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Trop de protéines peuvent affecter la santé des cinquantenaires

Les gens qui traversent le cap de la quarantaine et de la cinquantaine devraient surveiller leurs apports en protéines dans leur alimentation, si l’on se fie aux conclusions proposées dans une nouvelle étude.

L’étude en question, rapportée par The National Library of Medicine, estime qu’une diète à forte teneur en protéines peut s’avérer dommageable pour la santé des personnes en « milieu de vie », soit entre 45 et 60 ans.

Passé cet âge, étrangement, il semble que les protéines redeviennent un allié de la santé, comme le confirmait d’ailleurs une récente étude sur le sujet.

« La recherche démontre qu’une diète faible en protéines en milieu de vie peut être utile pour prévenir du cancer et de la mortalité en général. Cependant, nous proposons également qu’à un âge plus avancé, il peut être important d’éviter une diète faible en protéines afin de maintenir un poids santé », explique la coauteure de l’étude, Eileen Crimmins, de l’Université de la Californie du Sud.

En clair, l’humain doit s’adapter selon son groupe d’âge en matière de santé, et cette nouvelle étude confirme que les besoins et dangers du corps humain évoluent avec les autres facteurs lors du vieillissement.

Les conclusions de l’étude californienne ont été publiées dans le magazine Cell Metabolism.

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Une crise de colère augmente les risques de crise cardiaque

Apprendre que le fait de piquer une colère peut causer une crise cardiaque n’est pas une nouvelle qui en surprendra plusieurs, mais il est intéressant de savoir qu’il existe encore un risque accru au cours des heures suivant une colère.

Ces observations sont celles publiées dans une étude en provenance de Harvard (School of Public Health), menée par l’équipe de la Dre Elizabeth Mostofsky.

Cette dernière explique que même si les risques de crise cardiaque causée par un seul épisode isolé de colère demeurent faibles, il est important de savoir que ces risques demeurent plusieurs heures après l’incident. Et plus une personne est colérique, plus elle serait sujette à ce type d’accident cardiovasculaire.

L’arythmie cardiaque peut aussi devenir un problème chez les personnes colériques, et on estime le pic de risque de crise cardiaque à environ deux heures suivant un épisode de colère intense, rapporte The National Library of Medicine.

Dre Mostofsky croit qu’il est somme toute important de questionner les patients sur leurs émotions et leur relation avec la colère, afin de prévenir les risques chez les patients plus colériques ou stressés.

Les observations de l’étude ont été publiées dans l’European Heart Journal.

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L’Abitibi passe à la vitesse supérieure dans ses laboratoires

La région de l’Abitibi-Témiscamingue sert une leçon d’efficacité à ses homologues et au système de santé québécois en mettant de l’avant un plan d’action visant à améliorer l’efficacité de ses laboratoires d’analyse, rapporte Radio-Canada.

Ce plan d’action porte le nom de projet Optilab, qui indique bien les buts de celui-ci. On cherche ainsi du côté des spécialistes de l’Abitibi-Témiscamingue à maximiser la performance des laboratoires médicaux, mais aussi à réduire les frais d’exploitation.

« On espère réduire le nombre d’analyses à faire, on espère réduire le nombre d’appareils disparates par une certaine révision et mise à niveau du parc d’équipement et une meilleure efficience au niveau de la gestion des laboratoires. Vous avez cinq CSSS, si chacun fait ses protocoles, donc, vous avez cinq personnes qui écrivent des protocoles. Alors, il y a une certaine économie d’échelle à aller chercher là », résume bien la directrice générale du CSSS Les Eskers de l’Abitime, Mme Hélène Desjardins.

Quelques inquiétudes se sont fait entendre, notamment du côté du Dr Gaetan Barrette, mais Mme Desjardins et son collègue Yves Jalbert, médecin et directeur de la biovigilance et de la biologie médicale au ministère de la Santé et des Services sociaux, se font toutefois rassurants.

Les directeurs de chaque CSSS de l’Abitibi-Témiscamingue travaillent conjointement à l’élaboration du projet Optilab depuis 2012.

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Le premier patient au coeur artificiel succombe après 75 jours

Quelle tristesse que cette nouvelle rapportée par plusieurs médias et quotidiens, dont Top Santé, indiquant que le tout premier patient à recevoir une greffe de cœur artificiel vient de perdre la vie.

