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Les femmes qui feignent l’orgasme sont plus enclines à l’adultère

Les femmes qui simulent l’orgasme lors des relations sexuelles avec leurs partenaires sont plus enclines à tromper ces derniers, voilà la conclusion proposée dans cette nouvelle étude psychosexuelle rapportée par le Daily Mail (UK).

On apprend d’abord que 68 % des femmes feignent l’orgasme au moins une fois sur cinq, en moyenne, et que la plupart d’entre elles le font pour protéger leurs amoureux d’une éventuelle perte de confiance ou pour ne pas leur faire de peine.

Du lot, une femme sur six affirme tromper ou avoir trompé son partenaire, une statistique que les chercheurs ont pu comparer à celle de l’orgasme simulé, avant d’en conclure que la simulation mène dans une grande proportion à l’adultère, et que les femmes simulent en grand nombre!

Mais avant de tomber à bras raccourci sur la gent féminine, et en conclusion, il est important de mentionner qu’une plus grande proportion d’hommes admettent avoir trompé leur compagne actuelle, soit un sur quatre… Tout cela en ne simulant qu’une fois sur vingt, toujours selon la divertissante étude américaine.

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Une étude met en doute les bienfaits du lait sur les os

S’il y a bien un fait que l’on croyait être une certitude en alimentation, et qu’on se fait répéter depuis notre tendre enfance, c’est bien que le lait est un allié précieux de la santé des dents et des os.

Or, selon Radio-Canada, une nouvelle étude en provenance de l’illustre Université Harvard vient d’être déposée, et sème un sérieux doute sur la véracité de cette affirmation, à savoir que le lait est bénéfique pour les os chez l’humain. 

Aux fins de la recherche, les chercheurs de Harvard ont analysé les cas de près de 100 000 personnes, sur une période de 22 ans. On ne pourra taxer l’étude de ne pas être exhaustive, malgré son résultat.

Les conclusions parlent d’une absence de preuve en ce qui a trait à la notion que la consommation de lait peut solidifier les os et ainsi prévenir les fractures.

Malgré tout, on ne conteste pas les organisations de la santé, comme celles du Canada, qui suggèrent la consommation d’au moins deux verres de lait par jour, ce dernier possédant tout de même sa part d’avantages et d’éléments nutritifs.

Les spécialistes appelés à commenter l’étude croient cependant qu’il est impératif d’allier ces apports en produits laitiers avec de l’exercice physique pour protéger le corps et les os de façon véritablement efficace.

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Ce que votre cerveau ne vous dit pas

Une nouvelle étude démystifie l’incroyable capacité du cerveau à « cacher » certaines informations pour ne filtrer que ce qui est nécessaire, rapporte Top Santé. Mais que vous cache donc votre organe le plus important?

Des ombres et des silhouettes, notamment, ainsi que des informations qu’il juge non pertinentes à la compréhension d’un tout ou d’une situation, selon ce que l’on comprend des informations présentées dans l’étude.

« Si le cerveau a choisi de priver le sujet de certaines informations, ce n’est pas une perte de ressources, bien au contraire. Comme le cerveau traite énormément d’informations, il a évolué et a appris à analyser les plus importantes. »

« Il ne renvoie que les messages essentiels à une prise de conscience de l’environnement visuel dans l’intérêt de notre survie, probablement. Cela nous permet de ne pas nous noyer sous une masse floue d’informations. »

« Par exemple, il serait difficile d’imaginer être capable de traverser la rue sans risque en percevant toutes les ombres chinoises existantes… », explique l’équipe de chercheurs en tête de l’étude, par ailleurs basée en Arizona, aux États-Unis.

Si certains doutent maintenant la loyauté de leur cerveau, les autres seront plus en mesure de comprendre à quel point l’organe cérébral est une machine sophistiquée, alors que l’étude démontre sa capacité à prendre de véritables décisions.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine Psychological Science.

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La pollution met la santé des élèves en danger

L’équipe de recherche était composée du Dr Hung Wing-tat, du professeur Frank Lee Shun-cheng et de Lee Sin-hang du département de génie civil et environnemental de l’Université Polytechnique de Hong Kong.

L’étude a été menée auprès de 310 élèves répartis dans 12 écoles à travers le territoire. On y mesurait le niveau de pollution de l’air ambiant, tant dans la rue qu’à l’intérieur de l’école et des autobus scolaires.

Les résultats indiquent que les élèves de 2 écoles sur 12 présentaient une fonction pulmonaire supérieure aux attentes. Les élèves des 10 autres établissements scolaires présentaient une fonction pulmonaire bien inférieure aux normes.

Les facteurs relevés pour répondre aux normes du Hong Kong Indoor Air Quality (HKIAQ) sont le PM10 et le PM2.5. Le composé organique volatil total (TVOC), a également été mesuré. Dans tous les cas, la qualité de l’air des classes ne répondait pas aux normes de santé.

MedicalXpress rapporte que selon l’étude, 48 % des élèves se rendent à pied à l’école, et 24 % s’y rendent en autobus. Ceux-ci sont exposés à un niveau encore plus élevé de toxines polluantes. Aucune solution ne semble envisagée pour le moment.

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Plusieurs crises cardiaques chez les hommes pourraient être évitées

Ce sont des statistiques à la fois alarmantes et constructives que dévoile le Daily Mail (UK), alors qu’une étude avance qu’une bonne proportion des hommes d’âge moyen victimes d’AVC aurait pu éviter le pire grâce à une meilleure lecture des symptômes.

Selon les analyses effectuées sur les dossiers de 567 hommes victimes d’ACV,  plus de la moitié d’entre eux a ressenti des symptômes évocateurs quelques jours, voire quelques semaines, avant le drame.

