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Connaissez-vous le syndrome de Martin et Bell ou de l’X fragile ?

Hier (10 octobre) se tenait la journée européenne de sensibilisation d’un syndrome appelé « X Fragile » ou « syndrome de Martin et Bell », rapporte Top Santé.

Le syndrome, qui toucherait un garçon sur 1000 et une fille sur 9000, est largement méconnu du grand public et mérite qu’on lui accorde de l’attention, croient les experts.

L’une des raisons qui expliquent cette méconnaissance est l’absence ou la subtilité des symptômes liés à la maladie. C’est d’ailleurs pourquoi un grand nombre de parents ne découvrent le problème chez leur enfant qu’à l’âge de l’apprentissage, où certains retards peuvent se manifester.

Le syndrome de Martin et Bell ou de l’X fragile tient son nom de la faiblesse observable au niveau du chromosome X chez le patient qui en souffre, et se caractérise par l’absence d’une protéine qui s’avère nécessaire au fonctionnement « normal » du cerveau humain.

Les spécialistes espèrent que cette journée de sensibilisation permettra à plus de gens de découvrir et de mieux comprendre le syndrome, dépisté par un test génétique.

Un film extrêmement touchant est par ailleurs proposé pour faire la lumière sur ce syndrome, intitulé Mission To Lars. Ce dernier raconte l’histoire de Tom Spicer et de son rêve ultime : rencontrer le batteur de Metallica, Lars Ulrich.

Voyez un extrait de Mission To Lars.

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Le paradoxe canadien des médecins spécialistes

Radio-Canada rapporte un paradoxe aussi frustrant qu’étonnant, alors qu’une nouvelle étude révèle qu’un taux élevé de médecins spécialistes canadiens peinent à se trouver un emploi.

Incroyable, quand on pense aux problèmes criants du système de santé actuel, spécialement au Québec. Ce serait donc 7,7 % des nouveaux médecins spécialistes qui affirment avoir du mal à se dénicher un emploi, un chiffre qui grimpe à 16 % sur l’ensemble du territoire canadien.

42 % affirment souhaiter suivre une formation complémentaire afin d’améliorer leurs chances, mais plusieurs se demandent comment les autorités peuvent se permettre de se priver de toutes ces ressources disponibles sur le marché.

C’est le cas de Danielle Fréchette, qui dirige l’étude commandée par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

« Pour nous, un neurochirurgien ou n’importe quel autre médecin spécialiste qui est sans emploi est problématique quand on pense aux listes d’attente des patients. Comment est-ce qu’on peut s’organiser pour répondre à leurs besoins? Il faut penser aux patients et aux listes d’attente que subissent ces patients. Pourquoi est-ce qu’on ne peut pas arrimer la production du système de formation avec les ressources qui sont disponibles et arrimer les ressources avec les besoins de la population? » s’interroge Fréchette, avec une pointe d’impatience bien sentie.

Le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada doit tenir un sommet l’hiver prochain, afin de voir comment cette situation pourrait être améliorée.

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Le manque de sommeil n’est pas compensé par la grasse matinée du week-end

Dormir tard le samedi et le dimanche comporte ses bienfaits, mais ne parviendrait pas à compenser le manque de sommeil accumulé au fil de la semaine par les gens qui sont débordés, selon une étude rapportée par le Telegraph (UK).

L’étude américaine, menée par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie, constate que deux bonnes nuits de sommeil ne s’avèrent pas suffisantes pour récupérer adéquatement. Conséquemment, les personnes qui se privent de sommeil en semaine pour le rattraper le week-end s’exposeraient à plusieurs problèmes de santé, cognitifs et de performance.

« Deux nuits de récupération de sommeil ne seraient peut-être pas suffisantes pour annuler les déficits d’attention résultants d’un manque de sommeil. Ce comportement peut avoir des implications importantes pour les personnes qui travaillent dans des domaines critiques comme le milieu de la santé et du transport », met en garde le Dr Alexandros Vgontzas, spécialiste du sommeil.

Il est donc conseillé de ne pas sous-estimer l’importance de bonnes nuits de sommeil tout au long de la semaine ni les impacts négatifs à long terme d’une privation de sommeil sur la santé physique et mentale.

Un récent sondage sur les habitudes de sommeil dans le monde démontrait qu’une grande proportion de la population mondiale ne dort pas suffisamment, ce qui inquiète les spécialistes. 

 

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Le bois de réglisse permettrait le traitement de certains cancers

Le bois de réglisse (liquorice) ou racine pourrait bien posséder une nouvelle corde à son arc, et pas la moindre.

On sait déjà que la plante est utilisée en traitement de certains problèmes de peau et contre les inflammations, mais ce sont ses propriétés anti-cancer qui intéressent davantage les chercheurs dans cette nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK).

