Catégories
Uncategorized

Ces régimes ruinés par l’alcool

Le DailyMail (UK) rapporte des statistiques intéressantes concernant les régimes et ceux qui les suivent, et les conséquences d’une consommation d’alcool simultanée.

Un sondage réalisé par la firme Forza révèle qu’une bonne proportion de ceux qui tentent de perdre du poids en se mettant au régime ruinent leurs efforts en sortant le soir et en consommant trop d’alcool.

C’est quatre individus sondés sur dix, et ayant répondu oui à la question « Suivez-vous un régime? », qui admettent continuer de boire de l’alcool.

Le problème, c’est qu’une virée dans une boîte de nuit peut se transposer en plus de 1000 calories, ce qui peut contrer les effets d’un régime en un rien de temps. Plus du quart des répondants consommerait d’ailleurs le quart de leurs calories en alcool chaque semaine, un problème souvent mésestimé par les gens qui désirent perdre du poids.

De plus, il existe une corrélation claire entre faire la fête et sombrer dans la nourriture grasse et calorique par la suite, ce qui rend la statistique alors complètement catastrophique. 

Ce sondage confirme donc la vision d’une majorité de chercheurs et de spécialistes, qui conseillent justement de d’abord couper dans l’alcool lorsqu’une personne entame un régime!

Catégories
Uncategorized

Rester debout pourrait vous faire gagner deux années supplémentaires

Des chercheurs de l’Université de Chester dévoilent leurs conclusions se basant sur une prémisse fort simple, mais qui ne nous apparait pas toujours de façon évidente au quotidien.

Le Dr John Buckley et son équipe ont en effet déterminé que les impacts positifs sur la santé du simple fait de rester debout, au lieu de toujours chercher à s’assoir, sont nombreux et vérifiables, rapporte Top Santé

On le sait, la sédentarité (terme qui définit l’inaction, le manque d’activité physique) est blâmée et considérée comme l’un des principaux facteurs de problèmes de santé, comme l’obésité et les maladies cardiovasculaires.

Or, il n’est pas toujours facile de bouger dans un contexte de travail de bureau, par exemple, et de trouver le temps qu’il faut pour l’activité physique au fil de semaines qui s’étirent et n’en finissent plus.

Selon Buckley, la solution est toute simple et réside en partie dans le fait de se lever et de rester debout dans le plus de situations possible, ce qui permettrait à un individu de brûler 750 calories de plus par jour, et même de gagner deux ans en espérance de vie!

« Faire du sport présente de nombreux avantages pour la santé, mais cela ne pourra pas réparer les dommages causés par la position assise prolongée. Notre corps a besoin d’être stimulé et de produire une activité musculaire quotidienne », explique Buckley, qui croit qu’un minimum de trois heures passées debout par jour devrait être observé pour en retirer tous les bénéfices.

Catégories
Uncategorized

La chirurgie robotisée provoque le débat

Si vous croyez que les opérations chirurgicales effectuées par des robots sont de l’ordre d’un avenir lointain, détrompez-vous.

En fait, de plus en plus de centres hospitaliers dans le monde utilisent et perfectionnent la robotique médicale, et certaines opérations ont déjà été effectuées par des robots, sous la supervision de personnel médical qualifié.

Or, l’arrivée soudaine des technologies du futur dans le monde médical soulève des interrogations et des peurs, et provoque un débat enflammé.

D’un côté, les pro-technologies affirment que la précision calme et froide d’un robot permettrait de désengorger certaines listes d’attente et d’élever les taux de réussite de certains types de chirurgies plus poussées.

De l’autre, les anti-robots voient en cette ère de la robotique une gigantesque porte s’ouvrir sur les erreurs médicales, les morts prématurées et d’horribles accidents.

Et ce deuxième groupe a de quoi argumenter, alors qu’on recense 70 décès liés à des manœuvres robotisées en centre hospitalier sur le territoire américain depuis 2009, et que certains problèmes de conduction d’électricité ont été observés.

 Cependant, tous ces cas doivent être mis en perspective du nombre total d’opérations médicales en tous genres impliquant une technologie robotique, soit 367 000 en 2012 seulement (États-Unis), selon le Daily Mail (UK).

Quoi qu’il en soit, le débat risque de se poursuivre encore longtemps, et comme l’histoire l’a démontré, rien ne peut vraiment stopper la montée de la technologie. Ce genre d’opérations risque de devenir de plus en plus fréquent dans nos vies et dans le monde médical.

Au Québec, avec les problèmes de budget restreints, la question risque de ne pas se poser vraiment avant longtemps…

Catégories
Uncategorized

Les choux protègeraient aussi des dangers des traitements par radiation

Une nouvelle étude avance que les choux, comme le chou-fleur et le brocoli, ne seraient pas que des alliés en prévention du cancer, mais aussi lorsque celui-ci se développe et qu’un traitement par radiation est nécessaire.

On sait depuis maintenant un bon moment que les membres de la famille du chou, les crucifères, sont d’excellents aliments anti-cancer, grâce à leur teneur en DIM. Or, selon ce que rapporte Top Santé, ils permettraient aussi de protéger des effets retour de la radiothérapie, ironiquement proposée justement dans les cas de cancer.

