Catégories
Uncategorized

Un an pour perdre le surplus de poids de votre grossesse

Des chercheurs de l’hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada, ont observé la courbe de perte de poids de 300 femmes, suivant leur accouchement. Ils ont réalisé que la perte de poids débute habituellement 3 mois après la grossesse et peut s’échelonner, normalement, jusqu’à 12 mois.

Ce fut le cas, rapporte bbc.news, pour 75 % des femmes observées. Le quart des femmes qui n’ont pas réussi à perdre l’excès de poids à l’intérieur d’un an se sont avérées plus à risque de développer des problèmes de santé. Certaines d’entre elles avaient même repris des livres.

Selon l’équipe menée par Dr Ravi Retnakaran, ce 25 % de femmes présentait une pression plus élevée, des risques de développer du diabète de type 2, ainsi que des problèmes cardiovasculaires. De plus, elles augmentaient les chances d’être en surpoids 15 ans plus tard.

Retnakaran affirme qu’il est normal pour une femme de prendre un surplus de 20 % de son poids d’origine pendant la grossesse. Pour perdre ces livres en trop, il est essentiel de faire des activités physiques dès que possible.

Catégories
Uncategorized

Santé : Les assurances privées laissent les consommateurs sur leur faim

Plusieurs consommateurs et clients qui souscrivent à des régimes d’assurances privés en santé, que ce soit de façon personnelle ou via l’employeur, commencent à décrier le faible rapport qualité-prix observable depuis un bon moment.

Plus chères et moins généreuses, plusieurs polices d’assurance laissent les consommateurs sur leur faim, alors que ceux-ci découvrent souvent sur le tard qu’ils ne sont pas couverts pour un traitement ou besoin spécifique.

À quoi bon souscrire et payer des sommes respectables mensuellement si on ne gagne pas de tranquillité d’esprit au final? Voilà la question qui se pose.

C’est Le Devoir qui lance le débat, en rapportant l’étude et l’analyse d’un chercheur de l’Université de Colombie-Britannique, Michael Law. Ce dernier a calculé la différence observable entre les cotisations moyennes et le retour sur l’investissement d’un consommateur en soins de santé, et ce, au cours des 20 dernières années.

En 1994, le client moyen voyait sa police d’assurance privée lui remettre 92 % de ses cotisations sous forme de couverture et de soins de santé, alors que la moyenne actuelle ne se situerait qu’autour de 74 %.

« Imaginez si seulement 74 % de l’argent du ministère de la Santé servait à donner des soins de santé. Les gens descendraient dans la rue pour protester », croit Michael Law.

On estime à 4,4 milliards de dollars l’argent investi par les Canadiens dans des régimes d’assurance maladie privés sans aucun retour sous forme de soins.

Catégories
Uncategorized

La protéine 73 et la fertilité masculine

Des chercheurs américains et allemands expliquent le lien qui existe entre une protéine spécifique et la capacité de reproduction masculine dans une nouvelle étude fort intéressante, rapporte Top Santé.

Les chercheurs de l’Université Göttingen en Allemagne et de l’Université Stony Brook de New York ont découvert qu’une protéine appelée P73 est nécessaire au bon fonctionnement du système reproducteur masculin, après avoir mené une série de tests et d’analyses sur des souris.

« Lors de la reproduction, deux types de protéines interviennent. La famille des protéines 53 et celle des protéines 63 qui, chez les mammifères, détruit les œufs et le sperme qui présentent des défauts et dommages à l’ADN. Nous avons constaté que sans la protéine 73, les spermatozoïdes n’étaient pas viables », peut-on lire dans les conclusions de l’étude allemande et américaine.

Si ces révélations ne veulent possiblement pas dire grand-chose pour commun des mortels, il est intéressant d’apprendre que celles-ci pourraient mener à de nouvelles possibilités en matière de traitement de l’infertilité masculine.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Cell Biology.

Catégories
Uncategorized

Les hausses salariales des médecins reportées en juin

Les médecins du Québec devront patienter encore quelques mois avant de bénéficier des hausses salariales prévues, rapporte Le Devoir.

Ce nouveau report est dû à la présente campagne électorale, qui brise le rythme des annonces et des actions gouvernementales, comme on peut le comprendre.

On estime à 540 millions de dollars la hausse totale que doivent recevoir les médecins du Québec au cours de l’année 2014-2015. Ces hausses devaient prendre effet le 1er avril 2014, mais il faudra maintenant attendre jusqu’au premier juin.

« Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) et les fédérations ont décidé de suspendre l’application des nouvelles modalités de l’entente jusqu’au 1er juin, le temps que les deux parties se rencontrent », explique la porte-parole du MSSS, Stéphanie Ménard.

De son côté, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) ne semble pas s’offusquer outre mesure de cette annonce et comprend les circonstances actuelles.

« On ne veut pas faire de politique, alors nous avons convenu qu’il serait plus simple de retarder l’entrée en vigueur des hausses de quelques semaines, ce qui nous permettra de sortir de l’horizon électoral », mentionne Nicole Pelletier de la FMOQ.

La hausse de salaire des médecins fait par ailleurs son apparition dans les débats électoraux, alors que plusieurs chefs se sont lancé la balle sur le sujet au cours des dernières semaines.

Catégories
Uncategorized

Invalidité au travail : Le mal de dos en serait la cause principale

Les maux de dos seraient désormais la principale cause d’invalidité professionnelle dans le monde, selon Top Santé, qui rapporte la publication de deux études sur le sujet.

Ces deux études dites croisées sont le fruit des efforts de chercheurs américains et australiens, qui se sont penchés sur plusieurs autres recherches en la matière effectuées dans pas moins de 187 pays dans le monde.

Les résultats semblent clairs pour le Dr Damien Hoy de l’Université du Queensland, en Australie, et le Dr Roy Burstein de l’Institute for Health Metrics and Evaluation, à l’Université de Washington.

Les deux spécialistes constatent que les maux de dos sont devenus la première cause qui explique les requêtes en invalidité de la part des travailleurs sur la planète.

« La lombalgie entraine une invalidité globale et ces douleurs dans le dos ont tendance à augmenter avec l’âge. Avec le vieillissement de la population, il est urgent de poursuivre les recherches pour mieux comprendre les lombalgies et trouver des traitements efficaces », croit par ailleurs le Dr Hoy.

Les pires statistiques en matière d’invalidité due aux maux de dos et à la lombalgie seraient observables en Afrique du Nord, en Europe et au Moyen-Orient.

Catégories
Uncategorized

La pollution de l’air serait responsable d’au moins 7 millions de décès

Top Santé rapporte les conclusions émises par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans un rapport qui fait état d’un lourd bilan en matière de pollution de l’air.

Selon les données de l’OMS, la pollution de l’air serait responsable d’au moins 7 millions de décès depuis 2012, un chiffre astronomique qui a de quoi faire réfléchir. Loin de vouloir ralentir, le phénomène serait responsable d’un décès sur huit dans le monde, toujours selon l’OMS.

Les pires conséquences de la pollution seraient observables dans certains pays de l’Asie du Sud-Est, qui compteraient à eux seuls 5,9 millions de morts prématurées liées à la pollution.

Un bilan trop lourd qui touche aussi les femmes et enfants de ces nations aux prises avec le fléau de la pollution, et qui fait dire à l’OMS que le moment est venu d’agir.

Des solutions doivent être étudiées et appliquées, explique-t-on dans le rapport, par exemple une diminution de l’utilisation du diesel et de nouvelles règles en matière de circulation.

La décision repose toutefois entre les mains des dirigeants des pays concernés, qui ne sont pas toujours favorables à de grands changements écologiques.

Catégories
Uncategorized

Le stress s’avère l’ennemi de la fertilité

Le stress est une porte ouverte sur de nombreux ennuis de santé, qu’ils soient physiques ou psychologiques. Plusieurs études démontrent les impacts du stress sur la santé, qui peut même influencer la longévité d’un individu.

Une nouvelle étude américaine trace cette fois un parallèle entre le stress et l’infertilité, rapporte Santé Log, et semble confirmer la théorie précédemment avancée par une étude en provenance du Royaume-Uni.

L’étude de l’Université d’Ohio State analysait en effet un groupe de femmes afin de vérifier la corrélation possible, et a estimé à 29 % la réduction des chances d’une femme de tomber enceinte lorsque celle-ci présente des marqueurs biologiques de stress importants.

Les spécialistes croient donc que malgré la pression et le stress qui surgissent souvent lors de périodes de vaines tentatives de procréation, les couples ne doivent pas céder à la panique ou à l’angoisse, et s’assurer de demeurer étroitement liés.

Les conclusions complètes de l’étude américaine sur le stress et l’infertilité ont été publiées dans le magazine Human Reproduction.

