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L’hormone de l’amour en traitement de l’anorexie?

L’hormone de l’amour peut-elle venir en aide aux personnes aux prises avec des troubles alimentaires comme l’anorexie? C’est ce que suggère une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs britanniques ont testé une hormone appelée l’ocytocine sur des patients souffrant d’anorexie.

L’étude s’est effectuée avec un groupe test de 64 sujets, dont 31 ont reçu de l’ocytocine ou un placébo. 33 personnes constituaient le groupe test de sujets « sains », c’est-à-dire sans trouble alimentaire.

Les résultats sont étonnants, alors qu’une série d’images proposée aux patients a démontré que ces derniers semblaient moins concentrés sur les aspects négatifs de la nourriture et moins anxieux qu’à l’habitude.

L’hormone associée au plaisir et au sentiment amoureux pourrait donc bel et bien aider les personnes anorexiques, croit Janet Treasure, auteure principale de l’étude.

« C’est une recherche préliminaire avec un petit nombre de participants, mais il est grandement excitant de voir le potentiel de ce traitement. On aura besoin d’essais plus larges avant d’entamer des changements dans la manière dont les patients sont traités », explique Mme Treasure.

Les résultats de l’étude britannique ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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Près d’un homme dépressif sur deux préfère la psychothérapie

Avec la hausse vertigineuse de la consommation de médicaments au Québec et au Canada, qui vient d’ailleurs de fracasser un record pour 2012-2013, on s’inquiète de plus en plus du phénomène de surconsommation.

C’est particulièrement vrai en ce qui concerne les antidépresseurs, que l’on semble enclin à prescrire dans plusieurs cas. Or, une nouvelle étude trace un portrait différent de la réalité, rapporte Radio-Canada.

La recherche dévoile qu’un homme sur deux atteint de dépression aimerait mieux un traitement par psychothérapie plutôt que par médication, et donc par antidépresseurs. Les chiffres sont encore plus éloquents du côté des femmes, alors que trois femmes sur quatre opteraient elles aussi pour la thérapie et les soins psychologiques.

C’est après avoir sondé 88 patients que les chercheurs ont pu en arriver à cette conclusion, qui trace un portrait différent de ce que la perception populaire nous propose en ce moment.

Encore faut-il que les médecins soient à l’écoute de ces demandes, et qu’ils ne soient pas trop rapides à sortir le carnet de prescription…

L’étude rapportée a été publiée dans le magazine Journal of Affective Disorders.

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Les alternatives au lait traditionnel

Le lait dit « traditionnel », c’est-à-dire qu’il provient d’animaux, se fait des ennemis depuis quelques années, notamment avec la hausse progressive des cas d’allergies alimentaires aux produits laitiers.

Mais plusieurs personnes doutent également des bienfaits véritables du lait sur l’organisme, à tout le moins lorsque consommé en grande quantité. Cette crainte est partagée et alimentée par quelques études publiées sur le sujet au cours des dernières années.

Mais quelles sont les alternatives à ce lait animal? Medical News Today en rapporte quelques-unes, certaines populaires et d’autres plus méconnues.

Du nombre, le lait de soya et d’amandes, le lait de riz et de noix de coco sont probablement les plus connus. Ces laits, qui n’en sont pas, sont vantés pour leurs apports en vitamines et minéraux, et permettent des apports en calcium.

Mais il existe aussi des laits à base de quinoa, d’avoine, de pommes de terre, aux grains entiers et même de tournesol, qui possèdent des avantages évidents pour la santé.

Malgré toutes ces options et les opinions divergentes sur le lait animal, on conseille de consulter un médecin avant d’arrêter définitivement les produits laitiers traditionnels.

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Leucémie : Un traitement expérimental pourrait augmenter les chances de survie

The National Library of Medicine rapporte la création d’un nouveau type de traitement contre la leucémie, qui semble faire ses preuves à la suite des premiers essais expérimentaux.

Baptisé l’idelalisib, le traitement sous forme de médicament permettrait d’augmenter considérablement les chances de survie à la maladie, croient des chercheurs de l’Université de Californie.

De plus, le traitement s’effectuerait sans chimiothérapie et causerait donc moins de dommages et de problèmes aux patients qui le subiraient.

