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Amélioration notable du taux de survie chez les patients en cardiologie

The National Library of Medicine rapporte des statistiques proposées par la Clinique Mayo, aux États-Unis, et qui dressent un bilan positif des avancées dans le domaine de la cardiologie au cours des dernières années.

Tellement qu’il semble que de moins en moins de patients admis en cardiologie meurent d’une maladie ou d’un trouble cardiovasculaire. Ces patients auraient maintenant plus de chances de mourir d’une autre maladie que de succomber aux traitements d’un trouble cardiovasculaire.

Ces étonnantes révélations se basent sur les observations effectuées par des spécialistes de la Clinique Mayo au cours de trois périodes distinctes, soit de 1991 à 1996, de 1997 à 2002, et de 2003 à 2008.

« Nous avons découvert que les patients aux prises avec une maladie cardiovasculaire établie dans l’ère moderne ont environ une chance sur trois de mourir des suites de ce problème, contre deux chances sur trois de mourir à la suite d’un autre problème, non cardiaque », résume le Dr Rajiv Gulati, de la Clinique Mayo.

Un phénomène étonnant, mais qui confirme bien les superbes avancées et percées observées au cours des dernières décennies dans le monde médical, notamment en cardiologie.

Ces observations ont été publiées dans le journal Circulation en février.

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La vitamine C pourrait contribuer à la lutte et au traitement du cancer

La vitamine C pourrait-elle devenir un allié de taille dans la lutte au cancer? C’est ce qu’il est permis de croire lorsqu’on prend connaissance des informations rapportées par Top Santé, en provenance de l’Université du Kansas.

Des chercheurs ont tenté l’expérience de la vitamine C sur des rongeurs, puis sur quelques patients, afin de confirmer leur théorie. Selon eux, ils seraient parvenus à démontrer l’impact de la vitamine C sur la lutte au cancer et son traitement.

En administrant de la vitamine C aux sujets de l’étude, les chercheurs du Kansas ont observé une augmentation de l’impact du traitement par chimiothérapie, en plus d’une amélioration globale de l’état de santé des patients.

Il semble également que la présence ajoutée de vitamine C dans l’organisme permettrait aux cellules saines de le rester, en plus de combattre efficacement le progrès de celles touchées par la maladie.

La coauteure de l’étude, Jeanne Drisko, croit qu’il s’agit là d’une découverte plus qu’intéressante pour la suite des choses.

« Il existe réellement un intérêt à utiliser de la vitamine C pour les oncologues. Les patients sont à la recherche de traitements sûrs et abordables pour gérer au mieux leur cancer. D’après cette étude, et les premières données cliniques, la vitamine C administrée en intraveineuse a exactement ce potentiel. Elle est efficace et accessible à tous », résume Drisko.

Il est aussi très intéressant de lire les observations du Dr Qi Chen, directeur de l’étude, qui croit que comme la vitamine C n’est pas sujette à brevet, cette nouvelle technique pourrait être rapidement utilisée en oncologie, sans main mise ou ralentissement causé par les compagnies pharmaceutiques.

Les prochains tests seront déterminants pour savoir si la vitamine C représente bel et bien un nouvel allié dans la lutte au cancer.

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L’insécurité alimentaire frappe aussi le Canada

Malgré une reprise économique intéressante, le Canada ne fait pas exception en matière d’insécurité alimentaire, selon des informations rapportées par le Medical News Today.

En étudiant les statistiques dévoilées dans le second rapport PROOF sur l’insécurité alimentaire des foyers canadiens, on se rend compte que le phénomène de manque touche quatre millions de Canadiens, dont 1,15 million d’enfants.

Le rapport va plus loin, en spécifiant pour la toute première fois le bilan de 33 grandes villes canadiennes en la matière. On apprend ainsi que la ville la plus touchée serait Halifax, avec un foyer sur cinq aux prises avec un problème d’insécurité alimentaire.

Sherbrooke et Québec sont parmi les villes les moins touchées, tout comme Hamilton et Sudbury.

« Le rapport brise la norme en soulignant les sérieuses inquiétudes concernant les taux élevés d’insécurité alimentaire au Canada. L’information du rapport est extrêmement précieuse pour les communautés afin qu’elles comprennent l’importance du problème dans leurs régions », croit le Dr Bernie Pauly, de l’Université de Victoria.

La prochaine étape sera sans doute de trouver des pistes de solution afin de venir en aide à ces familles et ces personnes touchées par le phénomène, alors que les banques alimentaires affirment elles même être au maximum de leur capacité.