Eliot Rosen et son équipe de la célèbre Université Georgetown ont dû irradier des groupes-tests de rongeurs, des rats et des souris, afin de confirmer leur théorie concernant les effets protecteurs du DIM.

« Tous les rats qui n’avaient pas été traités au DIM sont morts. Mais plus de la moitié de ceux qui l’avaient été sont restés vivants 30 jours après avoir été irradiés. Le DIM a été étudié en tant qu’agent de prévention du cancer, mais nos travaux montrent qu’il peut aussi agir comme un protecteur anti-rayonnement. Le DIM pourrait protéger les tissus normaux chez les patients recevant une radiothérapie contre le cancer, mais il pourrait aussi protéger les individus contre les conséquences fatales d’une catastrophe nucléaire », conclut Rosen.

Compte tenu de ces récentes découvertes et de leurs nombreux avantages sur le plan nutritif, on suggère donc fortement d’intégrer les crucifères à notre alimentation le plus souvent possible.

Catégories
Uncategorized

Le sommeil ciblé en prévention de la maladie d’Alzheimer

Alors que les recherches pour traiter, prévenir et enrayer l’Alzheimer vont bon train, et que plusieurs essais semblent prometteurs et en apprennent davantage sur ce qui cause la terrible maladie, la course au traitement préventif bat son plein.

De plus en plus de tests et d’analyses comparatives permettent de mieux comprendre ou plutôt de voir l’évolution de la maladie. On n’a qu’à penser à ces fameuses plaques cérébrales (ou amyloïdes) identifiées récemment par les chercheurs, et qui sont l’indicateur principal du développement actif ou éventuel de la maladie d’Alzheimer.

Mais alors, comment en freiner l’évolution? Selon ce que rapporte The National Library of Medicine, l’une de ces solutions pourrait se trouver dans de bonnes nuits de sommeil, tout simplement.

Adam Spira, de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, croit qu’il existe effectivement une corrélation entre le sommeil et l’Alzheimer chez les personnes plus âgées. « Il y a un lien entre le sommeil et la quantité de bêta-amyloïde retrouvée dans le cerveau », explique-t-il.

Cependant, il reste à savoir si le sommeil de qualité peut vraiment aider en prévention de l’Alzheimer, ou si cette dernière cause un sommeil de moindre qualité, ce qui donnerait les mêmes résultats d’étude, sans permettre d’avancée.

« Ce que nous avons observé chez les gens qui ne présentent pas de signes d’Alzheimer nous mène à croire qu’il y a une connexion entre la privation de sommeil et le développement des plaques amyloïdes et de l’Alzheimer, mais on ne peut le confirmer encore. »

Alors que d’autres études sont donc à prévoir, une toute récente concluait que le cerveau s’affaire à effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement lors du sommeil, un nouveau fait qui peut facilement s’accoler à la théorie de Spira et de ses homologues.

Catégories
Uncategorized

Le bonheur des hommes passerait par leur vie sociale

Un homme heureux est celui qui voit souvent ses amis, pourrait résumer la pensée de Robin Dunbar, de l’Université d’Oxford, qui publie une étude sur le lien entre le bonheur des hommes et leur vie sociale.

Les conclusions de Dunbar, rapportées par le Daily Mail (UK), parlent d’une nécessité pour l’homme de voir ses congénères plusieurs heures par semaine pour atteindre un certain niveau de bonheur, même si ces heures sont consacrées à ne pas faire grand-chose!

Ainsi, une bière dans un pub, pratiquer un sport ou simplement discuter de tout et de rien suffirait à augmenter le taux de bonheur masculin. Mais pour y parvenir, Robin Dunbar suggère un minimum de deux fois par semaine… et de quatre amis!

Selon ses observations, les hommes qui respectent ces critères sont globalement plus heureux que leurs homologues qui se limitent à une visite par semaine ou qui ont moins de quatre amis.

Malheureusement, un tiers des hommes répondants à l’étude affirment avoir du mal à se dégager pour avoir une vie sociale épanouie, souvent à cause du travail.

Danny Wallace, un écrivain qui commente la recherche de Dunbar, déclare en conclusion : « La science nous dit d’avoir plus de plaisir ensemble et de faire plus de choses. Ce sont d’excellentes nouvelles, et nous devons obéir à la science! »

Parions qu’une bonne quantité d’hommes seront d’accord et risquent de faire imprimer cette étude en guise de « passeport de liberté ».

Catégories
Uncategorized

Reconnaître les premiers signes d’une dépression nerveuse ou professionnelle

L’automne apporte son lot de déprime, malgré sa beauté et ses couleurs fascinantes, et plusieurs personnes sont victimes d’une baisse de régime et de troubles de l’humeur à cette période.

Pour certains, ces symptômes seront plutôt précurseurs d’une véritable dépression, et il est important de savoir dépister le phénomène avant qu’il soit trop tard, selon Top Santé

Reconnaître une dépression avant qu’elle s’installe pour de bon peut épargner quantité de douleur et de temps, et peut même sauver des vies dans certains cas.