En effet, lors de recherches effectuées dans un laboratoire américain, au Minnesota, des spécialistes sont parvenus à ralentir, puis à stopper la progression de mélanomes malins grâce au bois de réglisse.

Même les formes les plus puissantes de ce type de cancer de la peau ne pourraient résister à l’effet du traitement, ce qui jette un vent d’optimisme au sein de la communauté scientifique, d’ailleurs palpable dans les résultats publiés par le Cancer Prevention Research.

L’équipe de chercheurs américains souhaite maintenant transposer le processus sous forme de médicament, et ainsi gagner une autre bataille dans cette guerre sans relâche contre le cancer.

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Des pépites de poulet qui créent l’illusion

Les chaînes de restauration rapide sont devenues l’ennemi à abattre en santé de nos jours, et malgré des campagnes de prévention et une meilleure information, le public continue toujours d’affluer dans les différentes succursales de ces restaurants à travers le monde.

Les comportements changent, cependant, puisque plusieurs tentent de faire des choix éclairés au sein même de ces franchises de fast-food, un effort qui s’avère toutefois le plus souvent vain.

Une tendance remarquée est celle de se tourner vers les produits au poulet plutôt que ceux au bœuf, mais cette manœuvre ne s’avère pas aussi profitable qu’on pourrait le croire, selon le chercheur américain Richard deShazo.

Selon les analyses effectuées sur certains produits au poulet, les pépites dans ce cas-ci, vendus dans deux des plus grandes chaînes de restauration rapide au monde, deSHazo conclut que celles-ci contiennent plus de gras que de poulet, et qu’il s’agit d’un choix désastreux pour la santé, rapporte Top Santé.

La plupart de ces pépites créeraient plutôt une « illusion de poulet », comme le mentionne le chercheur, et seraient composées véritablement d’à peine 40 % de viande.

« Nous savons tous que la viande de poulet est une très bonne source de protéines maigres, c’est la raison pour laquelle nous encourageons nos patients à en manger. Mais certains industriels choisissent d’utiliser une mixture à base de poulet plutôt que de la viande maigre. Ils la mélangent, la font frire et continuent à l’appeler poulet », lance deShazo, en guise d’avertissement.

Aux amateurs de pépites de poulet et de produits de la volaille, le chercheur conseille vivement de les préparer soi-même.

Les analyses et conclusions tirées de l’étude de Richard deShazo ont été publiées dans la plus récente édition de The American Journal of Medicine.

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Le Sprite serait le meilleur traitement contre la gueule de bois

La boisson gazeuse de marque Sprite vient d’être couronnée championne des lendemains de veille, rapporte le Daily Mail (UK), alors qu’une étude étonnamment exhaustive classe la boisson comme étant le remède idéal à la gueule de bois.

L’équipe de scientifiques chinois en tête de cette nouvelle étude arrive à cette conclusion après avoir analysé les impacts de 57 différentes boissons, rien de moins, sur la santé physique des individus à la suite d’une soirée bien arrosée.

Tout y est passé, du thé aux jus, en passant par le café et le fameux Bloody Mary, longtemps considéré comme la solution la plus efficace par les fêtards.

Or, la solution à votre gueule de bois résiderait dans une simple bouteille ou canette de Sprite, et l’impact de la boisson gazeuse sur la récupération physique s’expliquerait par certains de ses ingrédients.

Le thé, en contrepartie, ne peut non seulement pas aider une personne lors d’un lendemain de veille pénible, mais peut même allonger la période de gueule de bois!

Il s’agit d’une belle publicité gratuite pour la boisson gazeuse, qui n’a vraisemblablement pas que de mauvais côtés, semble-t-il.

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La superstition en traitement de l’anxiété

Superstitieux, mais moins anxieux? C’est un peu la logique qui se cache derrière les révélations rapportées par Top Santé, qui font état des bienfaits de la superstition en « traitement » des troubles anxieux.

Des chercheurs américains, de l’Université de Chicago, tracent un lien direct entre certaines actions superstitieuses et des niveaux de stress et d’anxiété plus bas, ce qui porte à croire que l’on pourrait utiliser cette méthode pour traiter certains troubles anxieux de façon partielle.

Bien que la superstition soit associée à la magie, au mystique, au karma et au cosmique, les psychologues sont loin de réfuter son utilité. Ils expliquent simplement que ces gestes, comme celui de toucher du bois ou de placer un porte-bonheur à un endroit clé, touchent une fibre importante de la psychologie humaine et permettent à l’individu qui pose le geste de se rassurer.

« Nous pouvons chercher à nous débarrasser des superstitions au nom de la modernité et du progrès, mais cela risque d’être difficile, car même si ces gestes nous semblent superficiels et irrationnels, ils sont parfois nécessaires. Les rituels superstitieux marchent vraiment. Ce n’est pas de la magie, c’est de la psychologie », peut-on lire dans les conclusions de l’étude publiée par le Journal of Experimental Psychology.

