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La dangerosité des emballages d’aliments encore démontrée

Une nouvelle étude confirme la dangerosité de la plupart des contenants et processus d’emballage de plusieurs aliments retrouvés dans nos supermarchés, selon ce que rapporte Medical News Today.

Cette nouvelle recherche menée par des scientifiques spécialistes en environnement sonne l’alarme et a de quoi inquiéter les consommateurs.

On y révèle que malgré la régulation de plusieurs produits chimiques, la population entre en contact avec de dangereux produits chaque jour par l’entremise des produits alimentaires transformés ou emballés en usine.

Les plastiques, cartons et autres emballages présentent souvent des traces importantes de formaldéhyde, de bisphénol A, de tributytine, de triclosane et de phtalates, croient les scientifiques impliqués dans l’étude.

« Ces faits sont peut-être d’une grande importance pour les scientifiques qui s’intéressent aux origines de développement des maladies, et des expositions environnementales chez les enfants. Alors que la science de ces substances est débattue et que les faiseurs de règles peinent à satisfaire les actionnaires, les consommateurs sont exposés à ces produits chimiques sur une base quotidienne, la plupart du temps à leur insu », expliquent avec fougue les spécialistes de l’étude.

De quoi créer une véritable réflexion sur nos habitudes de consommation et nous inciter à repenser notre façon de manger.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

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Un défi boîte à lunch santé qui influence les habitudes alimentaires des enfants

Selon ce que rapporte Medical News Today, les enfants prennent rapidement du poids pendant le congé scolaire d’été. Le choix d’aliments des parents est le grand responsable.

Un groupe de chercheurs de l’Université de la Caroline du Sud a décidé d’utiliser les programmes de camps de jour d’été pour remédier à la situation.

Ils ont établi le Healthy Lunchbox Challenge (HLC), une théorie innovatrice basée sur la récompense lorsque les enfants apportent les bons aliments dans leur boîte à lunch. Le programme a été déployé à grande échelle et a donné d’excellents résultats.

Le HLC est peu coûteux, et donc très facilement adaptable à n’importe quel camp de jour. Il contient 2 volets : l’enseignement des bonnes pratiques aux parents et éducateurs, puis le programme incitatif pour les enfants.

Michael W. Beets et ses collègues, responsables de l’étude, ont obtenu des résultats très probants. Sur les 2000 enfants observés, la moitié participait au HLC. Ceux-ci ont apporté en proportion 12 % plus de fruits frais et 11 % plus de légumes. Ils ont aussi noté une forte participation des employés des camps de jour et une grosse diminution des collations inappropriées (31 %).

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Le traitement public des troubles de la fertilité serait bénéfique

Que le gouvernement et le système public de santé s’occupent des traitements de fertilité et de fécondation in vitro auxquels ont recours des milliers de femmes est une bonne chose, selon une toute nouvelle étude sur le sujet.

C’est ce que rapporte Radio-Canada, qui reprend une étude en provenance de l’Université de l’Alberta, qui avait pour but d’évaluer les impacts d’une intervention publique en matière de traitement de l’infertilité.

Pour les chercheurs de l’Université de l’Alberta, l’intervention de l’État dans l’accompagnement de ces femmes désireuses d’avoir un enfant permettrait des traitements moins risqués et plus ciblés, ainsi qu’une réduction des frais généraux.

On parle d’une économie possible variant de 50 à 100 millions pour l’Alberta  si la province se lançait dans l’aventure publique, en plus d’un nombre réduit de naissances prématurées et de complications.

L’étude fait grand bruit dans les villes albertaines qui souhaitent voir le système public augmenter son soutien aux femmes et aux parents désireux d’avoir un enfant.

On estime à 16 % le nombre de citoyens canadiens aux prises avec des problèmes d’infertilité.

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Une poignée de noix pour prévenir du cancer du pancréas

Quelques noix peuvent-elles changer la donne en matière de prévention du cancer du pancréas? C’est ce que semble indiquer une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), et qui vante les mérites des noix en prévention de ce virulent type de cancer.

L’étude exhaustive en provenance de l’Université Harvard analysait les données recueillies auprès de 75 000 femmes. Les résultats semblent clairs pour les chercheurs de la prestigieuse université : la consommation de noix peut bel et bien réduire les risques de cancer du pancréas.

