Catégories
Uncategorized

Carence en vitamine D et anémie chez l’enfant

Récemment parue dans le Journal of Pediatrics, la recherche menée par les spécialistes du Johns Hopkins Children Center révèle des résultats intéressants.

Bien que l’un ne soit pas nécessairement causé par l’autre, un lien semble manifestement exister entre la carence de « vitamine soleil » et les risques de souffrir d’anémie chez les jeunes.

Les chercheurs émettent la possibilité que le lien soit la manière dont la vitamine D affecte la production de globules rouges dans la moelle osseuse. Ils examinent aussi le rôle de la vitamine dans la régulation de l’inflammation immunitaire, qui est connue pour déclencher l’anémie.

L’équipe du centre a étudié les échantillons de sang de plus de 10 400 enfants et adolescents qui ont participé au National Health and Nutrition Examination Survey. Il est estimé que près de 7 enfants américains sur 10 n’ont pas suffisamment de vitamine D, avec environ 1 sur 10 qui souffre d’une carence sévère.

Dans une autre étude récemment publiée dans la revue Neurology, les chercheurs suggèrent que manger des aliments riches en fer pour prévenir l’anémie pourrait réduire le risque de démence.

Les saines habitudes vitaminiques sont donc bonnes à prendre dès la tendre enfance pour éviter des problèmes à long terme.

Catégories
Uncategorized

Le secret est dans les amandes

Toujours faim? Envies incessantes de grignoter? Incapable de perdre du poids et à la recherche de trucs utiles et infaillibles? Selon le Daily Mail (UK), il appert que le secret est dans les amandes!

En effet, le quotidien rapporte une étude effectuée par des chercheurs de l’Université Purdue (Indiana, États-Unis) qui fait état des bienfaits stupéfiants d’une consommation quotidienne d’amandes en guise de collation.

Selon les données proposées, la proportion de gens qui avouent manger au moins une collation superflue par jour serait maintenant de 97 %, alors aussi bien dire tout le monde ou presque.

Or, le choix de cette collation est vital, car elle contribue largement à la prise de poids presque épidémique enregistrée par plusieurs populations. Selon les chercheurs américains, remplacer cette collation par environ 30 amandes suffirait non seulement à calmer la faim, mais également à ne pas absorber trop de calories supplémentaires.

Car si les amandes contiennent bien sûr elles-mêmes des calories, elles ont démontré être en mesure d’aider les participants à ne pas manger davantage et même à réguler leurs heures de repas.

Les amandes sont par ailleurs une excellente source de vitamines, de protéines et de fibres, les qualifiant haut la main de collation par excellence.

Catégories
Uncategorized

Les bienfaits du sport en couple

Top Santé rapporte plusieurs témoignages, opinions et éléments qui se positionnent tous en faveur de l’activité physique en couple, une aventure que peu d’amoureux tentent pourtant.

Outre le temps passé ensemble, on mentionne notamment une hausse de motivation et une plus grande capacité à se dépasser découlant d’une activité sportive effectuée en couple, et d’un gain évident à long terme.

En effet, selon les spécialistes sondés, on note que les individus qui pratiquent un sport ou une activité avec leur amoureux ont plus de chance de voir cette habitude se développer sur le long terme, en plus de bénéficier d’un « coach » qui les connait davantage.

« Partager une activité en dehors de la vie classique apporte quelque chose en plus à une relation. On apprend à connaitre l’autre d’une manière différente. Selon le sport, il peut y avoir de la compétition, de la motivation. Ce sont ces valeurs qu’on découvre chez l’autre et qui rapprochent le couple », ajoute un spécialiste appelé à commenter l’article.

On suggère aux couples qui aimeraient se mettre au sport ensemble de commencer par une activité simple, à raison de 30 minutes par semaine, puis d’augmenter la cadence progressivement.

Catégories
Uncategorized

Traitement de l’Alzheimer : une prédiction futuriste étonnante

Le Daily Mail (UK) rapporte une prédiction stupéfiante en matière de traitement éventuel de la maladie d’Alzheimer, une nouvelle qui a de quoi semer l’optimisme chez les spécialistes, les chercheurs, les patients et la population vieillissante, si elle s’avère fondée.

Selon des chercheurs de l’Université Cardiff, Julie Williams en tête, il serait possible dans un avenir rapproché de mettre au point un traitement sous forme de vaporisateur nasal qui échangerait et ajouterait des gènes en santé chez le patient qui l’utilise.