L’opération n’aura donc fonctionné que pour une période de 75 jours, le tout premier cœur Carmat ayant pourtant été transplanté avec succès, mais avec la triste conclusion que l’on connait maintenant.

Malgré l’âge avancé et respectable du patient en question, qui avait 76 ans, l’équipe médicale de l’hôpital Georges Pompidou croit qu’il est trop tôt pour tirer des conclusions hâtives.

Des tests seront effectués afin de connaître la raison du décès de l’homme, qui aura passé à l’histoire avant de perdre la vie.

« Les causes ne pourront être connues qu’après l’analyse approfondie des nombreuses données médicales et techniques enregistrées », explique l’équipe française dans un communiqué.

Plusieurs spécialistes croient cependant que cette première expérience s’avère un pas de géant et qu’elle sera certainement le premier jalon d’une longue série de percées médicales dans le domaine de la transplantation cardiaque et de la cardiologie.

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La réforme alimentaire scolaire aux États-Unis porte ses fruits

Il semble que la campagne et la réforme en alimentation dans les écoles américaines aient commencé à porter leurs fruits, alors que l’on recense une hausse de la consommation des fruits et légumes chez les étudiants.

C’est à tout le moins les conclusions proposées par une étude en provenance de la Harvard School of Public Health, à Boston, qui suggère un premier succès pour la réforme qui avait pris naissance en 2012.

On se souviendra que Michele Obama y avait été d’un intense plaidoyer en faveur d’une amélioration de la nourriture proposée dans les écoles, mais surtout d’un accès bonifié aux fruits, légumes et aliments sains pour les jeunes moins favorisés.

Une réforme officielle de la part de l’US Department of Agriculture (USDA) avait alors été proposée à l’automne 2012, rappelle MedicalNewsToday.

Selon les recherches effectuées par l’équipe de Harvard, Juliana Cohen en tête, c’est pas moins de 32 millions d’étudiants qui mangent un repas à l’école chaque jour. Du lot, un grand nombre d’étudiants issus de familles moins fortunées vont chercher 50 % de leur apport calorique quotidien à l’intérieur des murs de leur école.

Cohen et son équipe se réjouissent donc maintenant de constater que la consommation de fruits et de légumes est en hausse de près de 23 % chez ces étudiants.

Un premier pas de franchi, donc, dans la lutte sans relâche que tentent de mener les autorités contre le fléau de l’obésité en Amérique du Nord.

Les conclusions de la recherche en provenance de Harvard ont été publiées dans l’American Journal of Preventive Medicine.

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Un virus vieux de 30 000 ans effectue son grand retour

C’est en Sibérie que des spécialistes ont fait une importante et étrange découverte, selon ce que rapporte Santé Log et Top Santé, soit celle d’un virus vieux de plusieurs dizaines de milliers d’années.

Il s’agit du Pithovirus, découvert dans le froid et le sol gelé sibérien, qui serait resté bien tranquille et à l’abri des regards et des dangers durant 30 000 ans, jusqu’à ce que des scientifiques français le retrouvent.

L’équipe de chercheurs et de scientifiques du CNRS de Marseille ne cache d’ailleurs pas son enthousiasme, mais aussi son inquiétude face à cette découverte aux allures historiques.

« La démonstration que des virus enfouis dans le sol il y a plus de 30 000 ans peuvent survivre et être encore infectieux suggère que la fonte du pergélisol due au réchauffement climatique et l’exploitation minière et industrielle des régions arctiques pourraient comporter des risques pour la santé publique », explique le spécialiste Jean-Michel Claverie, du CNRS.

En clair, les spécialistes s’inquiètent de voir quelques horreurs antiques revenir nous hanter à mesure que la température globale de la planète augmentera, ce qui n’indique rien de bon.

Les chercheurs du CNRS vont maintenant concentrer leurs travaux afin d’identifier de possibles menaces éventuelles, notamment celle de la variole, disparue depuis 1977.

Les conclusions et les détails de cette découverte par l’équipe marseillaise du CNRS ont été publiés dans les Actes de l’Académie nationale des sciences américaine (PNAS).

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Le froid canadien pourrait s’avérer bénéfique pour la santé

Le froid nordique du Canada et du Québec est souvent bien difficile à traverser et à supporter, mais pourrait bien au moins s’avérer bénéfique pour la santé, révèle une recherche.

C’est une étude en provenance de l’Université d’Ottawa qui propose cette théorie, voulant que le froid hivernal du Canada puisse avoir une incidence positive sur certains aspects de la santé, notamment en prévention du cancer.

