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L’air officiellement cancérigène, selon l’OMS

C’est une véritable bombe que ce rapport de l’OMS, alors que l’Organisation mondiale de la santé classe officiellement l’air ambiant comme une substance cancérigène, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

Alors que les cas de cancer semblent augmenter de façon constante, et ce, malgré les progrès stupéfiants de la médecine moderne et des sciences, on cherche à déterminer depuis longtemps les causes qui peuvent expliquer le phénomène.

L’une des théories persistantes est celle de l’air ambiant, respiré par tous, qui serait teinté de substances cancérigènes. Une théorie qui serait maintenant vérifiée et vérifiable, selon l’OMS.

« Notre tâche était d’évaluer l’air ambiant que tout le monde respire, plutôt que de mettre l’accent sur des polluants spécifiques. Les résultats de nos études pointent dans la même direction : le risque de développer un cancer du poumon est dramatiquement plus élevé chez les personnes soumises à la pollution de l’air », explique Dana Loomis dans un communiqué.

Bien entendu, cette notion est variable selon les régions du monde et la location géographique d’un individu, mais ces révélations ont de quoi décevoir et rendre pessimiste.

La Chine serait l’une des régions du monde les plus touchées par la pollution de l’air, à cause de son industrialisation effrénée, conclut aussi l’étude.

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La crise de la quarantaine frappe aussi en santé

La fameuse crise de la quarantaine frappe une bonne partie de la population qui arrive à cette étape importante de la vie, et ce virage apporte souvent son lot de comportements nouveaux et de bilans sérieux.

Le phénomène n’en serait pas qu’un social ou psychologique, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), mais frapperait aussi l’imaginaire en termes de santé physique, selon les conclusions d’une étude sur le sujet.

En fait, il appert que les trois quarts des individus, ici des Britanniques, s’inquièteraient fortement de leur bilan au tournant de la quarantaine, à un point tel que la moitié d’entre eux affichent des changements de comportements radicaux lorsque la trentaine se termine.

Arrêt du tabagisme, réduction de la consommation d’alcool, activité physique plus abondante et régulière, meilleure alimentation, voilà quelques-unes des mesures prises par une quantité phénoménale de jeunes quarantenaires, soucieux des impacts de leurs choix de vie antérieurs.

Il semble que ce soit aussi une période qui apporte son lot de remords et d’inquiétudes, alors que 64 % affirment regretter ne pas avoir fait ces choix plus jeunes, et 50 % s’interrogent sur leur capacité à inverser les dommages causés à leur corps.

Bien qu’il n’y ait pas d’âge pour commencer à s’occuper de soi, commencer jeune à penser à sa santé semble permettre d’éviter tout un volet d’une crise qui parait déjà plutôt intense.

Par ailleurs, il semble que le phénomène touche cette fois autant les femmes que les hommes.

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Le rôle de la sérotonine dans la perte de poids

La sérotonine et son impact sur la perte de poids éventuelle d’un individu intéresse de plus en plus les chercheurs, rapporte Top Santé, alors que deux spécialistes américains publient une étude qui affirme que la sérotonine permet d’accélérer le processus de perte de poids.

Cette recherche se base initialement sur des analyses effectuées sur un ver, le C. elegans, qui semble perdre du poids tout en conservant le même rythme de consommation de nourriture.

Perdre du poids sans cesser de manger ou diminuer l’apport calorique, donc?

Oui, expliquent les deux chercheurs californiens, à condition que deux éléments actifs soient réunis, à commencer par la sérotonine. Le deuxième élément est l’adrénaline, qui permettrait de maximiser les effets de perte de poids causés par la sérotonine, initialement.

« Lorsqu’on active la perte de poids en donnant juste de la sérotonine, c’est mieux qu’un composant équivalant à l’adrénaline soit présent. Si vous enlevez l’adrénaline, la sérotonine reste active, mais l’efficacité est grandement réduite. Ces deux neurotransmetteurs ont besoin l’un de l’autre », résume la Dre Supriya Srinivasan, qui publie sa recherche dans la plus récente édition du magazine Cell.

Srinivasan et ses collègues croient maintenant que le procédé pourrait être recréé chez l’homme, pavant ainsi la voie à des traitements efficaces contre la prise de poids et l’obésité.

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Les hypocondriaques et Google ne font pas bon ménage

De plus en plus de gens consultent Google pour obtenir des explications médicales sur certains symptômes, ce qui agace un bon nombre de spécialistes et de praticiens, selon ce que rapporte le Telegraph (UK).

C’est que non seulement le célèbre moteur de recherche et les nombreux forums de discussion inhérents ne sont pas conçus pour diagnostiquer, ils ne font souvent que jeter de l’huile sur le feu pour les personnes sensibles ou carrément hypocondriaques.

Véritable phénomène en pleine progression, la « cyber-hypocondrie » ne fait que créer des paniques inutiles et perdre un temps précieux aux médecins qui doivent se battre contre un faux premier « diagnostic », croit justement le Dr Thomas Fergus de l’Université Baylor, au Texas.

