On apprend via Top Santé que certains cas de sclérose en plaques pourraient avoir été causés ou fortement encouragés par la présence d’une toxine alimentaire présente dans l’organisme, une nouvelle découverte qui a de quoi surprendre.
Ce sont des chercheurs américains de l’Université Cornell qui tracent ce lien, expliquant que la toxine en question peut affaiblir le système immunitaire à un point tel qu’elle ouvrirait toute grande la porte au possible développement de la sclérose en plaques.
Baptisée « toxine Epsilon » par les chercheurs, cette dernière évoluerait dans une direction ou dans l’autre selon certains facteurs environnementaux ou encore biologiques, ce qui explique cette possibilité.
Jennifer Linden, une spécialiste du sujet qui participe aux recherches, aurait tenté de confirmer la théorie en observant la réaction de la toxine sur des rongeurs, et aurait effectivement pu constater la cause à effet.
Si les tests subséquents s’avèrent aussi probants, les chercheurs tenteront ensuite de s’attaquer à la progression de la toxine et au développement possible de la sclérose en plaques qui en découle.