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Le sentiment de contrôle pourrait bien allonger votre espérance de vie

Les gens en contrôle, ou qui ont le sentiment de contrôle, sur les événements et éléments de leur vie pourraient bien bénéficier d’une espérance de vie plus longue que les autres, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude trace en effet un parallèle entre la longévité et l’attitude affichée par un individu au cours de sa vie, un constat qui n’est pas relevé pour la toute première fois par des chercheurs et spécialistes.

« La santé et la longévité ne sont pas dues qu’à un accès aux soins de santé. L’attitude fait une différence. Comment vous construisez votre attitude et relevez les défis détermine si vous prenez action ou si vous abandonnez, et si vous vous sentez stressé ou motivé. Les personnes avec un fort ou faible sens du contrôle vont percevoir la même situation différemment, que ce soit comme un stress ou comme un défi à relever », explique Margie Lachman, professeure en psychologie.

L’étude parle cependant des personnes sans éducation postsecondaire, étrangement, qui jouiraient au départ d’une moins grande espérance de vie.

Les conclusions de ces recherches vont donc de pair avec de précédentes, qui établissaient elles aussi un lien entre l’attitude, le moral et la longévité.

Les résultats de l’étude fondée par le NIH ont été publiés dans la plus récente édition du journal Health Magazine.

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Un médecin sauve une vie grâce à Dr House

La populaire série Dr. House, qui mettait en vedette Hugh Laurie, est peut-être terminée depuis un petit moment déjà, mais il semble que son impact soit encore palpable au sein de la population, et même chez des « homologues » médecins.

Top Santé rapporte en effet l’incroyable histoire du Dr Juergen Schaefer, un Allemand pratiquant dans une clinique universitaire de Marbourg, qui aurait littéralement sauvé la vie de l’un de ses patients grâce à sa passion pour Dr. House.

C’est lorsqu’un patient se présente au bureau du Dr Schaefer avec de sérieux et inexplicables symptômes, allant de l’insuffisance cardiaque à de sévères fièvres, que le praticien s’est ultimement souvenu d’un épisode de la série

L’épisode en question mettait en scène un personnage aux symptômes similaires, que le personnage de Hugh Laurie explique finalement par un improbable empoisonnement au cobalt.

Creusant la théorie du Dr House afin de l’appliquer à son propre patient, le Dr Schaefer a ensuite découvert que celui-ci avait subi des interventions à la hanche afin d’installer des prothèses.

L’une de ces prothèses avait tout simplement cassé, laissant dans l’organisme du patient des traces de métal, de chrome, et de cobalt.

L’homme de 55 ans aura donc finalement été sauvé par deux médecins, l’un réel et l’autre fictif.

« Un divertissement bien réalisé n’est pas seulement capable de divertir et éduquer, mais aussi de sauver des vies », lance le Dr Schaefer, non content de sa réussite.

Les détails de l’histoire ont été publiés dans le journal médical The Lancet.

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Le Centre de prévention du suicide de Québec lance un site web pour les hommes

La Presse et Radio-Canada rapportent la mise sur pied d’un site web destiné à venir en aide aux hommes victime de détresse et de pensées suicidaires, une initiative largement saluée par de nombreux observateurs et spécialistes de la santé.

Créé par le Centre de prévention du suicide de Québec et destiné à répondre à un besoin criant au sein de la population du Québec, le site internet a été inauguré jeudi (6 février).

« Plus de 7000 personnes ont déjà consulté le site jusqu’à maintenant. Ça démontre qu’il y a un réel besoin », lance la directrice générale du Centre de prévention du suicide de Québec, Lynda Poirier.

En utilisant des formules comme « allume » et « laisse faire l’orgueil », le slogan officiel du projet, les instigateurs du projet souhaitent interpeller les hommes en détresse et ainsi les convaincre de quérir de l’aide.

Plusieurs outils se retrouvent sur le site, ainsi qu’un questionnaire et des liens qui mènent aux différentes ressources possibles pour les hommes en détresse et en proie à des troubles de santé psychologique.

Pour mieux connaître le projet et ce qu’il propose, visitez le www.allume.org.

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Les yogourts faibles en gras pourraient prévenir le diabète

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des yogourts faibles en gras en prévention du diabète.

L’étude en question, publiée par des chercheurs britanniques, suggère de fortes propriétés préventives en matière de diabète à ces produits, qui pourraient contribuer à réduire le nombre de cas de diabète de type II.

Les chercheurs parlent d’une réduction des risques pouvant même aller jusqu’à 30 % chez les personnes qui consomment ces yogourts quotidiennement, comparativement à celles qui n’en consomment pas du tout.

D’autres produits laitiers fermentés pourraient avoir des impacts similaires sur la santé, selon l’équipe de chercheurs basée à l’Université de Cambridge, par exemple certains fromages à faible teneur en gras.