On parle d’une diminution des risques de tumeur de 35 % chez les femmes qui consommaient des noix au moins deux fois par semaine.

L’étude ne mentionne pas quel type de noix serait plus efficace en matière de prévention, mais en suggère simplement la consommation hebdomadaire.

Les noix sont également vantées dans plusieurs autres études en nutrition. Elles préviendraient plusieurs maladies et troubles de la santé, et devraient faire partie d’un régime équilibré, selon une majorité de spécialistes.

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Une montre capable de détecter les accidents cardiovasculaires dans les plans d’Apple

La multinationale Apple, populaire fabricant d’appareils informatiques et technologiques, aurait dans sa mire un tout nouvel outil capable de détecter les signes précurseurs de la crise cardiaque, rapporte Top Santé.

L’appareil en question serait en développement chez Apple, selon des informations initialement publiées par le San Francisco Chronicle.

Pour l’instant baptisé iWatch, l’appareil prend la forme d’une montre et serait capable de vérifier plusieurs signes comme « le son du sang dans les veines et artères », et ainsi de prévenir un patient de l’imminence d’une crise cardiaque.

Inutile de dire que si Apple réussit son coup, la iWatch pourrait sauver des vies. On estime à 10 % par minute la réduction des chances de survie suivant l’incident.

En augmentant ainsi le temps de réponse et la prise en charge des secours dans les cas de crise cardiaque, la iWatch permettrait d’améliorer les taux de survie et les statistiques de mortalité en matière d’accident cardiovasculaire.

On ignore à ce stade-ci à quel moment Apple pourrait entamer la commercialisation de ce nouvel appareil.

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Prendre une marche bénéficie aussi au cerveau

Les amateurs de promenades et de longues marches connaissent bien les avantages de cette activité physique simple. L’air frais, la découverte de nouveaux lieux, la complicité à partager avec une autre personne, l’activité physique, une meilleure digestion, bref, les bienfaits connus de la marche sont nombreux.

Mais selon une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), la marche aurait également des bénéfices secrets pour le cerveau.

Selon des chercheurs de l’Université de Pittsburgh, le fait de s’adonner à trois marches hebdomadaires de 40 minutes aurait un impact direct sur le cerveau et l’hippocampe. Cette zone grossirait au gré de ces marches de santé, ce qui pourrait prévenir de certaines maladies comme l’Alzheimer, croient les chercheurs américains.

« Vous n’avez pas besoin d’une activité physique hautement vigoureuse pour observer ces effets. Ça peut sembler modeste comme somme (d’exercice), mais ça permet d’inverser l’horloge de l’âge de quelques années », croit le Dr Kirk Erickson, chercheur en chef de l’étude à l’Université de Pittsburgh. 

Bien qu’il spécifie également que la marche, ou une autre activité physique, ne constitue pas une « baguette magique » contre les maladies dégénératives comme l’Alzheimer, le Dr Erickson reste convaincu qu’il s’agit de l’un des meilleurs moyens de garder son cerveau vif et en santé.

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Une orange par jour…

Si une pomme par jour éloigne le docteur pour toujours, une orange pourrait bien le garder à distance pour une bonne période de temps également, selon ce que rapporte Medical News Today.

En se basant sur une série d’articles en nutrition, MNT fait la promotion de l’orange comme alliée de la santé, et vante les mérites de sa consommation quotidienne.

Du lot des bienfaits reconnus, l’orange favoriserait une plus belle peau, abaisserait les risques de développer plusieurs types de maladies et s’avère peu calorique.

On mentionne aussi que l’orange possède de fortes propriétés anti-inflammatoires, notamment grâce aux flavonoïdes, en plus de multiples antioxydants.

Il ne faudrait surtout pas oublier la fameuse vitamine C, l’un des bienfaits de l’orange connu de tous. Mais l’orange contient aussi de la vitamine B6, du phosphore, du magnésium et du sélénium, pour ne nommer que ceux-là, des nutriments qui contribuent à un système immunitaire fort.

Plusieurs autres nutriments contenus dans l’orange seraient capables de faire baisser les risques de développer certains cancers, une raison de plus pour adopter le fruit à son alimentation quotidienne.

Même les risques d’ACV et de haute pression seraient à la baisse chez les consommateurs d’orange, toujours selon cette même source.