Fergus croit que les dangers liés à l’utilisation de Google ou d’un autre moteur de recherche pour des fins de diagnostic sont nombreux. D’abord, les gens pourraient décider de s’automédicamenter en se basant sur ces résultats, mais plusieurs patients ressentiront aussi une anxiété et une détresse psychologique devant une situation qui n’existe probablement pas ou qui s’avère une distorsion de la réalité.

On conseille vivement de plutôt consulter un médecin pour connaître les explications entourant un ou plusieurs symptômes.

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Faire les bons choix pour la santé de nos enfants

Néanmoins, comme l’explique She Knows, le choix est parfois ambigu. Il faut éviter certains pièges et commencer tôt à prendre de bonnes habitudes, puisqu’on ne devient pas obèse du jour au lendemain.

Réduisez le sucre sous toutes ses formes. Que ce soit des gâteries ou du sucre naturel dans le miel, les fruits ou les jus, il faut réduire, sinon éliminer. Des recherches ont prouvé que le sucre nous rend dépendants et nous incite à consommer des aliments sucrés. Lisez les étiquettes et apprenez à vos enfants à les lire aussi.

Prenez garde à ce que l’on dit « naturel ». La publicité nous incite à croire, par exemple, que le yogourt nous maintient en santé parce qu’il s’agit d’un produit naturel. Or, la majorité des yogourts contiennent du sucre ajouté, surtout dans les restaurants.

Des calories restent des calories. Que les 100 calories proviennent de légumes ou d’une barre tendre, le décompte est le même. Un surplus quotidien de calories mène inévitablement vers la prise de poids. Soyez-en conscient.

L’exercice physique commence par l’exemple. Si vous ne vous impliquez pas et demandez à votre enfant de bouger, alors que vous ne faites aucune activité vous-même, adieu la motivation. Prêcher par l’exemple et trouvez une activité qui vous obligera vous aussi à délier vos articulations rouillées.

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Des biscuits Oreo qui créent une dépendance similaire à la cocaïne

Les Oreo peuvent-ils créer une dépendance? Mieux encore, les Oreo peuvent-ils créer une dépendance similaire à celle produite par la cocaïne?

Voilà une question qui peut sembler farfelue, mais que s’est véritablement posé un chercheur du Connecticut, aux États-Unis, selon le Daily Mail (UK).

Joseph Schroeder, un neuroscientifique du College Connecticut, aurait en effet démontré une forte dépendance liée au fameux biscuit Oreo, en testant sa théorie sur des rongeurs.

Les rats ont démontré des symptômes de dépendance similaires à ceux observables chez les cocaïnomanes, et ont choisi systématiquement le biscuit aux autres options proposées.

Mais il y a plus encore… Il semble que les rongeurs aussi préfèrent manger la crème de l’Oreo en premier! Des révélations qui font sourire, cela va de soi.

Même si l’étude semble étrange et inutile, elle démontre pourtant une fois de plus l’impact des produits hautement sucrés et très gras sur notre corps et notre cerveau, particulièrement sur la zone de récompense de ce dernier.

Au final, la zone de récompense réagit un peu de la même façon lorsqu’on mange ce genre d’aliment, à savoir ici un Oreo, que lorsqu’on consomme une drogue comme la cocaïne. Ceci explique d’ailleurs partiellement combien il est difficile de stopper la consommation de ces produits, au profit d’aliments plus sains pour la santé. 

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Le poids de la culpabilité n’est pas qu’une métaphore

Ressentir le « poids de la culpabilité » relèverait davantage du littéral que de la métaphore, selon ce que rapporte Top Santé, alors que des chercheurs se sont penchés sur les impacts de l’émotion sur l’organisme.

Ainsi, l’équipe de chercheurs de l’Université de Waterloo, en collaboration avec Princeton, qui propose cette nouvelle étude arrive à la conclusion que la culpabilité entraîne une véritable sensation de lourdeur physique, ce qui rendrait plus difficile le quotidien des personnes rongées par les remords.

« Le souvenir des actes répréhensibles conduit les participants à rapporter un accroissement du poids corporel subjectif contrairement au souvenir des actes moraux. Cette corrélation avec le poids s’est faite uniquement pour le sentiment de culpabilité, et non pour d’autres émotions négatives comme la tristesse et le dégoût », explique Martin Day, de Princeton.

Pour en arriver à cette étonnante mais fascinante conclusion, les chercheurs ont effectué quelques tests sur un groupe de 153 sujets, qui ignoraient au moment de l’essai de quel type de test il s’agissait exactement. Ceux placés dans un contexte qui faisait ressurgir leur culpabilité ont ensuite étrangement éprouvé plus de difficulté à réaliser certaines tâches que les autres, confirmant du même coup l’effet de « poids » supplémentaire à porter.

Encore une fois, cette étude démontre l’impact des émotions et de nos gestes sur notre organisme et sur notre avenir, une conclusion qui pourrait permettre à certaines personnes d’y penser à deux fois avant de commettre des gestes regrettables.

