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Une toxine alimentaire pourrait causer la sclérose en plaques

On apprend via Top Santé que certains cas de sclérose en plaques pourraient avoir été causés ou fortement encouragés par la présence d’une toxine alimentaire présente dans l’organisme, une nouvelle découverte qui a de quoi surprendre.

Ce sont des chercheurs américains de l’Université Cornell qui tracent ce lien, expliquant que la toxine en question peut affaiblir le système immunitaire à un point tel qu’elle ouvrirait toute grande la porte au possible développement de la sclérose en plaques.

Baptisée « toxine Epsilon » par les chercheurs, cette dernière évoluerait dans une direction ou dans l’autre selon certains facteurs environnementaux ou encore biologiques, ce qui explique cette possibilité.

Jennifer Linden, une spécialiste du sujet qui participe aux recherches, aurait tenté de confirmer la théorie en observant la réaction de la toxine sur des rongeurs, et aurait effectivement pu constater la cause à effet.

Si les tests subséquents s’avèrent aussi probants, les chercheurs tenteront ensuite de s’attaquer à la progression de la toxine et au développement possible de la sclérose en plaques qui en découle.

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Une méthode prometteuse pour traiter l’allergie à l’arachide

Alors que les allergies alimentaires, particulièrement celle à l’arachide, semblent connaître une hausse vertigineuse depuis quelques années, un nouvel espoir serait maintenant possible pour les personnes qui en souffrent.

C’est du moins ce que rapportent plusieurs sources, dont Santé Log, alors qu’une nouvelle méthode prometteuse commencerait à faire ses preuves, selon des médecins britanniques et américains.

Le principe est fort simple : proposer aux personnes allergiques de petites portions de farine d’arachides, afin de permettre une tolérance progressive.

Les chercheurs de Cambridge qui ont testé la manœuvre seraient parvenus, dans certains cas, à permettre une tolérance complète équivalente à cinq cacahuètes, rapporte la même source, une première incontestable.

Plusieurs autres tests devront suivre, notamment pour vérifier la durée de l’efficacité du traitement, mais les spécialistes semblent ravis de ces résultats préliminaires.

Les conclusions des chercheurs de Cambridge sur le sujet ont été publiées dans le journal Lancet.

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Les automobilistes ne voient souvent pas les motocyclistes sur la route

« Je ne l’avais pas vu », est souvent une réponse fournie aux policiers par les automobilistes impliqués dans un accrochage ou un accident de la route avec un motocycliste.

Cette tendance semble répandue, rapporte The National Library of Medicine, et pourrait bien s’expliquer, selon des chercheurs australiens.

Ssi les conducteurs n’aperçoivent souvent pas les motos dans leur champ de vision, ou à tout le moins pas longtemps d’avance, c’est peut-être parce que ce type de véhicule leur est moins familier, c’est-à-dire qu’ils en croisent moins souvent.

C’est l’une des raisons proposées par la chercheuse Vanessa Beanland, de l’Université Nationale d’Australie, pour expliquer les statistiques d’accidents de la route impliquant des motocyclistes.

Après avoir analysé les comportements et réactions de 40 conducteurs adultes grâce à un simulateur de conduite, Beanland remarque que ceux-ci sont plus conscients et réceptifs face à un véhicule qu’ils ont croisé plus souvent sur leur route précédemment. Ainsi, tout véhicule ou objet plus rare demandera un temps de réponse supplémentaire au cerveau, comprend-on de cette étude.

« Les conducteurs ont plus de difficulté à détecter des véhicules ou des obstacles qui sont rares, comparativement à des objets qu’ils voient fréquemment », résume Vanessa Beanland.

On peut donc en conclure qu’il est primordial de demeurer bien concentré et « éveillé » au volant, et d’éviter les gestes automatiques et la conduite par le subconscient.

On rappelle également qu’il est fortement déconseillé d’effectuer une autre tâche lorsqu’on est au volant de son véhicule.

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L’AMA s’est-elle trompée en qualifiant l’obésité de maladie?

Au cours de l’été dernier (2013), l’American Medical Association (AMA) qualifiait officiellement l’obésité comme une maladie dans sa liste des troubles de la santé officiels et répertoriés.

Mais l’AMA s’est-elle trompée en qualifiant l’obésité de maladie? Voilà la question qui demeure lorsqu’on prend connaissance des observations proposées par des chercheurs de l’Université du Minnesota, qui publient une étude sur le sujet.