« Ce que notre étude démontre surtout est que le yogourt devrait faire partie d’un régime équilibré », lance le Dr Nita Forouhi, qui dirige ces recherches.

Foruhi fait cependant remarquer que cette étude ne démontre pas de cause à effet, mais que certaines statistiques ne mentent pas.

Les apports en calcium, magnésium et vitamine D seraient tous des facteurs qui contribueraient à un risque réduit de développement du diabète de type II.

Ces conclusions et observations ont été publiées dans le journal Diabetologia.

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Des SMS au service de votre santé

Une campagne inédite et innovatrice est lancée en Angleterre, rapporte Top Santé, alors qu’une ville propose un système de SMS bien spécial chargé de motiver les personnes affichant un surplus de poids.

500 sujets prennent part au projet, et recevront à toutes heures du jour des messages textes les rappelant à l’ordre ou leur suggérant des actions à entreprendre.

Des messages comme « Monte plus souvent les escaliers » et « Mange des fruits et légumes » pourraient donc envahir les téléphones des sujets de l’expérience, qui auront bien entendu le dernier mot dans le choix de leurs actions au quotidien.

On saura au bout de ces dix semaines d’essai si l’expérience s’avère concluante, ce dont doutent beaucoup des membres de l’opposition municipale de la ville de Stoke-on-Trent, théâtre de l’initiative.

« L’argent pourrait être utilisé plus judicieusement, comme pour des groupes de soutien pour perdre du poids », lance le chef de l’opposition, Abi Brown.

Même si l’expérience s’avère négative, il s’agit tout de même d’une belle utilisation des moyens technologiques actuels pour sensibiliser et aider les personnes aux prises avec un problème de poids. Si la méthode s’avère toutefois positive, il y a fort à parier que l’initiative de Stoke-on-Trent fera des petits ailleurs en Angleterre.

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Un meilleur accès à de bons aliments ne garantit pas une meilleure alimentation

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude en alimentation, qui constate un faible impact social découlant d’un meilleur accès à des aliments jugés « santé ».

En clair, proposer une plus grande offre de produits sains et de commerces en alimentation santé ne garantirait en rien une amélioration des habitudes de consommation des citoyens, selon l’étude proposée par des chercheurs de la Penn State University et de la London School of Hygiene and Tropical Medicine.

Les chercheurs ont analysé pour le bien de l’étude les impacts de l’ouverture d’un nouveau supermarché dans un quartier défavorisé de Philadelphie, l’un des 88 nouvellement ouverts en Pennsylvanie dans le cadre de la démarche Pennsylvania Fresh Food Financing Initiative.

En suivant 650 citoyens sur une période de quatre ans, les chercheurs ont constaté que bien peu avaient changé leurs habitudes alimentaires pour le mieux, même en étant conscients de la soudaine proximité d’aliments frais et bons pour la santé.

Seulement 27 % des citoyens ont utilisé le nouveau supermarché comme source principale d’alimentation, et à peine la moitié a fréquenté le commerce.

L’étude suggère donc que ces initiatives doivent être accompagnées de féroces campagnes de marketing, afin de sensibiliser et encourager les gens à changer leurs habitudes de vie et à profiter des nouveaux commerces qui leur sont offerts.

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Un amputé retrouve le sens du toucher grâce à une nouvelle technologie

L’histoire fait le tour du monde, alors qu’un amputé serait parvenu à retrouver le sens du toucher grâce à une nouvelle prothèse à la fine pointe de la technologie, rapporte The National Library of Medicine.

Il s’agit d’un Danois, Dennis Aabo Sorensen, qui avait perdu sa main gauche lors d’un accident survenu il y a près de dix ans. Sorensen aurait confirmé être en mesure de « ressentir » l’effet des objets placés devant lui, lors d’essais expérimentaux.

Le Danois devient donc le tout premier amputé au monde à profiter d’une telle « information sensorielle », croient les chercheurs qui dirigent ces recherches.

« Je pouvais ressentir les choses rondes, les choses dures et les choses molles. C’était vraiment génial, parce que je pouvais soudainement ressentir quelque chose que je n’avais pas ressenti depuis les neuf dernières années », lance Dennis Aabo Sorensen, visiblement ravi.

Pour parvenir à leurs fins, les chercheurs ont placé une électrode dans le bras du sujet, reliée à la main « bionique » installée. Il s’agit également d’une première, puisqu’aucune électrode n’avait jamais été implantée directement dans le corps d’un sujet pour stimuler son système nerveux.

Les observations et conclusions de ces essais ont été publiées dans le magazine Science Translational Medicine.