En somme, l’orange possède tant de qualités qu’il faudra peut-être un jour penser à changer l’adage. Une orange par jour…

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Football : Des casques souvent inefficaces

Le dossier des commotions cérébrales dans le sport est pris très au sérieux par les différentes fédérations, ligues, autorités sportives et athlètes depuis quelques années.

La violence et les coups portés à la tête sont notamment analysés au hockey et au football, et de nouvelles mesures sont implantées afin de protéger les joueurs, spécialement les plus jeunes.

Une nouvelle étude américaine en provenance du Florida State University College of Medicine et rapportée par The National Library of Medicine démontre cependant certaines lacunes alarmantes au niveau des casques portés par les joueurs de football.

Les casques ne protègeraient en fait que très peu des chocs reçus de façon latérale, c’est-à-dire de côté, selon les chercheurs floridiens. On parle d’une protection contre les blessures sérieuses à la tête de seulement 20 %, contrairement à 60 ou 70 % pour les coups reçus en ligne droite.

C’est après avoir conduit plus de 300 tests sur des mannequins arborant différents types de casques que le coauteur de l’étude, le Dr Frank Conidi, et son équipe ont pu conclure à d’aussi faibles résultats en matière de choc latéral au football.

Les chercheurs croient qu’il est impératif de remédier à la situation afin de protéger les jeunes joueurs de football de niveau secondaire et universitaire.

Le Dr Conidi et ses collègues présenteront leurs conclusions lors de la réunion annuelle de l’American Academy of Neurology (AAN), le printemps prochain.

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Des données encourageantes en matière de dons d’organes au Québec

La situation semble s’améliorer dans le dossier des dons d’organes au Québec, si l’on se fie à des données et statistiques rapportées par Radio-Canada.

La liste d’attente pour une greffe d’organe au Québec aurait raccourci pour la première fois au cours des huit dernières années, selon cette même source, ce qui s’expliquerait en partie par l’effort de sensibilisation effectué par Transplant Québec.

Cette diminution de 15 % encourage les autorités de la santé, qui voient une meilleure compréhension de l’importance du don d’organes de la part des citoyens québécois.

Si la hausse de 45 donneurs en 2013 peut sembler faible, il faut se rappeler que seulement 1 % des patients décédés en milieu hospitalier peut actuellement devenir un donneur d’organes.

Voilà pourquoi il est important que de plus en plus de citoyens signent leur carte à cet effet, et qu’un plus grand effort de sensibilisation se fasse auprès de la population.

Du nombre des organes transplantés avec succès en 2013, le rein arrive en première position. Près de 300 Québécois auraient subi une greffe du rien avec succès. D’autres greffes du cœur, du poumon, du foie et du pancréas ont également été effectuées avec réussite.

Une pétition est en ligne via le site de l’Assemblée nationale afin de changer les règles en matière de don d’organes et ainsi faciliter le phénomène. Pour en savoir davantage, visitez le www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-4577/index.html.

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La vitamine C peut-elle prévenir des AVC?

Une nouvelle étude en provenance de la France dévoile un présumé risque accru d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) chez les personnes présentant une carence en vitamine C, rapporte The National Library of Medicine.

Mais alors, la vitamine C pourrait-elle prévenir des AVC? Bien que les chercheurs français en tête de l’étude soient loin de pouvoir confirmer une telle cause à effet, ils affirment cependant avoir observé une plus grande incidence d’AVC chez des personnes affichant des carences en vitamine C.

« L’étude suggère en effet qu’un faible niveau de vitamine C est un risque pour des hémorragies cérébrales spontanées », lance le Dr Stéphane Vannier, de l’Hôpital Universitaire de Rennes.

Les chercheurs de l’étude croient que ces statistiques seraient explicables par le rôle joué par la vitamine C dans le maintien et le contrôle de la pression sanguine et des vaisseaux sanguins.

On retrouve de la vitamine C dans les fruits et légumes, notamment les oranges, les fraises, les poivrons et le brocoli, pour ne nommer que ceux-là.

Par ailleurs, l’équipe française ne recommande pas la prise de suppléments de vitamine C pour abaisser les risques d’AVC. On suggère plutôt les apports par l’alimentation.

Les résultats de cette étude seront présentés lors de l’assemblée annuelle de l’American Academy of Neurology, qui se tiendra du côté de Philadelphie.