Quels gènes? À commencer par les 11 identifiés dans cette recherche, la même qui mène à cette prédiction quasi historique. Cette dernière se base sur le travail de 180 chercheurs basés dans 15 pays différents, et qui concluent conjointement à l’existence de 11 autres gènes qui augmentent les risques de développement de la maladie d’Alzheimer, portant le total à 21.

Williams, directrice de la recherche, résume : « Ce qui nous a surpris le plus est le schéma très fort qui montre l’implication de plusieurs gènes menant à la démence. Chaque gène individuel apporte un risque faible, mais quand on place toute l’information ensemble, ils (les gènes) nous racontent une intéressante et nouvelle histoire. Ça nous mène dans une nouvelle direction ».

Encore une fois, la réponse semble bel et bien se trouver dans l’analyse génétique, et Julie Williams croit qu’il est raisonnable de croire à un traitement de l’Alzheimer d’ici les dix prochaines années.

Catégories
Uncategorized

Les problèmes liés au retour à l’heure normale

C’est déjà le retour de ce moment où chaque personne effectuera presque simultanément un même geste simple, mais fort important : changer d’heure.

C’est le dimanche 3 novembre à 3 :00 AM, donc dans la nuit de samedi à dimanche, que nous devrons revenir à l’heure dite « normale », et ainsi reculer de 60 minutes horloges et cadrans.

Mais selon Top Santé, plusieurs problèmes liés à ce changement peuvent survenir, peu importe l’âge.

Les enfants peuvent sembler de moins bonne humeur le matin, par exemple, ce simple changement d’une heure pouvant affecter leur cycle de sommeil et leur « routine » biologique.

Mais le phénomène peut également attaquer les parents et les adultes, dont certains disent ressentir une certaine fatigue, une déprime ou encore une baisse de régime au travail suivant le retour à l’heure normale.

Qu’on parle ici d’effet placebo ou de déprime hivernale, puisque ce changement d’heure annonce bel et bien l’arrivée de l’hiver, il ne faut jamais prendre nos symptômes et nos humeurs à la légère, croient les spécialistes.

On suggère plutôt de vaquer à nos occupations à notre rythme, d’éviter le stress et de ne pas hésiter à consulter, ne serait-ce qu’une fois, si les troubles de l’humeur ou les baisses d’énergie deviennent soudainement trop importantes.

Catégories
Uncategorized

La danse au secours de patients atteints du Parkinson

Le Globe and Mail rapporte une touchante et prometteuse initiative de la part d’un groupe de chercheurs canadiens et de la National Ballet School de Toronto, qui vise à aider des groupes de patients atteints de la maladie de Parkinson à améliorer leur sort grâce à la danse.

Alors que le projet est déjà un succès sur le terrain, le programme officiel n’en est qu’à sa moitié, et tentera de définir pourquoi la danse semble avoir un impact si positif sur ces patients, qui affichent des améliorations notables de leur état de santé physique et psychologique au fil de ces classes de danse.

Des tests poussés seront effectués sur ces groupes de patients afin de comprendre les réponses cérébrales et analyser les raisons qui font que la danse semble outrepasser certaines barrières, pourtant créées par la maladie de Parkinson.

Mais au-delà du langage scientifique et des recherches, l’initiative a déjà changé la vie de ceux et celles qui participent à celle-ci, comme le quotidien le constate.

Catégories
Uncategorized

Les femmes peuvent encore espérer vivre quatre ans de plus que les hommes

Le Telegraph (UK) rapporte une étude statistique qui donne encore une fois l’avantage de l’espérance de vie aux femmes, alors que ces dernières peuvent espérer vivre quatre ans de plus que les hommes.

Ces chiffres, basés sur des données britanniques, mais qui se transposent facilement à la population mondiale, font également état d’une hausse de longévité potentielle de quelques points pour les enfants nés entre 2010 et 2012.

On parle donc d’une espérance de vie de 79 ans pour les hommes et de près de 83 % pour les femmes, et d’une moyenne globale totale de près de quatre années de différence.

Encore une fois, ces chiffres peuvent varier grandement en fonction de la classe sociale, du style de vie et du lieu de résidence d’un individu, mais on constate néanmoins des hausses générales de longévité, même chez les hommes, chez qui celle-ci semble même plus rapide dans son évolution.

Pour l’instant, les femmes conservent la palme et peuvent aspirer à quatre années de plus que leurs congénères, quatre années de paix et de tranquillité, diront certaines. 