Des indices comme des palpitations cardiaques, un souffle court, des étourdissements, des évanouissements ou encore des douleurs à la poitrine, voilà autant de signaux qui devraient pourtant mener ces hommes directement à l’hôpital. 

Malheureusement, trop peu prennent ces signes au sérieux, et l’orgueil ou un sentiment d’invulnérabilité prennent le dessus.

Or, toujours selon les chiffres proposés par l’étude, moins de 10 % des hommes victimes d’un AVC hors des murs d’un hôpital survivront…

Les spécialistes pressent donc les hommes de quarante ans et plus à ne jamais prendre ces symptômes à la légère, et d’envisager des examens de prévention.

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Les oeufs et saucisses au petit déjeuner vantés par des spécialistes

Sortez œufs, saucisses, jambon et bacon pour votre prochain petit déjeuner, puisqu’une nouvelle étude réitère de façon très sérieuse ce que plusieurs autres avaient précédemment affirmé : un déjeuner à fortes teneurs en protéines et en calories s’avère bénéfique pour ceux qui le consomment.

Se basant sur l’étude d’un groupe de femmes, la recherche a analysé les réactions de celles-ci tout au long d’une journée type, selon le genre de déjeuner qu’elles s’étaient offert.

Appelées à commenter leur « niveau de faim » jusqu’au repas du midi, rapporte Top Santé, ces femmes se voyaient alors offrir de manger des pâtes « jusqu’à satiété ». Vous l’aurez deviné, celles qui avaient mangé plus lourdement au petit déjeuner ont avalé moins de pâtes que les autres… et ainsi de suite.

« Prendre un petit déjeuner riche en protéines améliore significativement le contrôle de l’appétit et peut aider les femmes à éviter de trop manger plus tard dans la journée. Les Américains comme les Français consomment suffisamment de protéines, mais finalement trop peu au petit déjeuner et beaucoup trop au souper », expliquent Kevin C. Maki et Heather Leidy, des spécialistes américains mandatés pour l’étude.

Il est important de rappeler qu’il faut malgré tout surveiller sa consommation de gras, notamment pour éviter des hausses de taux de mauvais cholestérol dans le sang.

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Un sommeil régulier pour un poids santé

Une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus la corrélation entre les habitudes de sommeil et le maintien du poids, rapporte cette fois le ScienceWorldReport.

Menée par Bruce Bailey, un professeur de la Brigham Young University, l’étude parle d’une véritable cause à effet, et des bienfaits d’un sommeil régulier. Ne mentionnant ni ne suggérant d’heures particulièrement favorables pour le sommeil, le spécialiste parle plutôt de l’importance de la régularité des heures de sommeil.

En clair, se coucher et se lever aux mêmes heures, particulièrement pour les femmes, serait bénéfique et utile dans le maintien d’un poids santé.

Pour Bailey et son équipe, le constat est clair : les femmes qui s’astreignent à de telles habitudes de sommeil affichent un taux de gras moins important que les autres, et sont par définition plus minces. Il semble que la limite imposée pour que le sommeil soit considéré comme régulier soit une variation de 60 minutes maximum, d’une journée à l’autre.

Plusieurs autres études ont abondé dans le même sens récemment, affirmant qu’il existe un lien réel entre les habitudes de sommeil et la prise de poids.

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L’asthme peut allonger le délai de conception d’un enfant

Comme le mentionne Top Santé, l’asthme est une cause que les femmes sont loin d’envisager lorsqu’elles essaient depuis des mois de tomber enceintes, sans succès.

Les chercheurs de l’hôpital de Copenhague, dirigés par le Dr Avner Hershlag, ont fait participer 15 000 femmes pour en arriver à cette conclusion. Sur ce nombre, on a repéré les femmes asthmatiques et divisé le groupe selon qu’elles étaient traitées ou non pour leurs symptômes.

Comparativement aux femmes non asthmatiques, celles faisant de l’asthme étaient 26 % à avoir attendu plus d’un an avant de voir leur rêve de grossesse se réaliser, alors que les autres se chiffraient à 21 %.

D’autre part, l’asthme non traité augmentait encore la période de conception.

Le Dr Hershlag affirme que les femmes asthmatiques sont simplement « préoccupées » par leur santé, ce qui mine leurs chances de conception rapide. Il ne voit pas de marqueur d’infertilité à cette maladie.

Cependant, d’autres chercheurs croient au contraire que l’asthme pourrait créer une inflammation de l’utérus, et donc troubler l’environnement de nidification.

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Une sauce tomate aux effets miraculeux pour le coeur

« Le secret est dans la sauce » est une expression qui semble prendre absolument tout son sens lorsqu’on lit l’article publié par le Daily Mail (UK), qui rapporte une étude traitant d’une sauce miraculeuse pour le cœur.

Des chercheurs basés en Espagne ont en effet publié une recherche en nutrition qui parle des effets d’une sauce tomate bienveillante pour la santé cardiaque, sauce qui se compose de plusieurs ingrédients déjà fortement recommandés.

Déjà retrouvée amplement dans la fameuse diète méditerranéenne, les chercheurs espagnols croient même qu’elle pourrait expliquer à elle seule les effets du régime.

Confectionnée à base de tomates, d’oignons, d’huile d’olive, de farine de maïs et d’ail, cette sauce bienfaitrice permettrait d’améliorer la santé cardiovasculaire et de prévenir la détérioration du cœur grâce aux 40 antioxydants, et plus, qu’elle contient.

De plus, les chercheurs croient que cette unique combinaison permet de maximiser les bienfaits de chaque ingrédient, ce qui ne serait pas nécessairement le cas en les consommant séparément.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Food Chemistry.

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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).