Rapportée par Santé Log, notamment, l’étude en question révèle un impact plus négatif que positif sur la mentalité et les actions des patients souffrant d’obésité, ces derniers affichant une motivation moindre à changer leur situation depuis qu’on les considère comme des « malades » à part entière.

L’étiquette de « maladie » relève donc de la fatalité, ce qui n’est pourtant pas toujours le cas dans des situations de surpoids et d’embonpoint, notent les chercheurs américains.

Si le fait de qualifier l’obésité parmi les maladies a permis un discours plus libre sur le sujet, le geste aurait également banalisé l’affaire, et remis plusieurs patients sur la mauvaise voie alimentaire. Or, rappelle-t-on, il est effectivement possible d’améliorer sa condition ou son état dans cette situation, contrairement à d’autres « vraies » maladies qui s’avèrent réellement une fatalité.

Ces conclusions et réflexions sont publiées dans le magazine Psychological Science.

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Les suppléments d’antioxydants pourraient favoriser le développement du cancer du poumon

Une étude proposée par une équipe de chercheurs suédois a de quoi inquiéter les amateurs et consommateurs d’antioxydants et de suppléments de vitamines antioxydantes, rapporte Top Santé.

Selon les chercheurs du Centre du cancer à l’Institut de médecine de Göteborg, menés par le Dr Martin Bergö, les suppléments d’antioxydants pourraient contribuer à un facteur de risque aggravé de cancer du poumon, notamment en accélérant certains processus qui mènent à la maladie.

Pour l’instant limitées aux suppléments, ces observations contredisent plusieurs idéologies véhiculées par de nombreux spécialistes de la santé au cours des dernières années. Pourtant, les chercheurs suédois semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

« Nous avons constaté que ces antioxydants ont triplé le nombre de tumeurs et aussi fortement accéléré leur agressivité. Quand nous avons éliminé cette protéine chez les souris et dans les lignées cellulaires de cancer du poumon humain, les antioxydants n’ont plus eu d’effet », explique le Dr Bergö.

Ce dernier recommande donc, et particulièrement aux fumeurs, d’éviter la prise de ce type de suppléments et de s’en tenir à une alimentation saine et équilibrée.

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455 médecins supplémentaires au Québec

Un bilan proposé par le Collège des médecins du Québec, et rapporté par Radio-Canada, fait état d’une hausse des médecins praticiens au Québec depuis 2013, une excellente nouvelle en soi.

Ce sont près de 500 nouveaux médecins, soit 455, qui sont désormais disponibles dans la province, avec près de la moitié agissant comme médecins généralistes ou « médecins de famille ».

On apprend également dans ce rapport que les femmes continuent de progresser davantage en nombre dans la profession, les étudiants en médecine des facultés du Québec comptant dans leurs rangs pas moins de 63 % de femmes.

En ajoutant cette hausse de médecins à celle de 418 recensée en 2012, on constate que la situation dramatique du Québec pourrait s’améliorer au cours des prochaines années.

Car si le gouvernement et certains prédécesseurs ont causé du tort au système, les facultés et les penseurs universitaires ont réussi en partie à colmater la brèche.

« C’est une nette amélioration. On est sortis des soins intensifs et des soins intermédiaires. On est rendus à l’étage! On avait augmenté les admissions en faculté de médecine, il y a quelques années, et on commence à récolter ça. On voit que certaines régions qui étaient vraiment très déficitaires semblent, petit à petit, combler le déficit », explique le Dr Charles Bernard, PDG du Collège des médecins du Québec.

Une excellente nouvelle pour l’ensemble de la population, qui peut maintenant entrevoir l’avenir du système de santé avec un brin plus d’optimisme qu’il y a quelques années.

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Encore une percée vers le traitement de la calvitie

On vous parlait récemment de cette percée en recherche d’un traitement contre la calvitie, alors que des chercheurs étaient parvenus à créer une « racine de cheveu » en laboratoire.

Or, il semble que cette lancée fasse des petits, et que la quête d’un traitement de la calvitie n’ait jamais semblé aussi encourageante. Une nouvelle percée est en effet rapportée par le Daily Mail (UK), notamment, et semble donner de l’espoir aux chercheurs qui travaillent à la résolution de ce problème qui touche tant d’hommes dans le monde.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie, menés par le Dr Xiaowei Xu, qui affirment avoir franchi un pas important dans la restructuration cellulaire des cheveux et qui publient leurs observations dans le magazine Nature Communications.

« C’est la première fois que quiconque parvient à créer un nombre important de cellules souches épithéliales, qui sont capables de générer […] la composante des follicules capillaires », lance le Dr Xu.

