il y a eu récemment beaucoup de confusion autour du dépistage du cancer du sein, et nous avons souhaité mettre tout cela à plat, à l’attention des médecins. Au cours de nos recherches, nous nous sommes rendu compte que les bénéfices des mammographies sont plus petits qu’on le pensait, et que leurs dangers, comme des radiographies à répétition ou des biopsies pour des tumeurs qui s’avèrent non cancéreuses, sont vraiment sous-estimés », précise la Dre Nancy Keating.

L’étude conclut également que certaines femmes seront diagnostiquées et traitées pour une tumeur qui ne serait jamais devenue maligne ou mortelle, une donnée étonnante qui fait réfléchir.

Les conclusions de l’étude de Harvard ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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Un Québécois sur trois ignore sa prescription

Radio-Canada rapporte une statistique étonnante qui porte à réflexion, alors qu’une nouvelle étude affirme que le tiers des Québécois ne respecte pas les ordres du médecin lorsque celui-ci effectue une prescription.

Un Québécois sur trois, donc, ignorerait le traitement prescrit par son médecin, un résultat qui étonne les chercheurs de l’Université McGill en tête de l’étude. Malgré tout, la statistique ressemble au résultat obtenu chez nos voisins du sud, alors que les États-Unis affichent des résultats semblables en la matière.

Les raisons de ces refus d’obtempérer ne sont pas encore connues, puisque l’étude en question ne comprend pas de sondage à cet effet. On ne peut donc que spéculer sur les résultats obtenus par l’épidémiologiste Robyn Tamblyn, mais on peut s’attendre à ce que la peur des médicaments et leurs coûts parfois très élevés soient au cœur du phénomène.

38 % des prescriptions d’antidépresseurs, par exemple, ne seraient pas respectées par les patients, un sommet dans cette étude. Encore plus inquiétant, un nombre élevé de prescriptions de médicaments contre l’insuffisance coronaire, l’hypertension artérielle, le cholestérol et le diabète ne sont également pas respectées.

Les conclusions et statistiques de l’étude ont été publiées dans les Annals of Internal Medicine.

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Le changement d’heure augmente les statistiques d’AVC

Le changement d’heure estival apprécié de tant de gens pourrait-il avoir des conséquences néfastes sur la santé?

C’est ce qui ressort d’une étude américaine sur le sujet, qui estime que le changement d’heure augmente les statistiques d’accident cardiovasculaire de près de 25 %, rapporte Top Santé.

En fait, malgré ses allures de bénéfice, le passage à l’heure d’été aurait une incidence aussi forte, sinon plus, sur le corps que le décalage horaire. Affectant le rythme circadien de l’organisme, plus de gens seraient victimes de crises cardiaques le lundi suivant le changement d’heure.

C’est la conclusion à laquelle arrive le Dr Amneet Sandhu, de l’Université du Colorado, qui publie l’étude.

Celui-ci suggère notamment d’ajuster la période de coucher et de réveil en conséquence, afin de contrer les impacts du changement d’heure sur notre horloge biologique. Des siestes de dix ou quinze minutes durant la journée seraient également bénéfiques.

Les observations et conclusions de l’étude du Dr Sandhu vont dans le même sens que deux études précédemment proposées par l’INSERM.