Un des chercheurs impliqués dans l’étude déclare d’ailleurs : « L’anticipation de sentiments de culpabilité dans le futur peut aider des individus à éviter de participer à des actes immoraux qui violent leur morale personnelle ».

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Vaste campagne de prévention du VIH du côté d’Ottawa

Radio-Canada rapporte une belle initiative de prévention du VIH au Canada, plus précisément du côté de la ville d’Ottawa, alors que les autorités ont décidé de proposer gratuitement un médicament capable de réduire les risques d’infection.

La campagne vise particulièrement les personnes jugées plus à risque de contracter la maladie, notamment les toxicomanes.

Le médicament en question est appelé PPE, ou prophylaxie post-exposition, et peut étonnamment prévenir le développement du VIH dans les 72 heures suivant une exposition à risque de la part d’un sujet.

Déjà utilisé dans certains cas d’exposition accidentelle, que ce soit au travail ou à la suite d’une agression sexuelle, le PPE est un traitement qui coûte en moyenne 2000 $ en milieu hospitalier.

Il s’agit donc d’une très belle initiative que de l’offrir gratuitement aux personnes à risque, puisqu’il s’agit d’une option de prévention efficace, à tout le moins selon Patrick O’Byrne, de l’Université d’Ottawa.

Le projet s’échelonnera sur douze mois, et on souhaite pouvoir offrir le traitement à au moins deux personnes par mois. Une dizaine de personnes auraient jusqu’à maintenant pu profiter du PPE dans le cadre du programme, que l’on souhaite voir s’étirer encore plus longtemps que prévu.

À noter que selon les plus récentes statistiques, le VIH et le sida seraient en recul dans le monde pour la première fois depuis le début de leur explosion, il y a plusieurs années.

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Le bacon nuirait aux chances de conception chez l’homme

La passion de l’homme pour le bacon comporterait un danger majeur, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK). En effet, la consommation de cette viande serait nuisible au sperme et, par conséquent, aux chances de conception masculine.

C’est ce que croit une équipe de chercheurs américains de Harvard, qui présentera cette semaine une nouvelle étude sur le sujet lors d’une rencontre de l’American Society for Reproductive Medicine, à Boston.

Les chercheurs de Harvard croient que cette conclusion s’applique aussi aux autres viandes transformées, et pas qu’au bacon, et que même une consommation modérée peut nuire aux chances de procréer.

Les chercheurs ont remarqué une baisse des spermatozoïdes viables chez les consommateurs de ces viandes, et conseillent vivement aux hommes qui désirent avoir un enfant de se mettre au poisson.

« Nous avons découvert que la consommation de viandes transformées réduit la qualité, alors que le poisson l’augmente », résume la Dre Myriam Afeiche, chercheuse en tête de ces recherches.

Le Dr Allan Pacer, de la British Fertility Society, croit cependant qu’il s’agit d’une étude minimale, et qu’il faut être prudent avant de tirer des conclusions aussi précises.

« La relation entre la diète et la fertilité masculine en est une intéressante, et il y a maintenant des preuves convaincantes que les hommes qui mangent plus de fruits et de légumes ont une meilleure qualité de sperme que ceux qui n’en mangent pas. Cependant, on en sait beaucoup moins sur les impacts d’une mauvaise diète, et sur les aliments qui pourraient être liés à une baisse de fertilité. »

Encore une fois, donc, une saine alimentation est à prescrire chez les couples qui souhaitent concevoir, tout comme elle l’est pour la population en général en tout temps.

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Les ondes électromagnétiques ne seraient pas aussi nocives que prévu

Alors qu’une grande proportion de la population s’inquiète de l’impact négatif des ondes électromagnétiques sur la santé à court et long terme, un groupe d’experts français semble vouloir calmer le jeu.

Top Santé rapporte en effet les conclusions de spécialistes de l’Anses (agence nationale de sécurité sanitaire), qui croient que rien ne sert de céder à la panique ou à la paranoïa en ce qui concerne les ondes qui nous entourent.

Ce groupe de 16 experts croit plutôt que les ondes électromagnétiques sont « bénignes », et que les données analysées « … ne mettent pas en évidence des effets sanitaires avérés ». Le rapport conclut donc qu’il n’est « … pas fondé de proposer de nouvelles valeurs limites d’exposition pour la population générale ».

Bien sûr, plusieurs douteront de la véracité de ces propos et de ces conclusions, et ils n’auraient pas tort en ce qui concerne les ondes propulsées par les téléphones cellulaires et intelligents. Ces derniers seraient, comme la rumeur le veut, potentiellement nocifs pour le cerveau, notamment.

« Certaines publications évoquent […] une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale, sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphones portables », mentionne-t-on dans le rapport.

Les conclusions proposées dans ce nouveau rapport sur les ondes électromagnétiques sont celles obtenues après quatre ans d’analyse et de collecte de données, toujours selon l’Anses.