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Des chercheurs découvrent le « gène du couple »

Des chercheurs californiens affirment avoir fait une découverte qui permet d’expliquer pourquoi certaines personnes semblent plus douées pour vivre en couple, mais surtout en harmonie.

Si l’on se fie aux conclusions rapportées par le Daily Mail (UK), il semble que cela ait bien peu à voir avec le compromis ou encore la volonté, mais plutôt avec notre bagage génétique.

En effet, les chercheurs de l’Université de la Californie et de Berkeley, en collaboration avec l’Université Northwestern, tracent un parallèle entre le bonheur en amour et un gène appelé 5-HTTLPR. Ce dernier serait la clé d’un mariage heureux, selon la longueur de ses variantes.

Les chercheurs ont remarqué que les couples qui présentent des variantes plus courtes de ce gène semblent plus malheureux en amour que ceux qui présentent des variantes plus longues, une logique qui semble implacable pour Robert W. Levenson, un psychologue qui dirige l’étude.

« Avec ces nouvelles découvertes génétiques, nous comprenons maintenant beaucoup mieux ce qui détermine à quel point les émotions sont différentes pour chaque personne. Nous pouvons même affirmer que le bonheur conjugal est lié à la génétique. Deux personnes ayant des gènes 5- HTTLPR courts sont plus susceptibles de s’épanouir dans un mariage porté par des relations positives et souffriront dès que les relations se détérioreront. En revanche, les personnes ayant un ou deux gènes longs sont moins sensibles au climat émotionnel et supportent mieux les conflits et les relations négatives », explique Levenson, dans des propos également rapportés par Top Santé.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Emotion.

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Le cerveau d’Einstein partiellement démystifié

Une tentative de la part de deux chercheurs qui cherchaient à mieux comprendre le cerveau et l’intelligence ahurissante d’Albert Einstein aurait porté certains fruits, selon ce que rapporte Top Santé.

Weiwei Men, un chercheur chinois, et Dean Falk, de l’Université de la Floride, ont uni leurs forces pour tenter de percer le mystère. Ils révèlent leurs conclusions dans la plus récente édition du magazine Brain.

Les deux chercheurs prétendent qu’une partie du secret d’Albert Einstein réside dans le système qui relie les deux hémisphères du cerveau l’un à l’autre, particulièrement efficace dans le cas du père de la théorie de la relativité.

En parvenant à créer des photos haute résolution du cerveau d’Einstein et en les comparant à celles de sujets jugés pertinents à l’étude, par exemple des jeunes adultes de 26 ans (âge prolifique d’Albert Einstein), Men et Falk affirment que les connexions qui relient les deux hémisphères du cerveau sont plus sophistiquées ou nombreuses chez Albert Einstein.

« Cette étude, plus que toutes celles qui ont été réalisées jusqu’à aujourd’hui, est la seule qui a véritablement exploré l’intérieur du cerveau d’Einstein », s’enorgueillit Dean Falk, avec raison.

Cela dit, malgré la volonté féroce des scientifiques à vouloir démontrer ce qui a fait d’Einstein un personnage historique éternel, parions que nul ne pourra jamais réduire la personnalité et le charisme unique d’Einstein, ainsi que tout ce qui faisait de lui ce qu’il a été, à une équation mathématique.

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Médias sociaux : Les photos de nourriture ruinent votre appétit

Selon une nouvelle étude alimentaire qui analyse certains comportements sur les médias sociaux en lien avec la nourriture, les fameuses photographies de repas pourraient bien créer un phénomène inverse à celui que l’on croit.

Des chercheurs de la Brigham Young University (BYU) et de l’Université du Minnesota ont analysé le comportement de 232 participants volontaires dans le cadre d’une étude comportementale sur l’appétit et l’alimentation. Ils constatent que le simple fait de voir la nourriture des autres sur internet coupe l’appétit.

« En un sens, vous devenez fatigué de ce goût sans même avoir goûté le plat. C’est de l’ennui sensoriel. Vous êtes passé à autre chose. Vous ne voulez plus cette expérience désormais », explique Ryan Elder, professeur à la BYU et coauteur de l’étude.

La recherche, rapportée par MedicalNewsToday, a été publiée dans The Journal of Consumer Psychology et démontre pour la toute première fois l’impact des médias sociaux sur nos comportements et sur nos désirs.

Par exemple, les participants qui voient défiler des mets sucrés seront plus attirés par le salé, et vice versa. L’un des avantages de ce constat avancé par les chercheurs impliqués dans cette recherche est qu’il serait peut-être souhaitable pour quelqu’un qui veut éviter certains types de nourriture de regarder plusieurs photographies du plat interdit, et ainsi d’arrêter son choix sur autre chose.