Le Dr Jean-François Lacoste s’inquiète particulièrement des troubles dépressifs et de l’humeur causés par le travail, que ce soit par une surcharge ou une frustration, des cas qui ne sont souvent pas pris au sérieux par les patients.

« Quand il se manifeste au travail, on a tendance à ne pas s’apercevoir de ces symptômes, car les choses se dégradent petit à petit. Souvent, les personnes en dépression vivent dans le déni. La dépression se manifeste par plusieurs symptômes : on ressent une impression de surmenage, une perte de plaisir. On va au travail à reculons. On se replie sur soi-même », explique avec conviction le Dr Lacoste.

Tristesse, épuisement, perte d’appétit ou surconsommation d’aliments sucrés, consommation élevée d’alcool ou de drogue (illégales, mais aussi de prescription), libido faible, voilà quelques facteurs qui peuvent indiquer que l’on glisse doucement vers une dépression… ou qu’on nage en plein dedans.

On conseille vivement de consulter rapidement un spécialiste de la santé afin de voir les options qui s’offrent, et de ne jamais prendre la décision d’opter pour des antidépresseurs à la légère.

Le seul fait d’en parler et de chercher de l’aide, cependant, peut permettre d’éviter de sombrer dans une spirale infernale de l’humeur et d’atteindre un dangereux point de non-retour.

Catégories
Uncategorized

Halloween : Attention aux allergies!

The National Library of Medicine rapporte une hausse des cas d’allergies lors de la fête d’Halloween et publie quelques recommandations pour éviter le pire.

Les conseils, initialement proposés par le Loyola University Health System, vont de la prévention à la proactivité, et on suggère de garder l’œil ouvert sur votre progéniture.

D’abord, on conseille de prévenir l’hôte d’une fête éventuelle des allergies de vos enfants, et d’être vigilant si vous tenez vous-même un événement. Il est prudent de lire les étiquettes et d’éviter les aliments qui provoquent statistiquement le plus d’allergies, comme les noix, le lait et les oeufs, par exemple.

Pour les enfants qui iront de porte en porte, on rappelle l’importance pour les parents qui connaissent les allergies de leurs petits de bien vérifier les sacs à la fin de la ronde, et de toujours apporter le traitement conséquent, lorsque prescrit.

Jetez toujours les produits dont vous êtes incertain de la provenance et des méthodes de production, et relisez les étiquettes en cas de doute.

On estime à 18 % la hausse des cas d’allergies lors de la soirée d’Halloween, une statistique qui va de pair avec la hausse globale fulgurante des allergies chez les jeunes.

Catégories
Uncategorized

Découverte du processus d’auto-nettoyage du cerveau durant le sommeil

On apprend via plusieurs sources, dont Top Santé, que non seulement le cerveau serait capable d’effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement, mais qu’il le ferait par ailleurs à notre insu, lorsqu’on dort à poings fermés.

C’est ce qui ressort des travaux de recherche d’une équipe de spécialistes de l’Université de Rochester, qui publient maintenant leurs observations et leurs conclusions.

« Alors que notre corps est endormi, le cerveau se met à accélérer son activité. Les cellules cérébrales rétrécissent pour aider à cette opération de nettoyage des toxines résultant de l’activité des neurones pendant les périodes de veille. En fait, ce travail de nettoyage nécessite une telle dépense d’énergie de la part du cerveau qu’il ne pourrait pas se dérouler pendant que nous sommes éveillés. Nous n’aurions alors plus assez d’énergie pour articuler nos pensées correctement », explique le Dr Maiken Medergaard, qui dirige ces stupéfiants travaux d’étude.

Le Dr Medergaard croit par ailleurs que cette découverte pourrait permettre de mieux comprendre certaines clés d’un traitement contre l’Alzheimer, par exemple, dont l’une des raisons pourrait justement être une « intoxication » des cellules cérébrales.

Catégories
Uncategorized

Une farine qui permettrait de réduire les risques de démence

Des chercheurs sont à mettre au point un nouveau type de farine, rapporte MedicalNewsToday, qui pourrait permettre de réduire les risques de démence.

C’est à tout le moins le souhait exprimé par l’équipe de chercheurs des universités de Loughborough, Bogor et d’Indonésie, qui concoctent une farine à base de tempe, un ingrédient largement répandu dans la cuisine asiatique.

Il s’agit donc d’une farine à base de soja, qui comprend un nombre considérable de vitamine B et de phyto-estrogènes, des éléments qui stimuleraient les fonctions cognitives et de la mémoire, selon plusieurs études précédentes.

Maintenant que les essais cliniques et les études sur les peuples asiatiques ont démontré la véracité de leur théorie, les chercheurs en tête du projet souhaitent maintenant commercialiser leur nouvelle farine.

« La prochaine étape est de voir si on peut répéter nos découvertes initiales sur la population occidentale. Si ça fonctionne, ce sera une étape majeure de franchie en prévention du déclin de la mémoire dû au vieillissement », résume Eef Hogervorst, l’un des directeurs du projet et chercheur à l’Université de Loughborough