« Je crois que si l’idelalisib est approuvé, les patients ont une chance de voir une incroyable extension de leurs chances de survivre en bonne santé », explique par ailleurs David Fruman, professeur à UCLA.

D’autres experts ont déjà qualifié ces résultats de « fantastiques », et on sent un véritable enthousiasme chez des professionnels pourtant largement modérés la plupart du temps.

On attend donc maintenant les conclusions de la FDA, qui doit évaluer le produit et donner son aval au lancement.

Les résultats et analyses concernant l’idelalisib ont été publiés dans le New England Journal of Medicine.

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Les ventes de médicaments toujours en hausse au Canada

Rien n’indique que les Canadiens consomment moins ou tentent de consommer moins de médicaments qu’auparavant, alors que les statistiques indiquent une nouvelle hausse de consommation et de ventes de ces produits pharmaceutiques.

Ces révélations sont celles de l’Institut canadien d’information sur la santé, qui publie une nouvelle fois son rapport en matière de santé au Canada. On note une hausse considérable et un nouveau record de ventes de médicaments au pays, avec des chiffres avoisinant les 30 millions de dollars.

La seule « bonne nouvelle », cependant, se cache du côté de statistiques de dépenses en médicaments des citoyens, qui bénéficient largement de l’accès aux médicaments génériques sur le marché.

« Si on regarde l’Alberta, par exemple, la contribution des médicaments génériques a augmenté beaucoup au cours des dix dernières années. C’était autour de 20 %, il y a une dizaine d’années, pour arriver maintenant à plus de 40 % au niveau des médicaments génériques. Cette situation-là varie d’une province à l’autre », résume Claude Lemay, porte-parole de l’Institut canadien d’information sur la santé, en entrevue à Radio-Canada.

M. Lemay explique aussi que le changement d’attitude des gouvernements envers les médicaments génériques y est pour quelque chose.

Malgré tout, il faut admettre que ce nouveau record de ventes demeure inquiétant, et qu’une sensibilisation en matière de surconsommation de médicaments reste à faire au pays.

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Les kiosques de nourriture gagneraient à intégrer des aliments santé

Une nouvelle étude constate des effets bénéfiques à l’ajout d’aliments santé au sein de certains kiosques de nourriture d’universités américaines, rapporte le Medical News Today.

Appelés par des chercheurs de l’université à intégrer de la nourriture santé au kiosque du booster club de l’équipe de football locale, les membres de l’organisation ont décidé de relever le défi.

Une décision qui se serait avérée payante pour l’école de Muscatine en Iowa, qui a vu ses revenus à la caisse de son kiosque de nourriture non pas dégringoler, mais bien augmenter de manière intéressante.

On signale une hausse des ventes de près de 4 % la première année, mais il y a plus. En effet, on constate aussi que les aliments santé ont compté pour 9,2 % des ventes totales de nourriture cette année-là.

Les organisateurs affirment également que les parents, étudiants et joueurs de l’Université d’Iowa se sont massivement dits contents de la manœuvre, et de cet accès à de meilleurs aliments lors des matchs et des activités de l’équipe et de l’école.

Comme quoi l’offre santé n’est pas nécessairement impopulaire, et qu’une meilleure éducation en matière d’alimentation peut bénéficier à toutes les parties impliquées.

Les résultats de cet essai, par ailleurs effectué au cours de l’année 2008-2009, ont été révélés dans le Journal of Public Health.

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Des enfants souffrant d’obésité morbide retirés des familles par les services sociaux

C’est une question à laquelle les parents de 74 enfants du Royaume-Uni n’ont pas eu le loisir de répondre. Dans le but de mettre un terme au phénomène d’obésité morbide chez les enfants, qui devient une réelle épidémie, les services sociaux ont pris le relai.

Cette procédure a lieu depuis les 5 dernières années. Les données démontrent que le poids de 183 enfants de moins de 11 ans en Angleterre, en Écosse et au Pays de Galles dépassait les 100 kg.

En plus, 8 d’entre eux pesaient au-delà de 127 kg, et le plus obèse affichait 147 kg sur la balance, selon un rapport publié, rapporte mid-day.com.