Ce dernier et son équipe poursuivront maintenant leurs recherches sur le sujet, et tenteront d’adapter un traitement initial pour entamer des essais sur des sujets humains.

Manifestement, il y a donc plus d’espoir que jamais pour les hommes souffrant de calvitie, un phénomène qui se transmet de génération en génération. 

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Un test génétique pour choisir le bon régime

Il y a tant de régimes miracles sur le marché et tant de témoignages différents pour chacun d’eux qu’il est devenu difficile de savoir à quel saint se vouer et quelle diète sélectionner.

Or, selon MedicalNewsToday, un nouveau test génétique pourrait faire son apparition et permettre aux consommateurs de connaître précisément quel type de régime serait le plus pertinent à leur métabolisme.

Publiant une recherche sur le sujet dans le magazine Cell Metabolism, les chercheurs Sean Curran et Shanshan Pang affirment avoir identifié une série de gènes qui permettent à l’organisme de s’adapter au type d’alimentation proposé.

Ces mêmes gènes indiqueraient par le fait même quel régime alimentaire serait le plus adéquat pour un individu donné, réglant définitivement la guerre des régimes et la confusion qui s’y rattache.

« Ces études ont révélé qu’une seule mutation d’un gène peut altérer la capacité de l’organisme à utiliser une diète spécifique. Chez les humains, de petites différences dans la génétique d’une personne […] peuvent expliquer pourquoi certaines diètes fonctionnent pour certaines personnes et pas pour d’autres », résume Sean Curran.

Une théorie qui abonde dans le même sens que celle proposée par plusieurs observateurs, spécialistes et utilisateurs de régimes, et qui profite d’une logique quasi à toute épreuve : une seule solution ne peut s’appliquer à tous les humains, vu la complexité de l’homme.

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La France se rapproche de sa loi sur les ondes électromagnétiques

On rapportait récemment la volonté des autorités françaises de la santé à implanter une nouvelle loi régissant les émissions d’ondes électromagnétiques sur son territoire, afin de limiter les dégâts sur la santé de ses citoyens.

L’Assemblée nationale va donc de l’avant avec son projet de loi, officiellement déposé le 23 janvier dernier, qui vise à règlementer les zones d’émission d’ondes, selon Top Santé

Les lieux accueillant des enfants sont notamment visés par cette loi, par exemple les écoles maternelles. Le projet vise non seulement à protéger les jeunes enfants, mais aussi les personnes qui affirment souffrir d’électro-hypersensibilité, un phénomène qui semble de plus en plus courant en France.

« La proposition de loi entend protéger les personnes vulnérables des effets de l’exposition aux champs électromagnétiques. Chacun en convient, les jeunes enfants constituent des populations à risque », peut-on lire dans la proposition.

La France devient donc un pionnier en matière de règlementation des ondes électromagnétiques, et plusieurs pays s’intéresseraient aux méthodes utilisées par les autorités françaises.

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Un pesticide lié à des cas d’Alzheimer

Top Santé rapporte les conclusions proposées par une équipe de chercheurs américains concernant un type de pesticide, le DDT, qui pourrait favoriser le développement de la maladie d’Alzheimer.

C’est ce que croient les spécialistes des universités Rutgers et Emory, qui publient leurs observations dans le Journal of the American Medical Association.

L’étude, menée notamment par le Dr Allan Levey, révèle : « Le DDE, composant actif restant après que le DDT a été métabolisé par le corps, est près de quatre fois plus élevé dans le sang des personnes atteintes d’Alzheimer que dans celui des témoins sains. C’est l’une des premières études à identifier un important risque environnemental pour la maladie Alzheimer ».

« L’ampleur de l’effet du DDT est importante, comparable au facteur génétique le plus courant prédisposant à la maladie d’Alzheimer. Le DDT peut rester dans l’organisme de huit à dix ans et le DDE, son métabolite, s’accumule dans les tissus alors que les personnes vieillissent. Ceci pourrait aider à expliquer le fait que l’âge est le plus grand facteur de risque d’Alzheimer. »

Même si le pesticide DDT est interdit sur le territoire américain depuis 1972, le Dr Levey et ses collègues expliquent que nous mangeons toujours des fruits et légumes en provenance d’autres pays qui n’ont pas les mêmes législations que les pays nord-américains.

L’équipe derrière ces résultats veut poursuivre et pousser ses recherches encore plus loin.

On estime que les cas d’Alzheimer vont doubler d’ici 2020, notamment en lien avec le vieillissement de la population.