Catégories
Uncategorized

Une étude se porte à la défense du fromage

Il semble qu’il existe des courants et des modes en nutrition, alors que certains aliments se voient subitement massivement mis en relief dans des campagnes de promotion agressives, et que d’autres se voient ostracisés, devenant soudainement des ennemis de la santé.

Ce fut le cas du café, à une certaine époque, avant que celui-ci retrouve ses lettres de noblesse au fil des deux dernières années. On peut également penser au vin et à la bière, aux suppléments de vitamine et aux œufs, qui sont passés d’une catégorie à l’autre en l’espace de quelques modes.

L’un des plus récents et probants exemples de ce mouvement d’opinion est sans aucun doute celui du fromage, qui fut depuis des décennies un allié puissant de la santé, avant que l’on décide qu’il était « trop gras » et « dangereux pour le cœur ».

Or, Top Santé rapporte une nouvelle étude sur le sujet, qui invalide partiellement ces théories. La recherche, effectuée par le cardiologue Aseem Malhotra et publiée dans le British Medical Journal, conclut que les dangers du fromage et du beurre qui sont véhiculés en ce moment ne sont qu’une infime partie du tableau global.

« Paradoxalement, en cessant de consommer du beurre et du fromage, nous avons pris des risques cardiovasculaires, car les produits laitiers riches en graisses saturées sont également riches en vitamine A, en vitamine D, en calcium et en phosphore, dont notre corps a besoin pour bien fonctionner. Mais les consommateurs doivent faire la différence entre les graisses saturées et les gras trans que l’on trouve souvent dans les produits tout préparés, les plats industriels et la malbouffe », écrit le Dr Malhotra dans une analyse qui se veut on ne peut plus claire.

Catégories
Uncategorized

L’Australie sonne la charge contre les lits solaires bronzants

C’est donc finalement l’Australie qui mène et sonne la charge contre les lits de bronzage et les salons qui les opèrent, rapporte le Daily Mail (UK), alors que les cas de cancer de la peau sont en voie de devenir un véritable fléau dans ce pays.

On rapporte notamment que le cancer de la peau serait responsable de 2000 morts sur le territoire australien, et qu’il compterait pour 80 % de tous les cancers diagnostiqués en Australie!

Des statistiques effarantes, mais qui traduisent bien le phénomène mondial, alors que les lits et salons de bronzage sont de plus en plus populaires un peu partout, avec les conséquences que l’on voit maintenant.

Les autorités australiennes en ont maintenant assez et annoncent que tous les États ont finalement décidé de bannir les lits de bronzage en Australie, une décision qui prendra effet le 31 décembre prochain.

Chaque propriétaire de salon recevra l’équivalent d’environ 860 $ par lit de bronzage, à titre de compensation.

Alors que les études sur les dangers du bronzage artificiels s’empilent, on estime qu’il existe 87 % plus de risques de développer un mélanome chez les personnes ayant utilisé des lits de bronzage avant l’âge de 35 ans que celles qui n’en ont jamais fait l’usage.

Catégories
Uncategorized

Les troubles alimentaires touchent aussi les garçons

Radio-Canada rapporte une entrevue accordée à Catherine Perrin par trois invités qui se spécialisent à leur façon dans les troubles alimentaires, trois hommes de surcroît, et qui croient qu’on ne parle pas assez de ce type de problèmes chez les garçons.

Il s’agit du Dr Jean Wilkins, de l’auteur Simon Boulerice et de Jean-Marie Lapointe, qui partagent tous le même avis.

Simon Boulerice et Jean-Marie Lapointe veulent sensibiliser les garçons victimes de boulimie et d’anorexie et leur entourage, et lancer le message que le phénomène n’est pas plus banal lorsqu’il s’agit d’un garçon que d’une fille.

Le Dr Wilkins a quant à lui fondé la division de médecine adolescente de Sainte-Justine, et souligne qu’une personne sur dix souffrant de troubles alimentaires est en fait un garçon.

« Le contrôle est central dans cette maladie-là. On pourrait dire que c’est une inflammation du contrôle : une contrôlite! », explique avec couleur le spécialiste.

Boulerice et Lapointe en profitent pour partager leurs expériences avec la maladie, mais surtout pour dénoncer l’absence presque totale de compréhension et d’empathie de la part des gens, simplement parce qu’ils sont des hommes. Un problème que le trio souhaite contribuer à changer.