Selon les informations transmises par le Centre d’information sur la protection sociale, il y a eu une augmentation de 12 % du nombre d’enfants britanniques obèses de moins de 16 ans ayant été admis à l’urgence à cause de leur surpoids.

Parmi les enfants hospitalisés, entre 26 et 46 ont été pris en charge immédiatement par les services sociaux.

Un représentant du service d’éducation a déclaré : « Il ne s’agit pas de quelques livres en trop. Il faut protéger ces enfants qui sont face à de réels problèmes de santé pouvant mettre leur vie en danger ».

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La génétique permet désormais de créer des bébés presque parfaits

Qu’en serait-il si vous pouviez choisir les traits de votre futur enfant, la couleur de ses cheveux et de ses yeux, ses talents et ses habiletés naturelles? Le feriez-vous, demande Parentsociety.com.

Si cela ressemble à de la science-fiction, ce n’en est pas. La science y est presque. Désormais, il est possible pour les parents de choisir le sexe de l’embryon et de vérifier les défectuosités génétiques. Ainsi, vous pouvez « effacer » les prédispositions au diabète, aux maladies cardiaques ou encore au cancer.

Lors de la formation des embryons in vitro, s’il y a détection de ces précurseurs génétiques, les médecins spécialistes peuvent remplacer l’ADN. On appelle ce procédé la thérapie des cellules germinales.

Ces nouvelles possibilités engendrent de nombreuses questions, notamment quant à l’éthique de la science. Il s’agit ni plus ni moins de manipuler la génétique dans le but de créer des êtres supérieurs, parfaits.

Pour le directeur général du Center for Genetics and Society, Richard Hayes, il n’est pas question d’utiliser ces possibilités dans un but esthétique. Sinon, on se prend « pour Dieu », et leur objectif consiste à permettre des enfants plus en santé.

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Un regroupement canadien veut un meilleur accès aux médicaments contre le cancer

Un regroupement canadien, la coalition CanCertitude, va de l’avant et demande un accès plus universel aux médicaments pour les personnes atteintes de cancer, rapporte Radio-Canada.

CanCertitude, qui regroupe près de trente organismes, croit que les patients ontariens et des provinces de l’Atlantique, notamment, n’ont pas droit au même traitement que les autres, et affirme que la couverture santé n’est pas adéquate dans bien des cas.

On sait que les traitements par médicaments dans les cas de cancer se chiffrent souvent dans les milliers de dollars, un stress que les patients n’ont pas besoin de subir en période déjà extrêmement tendue.

Sauf que pour plusieurs spécialistes, à commencer par l’oncologue ontarien Sandy Sehdev, l’avenir de la lutte au cancer passe justement par des traitements oraux. Une amélioration de l’accès aux médicaments s’impose donc.

Les traitements intraveineux contre le cancer sont présentement pris en charge par l’État, parce qu’ils sont offerts en centre hospitalier.

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Les oméga-3 favoriseraient un sommeil de qualité

Alors que l’on ne croyait plus trouver d’avantages aux oméga-3, voilà qu’une nouvelle étude laisse entrevoir la possibilité que la prise de suppléments pourrait aussi favoriser un sommeil de qualité.

Principalement retrouvés dans les poissons et fruits de mer, les oméga-3 sont vantés depuis quelques années pour leurs nombreux bienfaits potentiels sur la santé. L’une de ces propriétés pourrait-elle être un meilleur sommeil?

C’est ce que semblent croire des chercheurs de l’Université d’Oxford, rapporte MedicalNewsToday, qui ont testé la théorie sur des enfants aux prises avec des troubles du sommeil, notamment.

Un groupe de 300 jeunes sujets ont donc été appelés à consommer 600 mg d’oméga-3 sur une période de 16 semaines afin d’évaluer les effets. Les résultats semblent probants, alors que l’on note une moyenne de près d’une heure de sommeil supplémentaire par nuit chez plusieurs enfants.

De plus, les sujets ont démontré un sommeil de plus grande qualité, de moindres mouvements et des nuits plus réparatrices.

D’autres études et recherches sont à venir dans ce dossier qui s’annonce prometteur, notamment pour évaluer si des résultats similaires peuvent être confirmés chez les adultes.

Les résultats de l’étude d’Oxford ont été publiés dans le Journal of Sleep Research.