Catégories
Uncategorized

March Madness : Les nombreux bienfaits du basketball

Alors que s’entame la folie du March Madness aux États-Unis, période dans laquelle s’affrontent les meilleures équipes collégiales ou universitaires au pays dans un tournoi fort en rebondissements, un expert en profite pour vanter les mérites du basketball sur la santé.

On le sait, l’activité physique est primordiale à une bonne santé. Cependant, plusieurs n’aiment pas l’entraînement en gymnase ou d’autres exercices plus traditionnels. Le sport d’équipe ou organisé peut alors devenir une superbe solution, proposant plusieurs avantages pour la santé, en plus de son aspect social.

Selon le professeur Tim Howell de l’Université de Saint-Louis, le basketball en serait le meilleur exemple. Howell vante les capacités de son sport à développer l’endurance cardiovasculaire, et ainsi réduire les risques de troubles cardiaques, rapporte The National Library of Medicine.

Le basketball permettrait aussi de développer une plus grande force au haut et au bas du corps, vu les nombreux mouvements requis par le jeu. Perte de poids, jusqu’à 700 calories à l’heure, un meilleur équilibre et une meilleure santé des os ne sont que quelques-uns des autres avantages cités par Tim Howell.

En clair, M. Howell est convaincu de la pertinence du basketball sur la santé, et il a parfaitement raison. D’autres sports d’équipe comme le hockey permettent le même genre de résultats, mais la simplicité du basketball et de l’équipement permettent une plus grande accessibilité.

Catégories
Uncategorized

La vitamine D et la dépression : des études contradictoires

Les études qui s’attardent aux effets de la vitamine D sur la santé mentale et les symptômes de la dépression sont pour le moins contradictoires. Après une première vague d’études qui avaient démontré un lien entre la consommation de vitamine D et les risques de dépression, une seconde vague venait invalider l’énoncé.

Cette deuxième vague d’études laissait même entendre que la vitamine D pouvait en fait réduire les symptômes de dépression, de quoi rendre le tout franchement confus pour le consommateur et le patient moyen.

Pour ajouter à cela, Medical News Today rapporte la publication d’une toute nouvelle étude sur le sujet, qui semble trancher le débat. Selon cette recherche en provenance de l’Université Columbia (New York), la vitamine D ne réduit pas les symptômes de dépression et pourrait n’avoir aucun impact sur la santé mentale.

Le Dr Jonathan A. Schaffer, qui dirige les travaux à Columbia, estime que les essais précédents étaient presque tous « caractérisés par une limitation de la méthodologie ».

Le Dr Schaffer affirme également que malgré qu’il « soit tentant » de tracer un tel lien, de plus vastes études sur le sujet devront être conduites. Pour l’instant, rien ne permettrait d’affirmer un lien entre la vitamine D et la dépression.

Les conclusions du Dr Schaffer ont été publiées dans le journal Psychosomatic Medicine.

Catégories
Uncategorized

L’odorat humain plus puissant qu’on le croit

Nous avons tendance à sous-estimer la puissance de notre odorat, semble-t-il, si l’on se fie aux informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude contredit de précédentes recherches qui ont estimé que l’odorat humain pouvait discerner jusqu’à 10 000 odeurs différentes, concluant plutôt que nos capacités olfactives pouvaient plutôt s’étendre jusqu’à un trillion de possibilités.

« Il a souvent été dit que les humains ne pouvaient distinguer que 10 000 différentes odeurs », confirme le coauteur de l’étude, M. Andreas Keller, de l’Université Rockefeller de New York.

Or, si l’étude de Keller est juste et que nous sommes en mesure de discerner un trillion de variantes, il faudra alors considérer que l’odorat est un sens plus puissant que notre ouïe ou encore notre vue.

Pourtant, l’humain semble résolu à considérer son odorat moindre et à sous-estimer ce sens, souvent en se comparant aux capacités de certains animaux, par exemple.

« On a tendance à ne pas faire confiance à notre odorat parce qu’on est mauvais pour identifier et nommer des odeurs. Mais nommer et identifier ne sont pas les raisons pour lesquelles notre système olfactif a évolué. Au lieu de cela, il évolue pour nous permettre de discriminer des odeurs très différentes, comme le moindre indice qu’un aliment est périmé. Notre étude montre que nous sommes excellents à cette tâche », résume Andreas Keller.

Les résultats de cette étude sur l’odorat humain sont présentés dans le magazine Science.