La raison de cette possible réaction de l’organisme au froid serait due à la production d’une protéine du nom d’Adiponectine, capable de prévenir plus efficacement un individu contre le cancer.

Les chercheurs de la Faculté des Sciences de la santé de l’Université d’Ottawa, le professeur Pascal Imbeault en tête, conseillent donc vivement à la population de passer quotidiennement quelques minutes à l’extérieur.

L’hiver rigoureux que traversent les Québécois et Canadiens pourrait donc au moins apporter une bonne nouvelle, selon les chercheurs.

L’étude tombe cependant à un bien mauvais moment pour convaincre les gens de mettre le nez dehors, alors qu’une vague de froid intense est prévue au cours des prochains jours. 

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Une diète calorique en traitement de la maladie de Lou Gehrig ?

Rares sont les patients qui se voient prescrire une nouvelle diète à forte teneur calorique et en glucides.

C’est cependant ce qui pourrait se produire dans le cas de certains patients atteints de la maladie de Lou Gehrig, ou sclérose amyotrophique latérale, selon des informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude trace en effet un bilan positif de certains essais effectués par des spécialistes, et qui ont testé les impacts d’une diète à forte teneur en calories et en glucides sur des patients atteints de la maladie de Lou Gehrig.

Ces derniers auraient affiché une certaine amélioration de leur état de santé, tout en reprenant un peu de poids perdu à cause de la difficile maladie.

« Donner plus d’énergie à nos patients qu’ils n’en brûlent ou n’en ont de besoin peut contribuer à prévenir la progression de la maladie, et pourrait même augmenter les taux de survie. », explique avec espoir Dr Anne-Marie Wills, chercheuse principale de l’étude.

D’autres tests devront être effectués afin de voir les possibles applications futures d’une diète calorique à forte teneur en glucides en traitement de la maladie de Lou Gehrig.

Les résultats de ces tests préliminaires ont été publiés dans l’édition en ligne du magazine Lancet

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Nouveau traitement prometteur contre le cancer de la prostate

Une lueur d’espoir nous provient d’Europe en matière de traitement du cancer de la prostate, rapporte Top Santé.

C’est qu’une équipe de spécialistes d’une clinique de Nantes mettra à l’essai un nouveau type de traitement contre cette forme de cancer, une méthode par ultrasons développée récemment.

Il s’agirait du deuxième établissement français de santé à tester la nouvelle machine à ultrasons, qui s’avère capable de cibler la tumeur cancéreuse de façon extrêmement précise.

« Auparavant, on avait tendance à enlever toute la prostate en cas de cancer. Avec cette méthode, il est possible d’agir beaucoup plus finement sur les cancers localisés. », explique justement l’équipe de spécialistes en question.

La première phase de test s’effectuera sur 40 patients au cours d’une période d’essai de trois mois, au bout de laquelle les chercheurs et oncologues pourront évaluer son efficacité.

Autre point favorable à cette nouvelle technique par ultrasons : la diminution des effets secondaires dus aux traitements habituels contre le cancer de prostate.

On croit également que la technique pourrait être reprise pour traiter d’autres formes de cancer, si celle-ci s’avère un succès.

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Nouveau traitement prometteur contre le cancer de la prostate

Une lueur d’espoir nous provient d’Europe en matière de traitement du cancer de la prostate, rapporte Top Santé.

C’est qu’une équipe de spécialistes d’une clinique de Nantes mettra à l’essai un nouveau type de traitement contre cette forme de cancer, une méthode par ultrasons développée récemment.

Il s’agirait du deuxième établissement français de santé à tester la nouvelle machine à ultrasons, qui s’avère capable de cibler la tumeur cancéreuse de façon extrêmement précise.

« Auparavant, on avait tendance à enlever toute la prostate en cas de cancer. Avec cette méthode, il est possible d’agir beaucoup plus finement sur les cancers localisés. », explique justement l’équipe de spécialistes en question.

La première phase de test s’effectuera sur 40 patients au cours d’une période d’essai de trois mois, au bout de laquelle les chercheurs et oncologues pourront évaluer son efficacité.

Autre point favorable à cette nouvelle technique par ultrasons : la diminution des effets secondaires dus aux traitements habituels contre le cancer de prostate.

On croit également que la technique pourrait être reprise pour traiter d’autres formes de cancer, si celle-ci s’avère un succès.