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Les problèmes mentaux et la drogue plus meurtriers que le sida

S’il est plus facile d’apposer des étiquettes et des statistiques sur des maladies précises comme le sida, par exemple, les troubles mentaux et de consommation de drogues demeurent, eux aussi, un grand fléau en cette ère moderne.

C’est exactement le constat que rapporte Santé Log, à la suite d’une étude publiée sur le sujet, qui classe maintenant les problèmes psychologiques et de drogues comme plus meurtriers que le sida et la tuberculose.

Selon les chercheurs américains et australiens qui se sont penchés sur des statistiques mondiales pour en arriver à ces conclusions, les décès liés à la consommation d’alcool et de drogues sont dramatiquement élevés.

Même chose pour les troubles et désordres psychologiques comme la dépression, les troubles bipolaires et du développement, la schizophrénie et l’anxiété chronique.

Les deux types de problèmes sont parfois intrinsèquement liés et mènent trop souvent à des suicides, des surdoses ou encore à d’autres problèmes de santé graves.

L’étude presse donc les organisations et spécialistes de la santé de partout dans le monde à placer ces troubles comme une priorité absolue des campagnes de sensibilisation et de prévention, dans le futur.

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Réduire les risques de dépression en vieillissant grâce au vin

Vieillir comme le bon vin pourrait bien être plus facile… grâce au vin!

En effet, selon les informations rapportées par Top Santé, le vin serait un allié de taille dans la prévention de la dépression chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge, soit de 55 à 80 ans, en moyenne.

C’est justement cette tranche d’âge qu’ont analysé des chercheurs espagnols lors d’une étude qui trace un lien direct entre la consommation de vin et une réduction des risques de dépression chez les gens à l’âge de la retraite.

« Nous avons sélectionné 5500 personnes âgées de 55 à 80 ans et, pendant sept ans, nous avons suivi leur état de santé psychologique et mis en parallèle leur consommation de vin. Nous nous sommes rendu compte que le risque de dépression était diminué en moyenne de 32 % chez les personnes qui buvaient de deux à sept petits verres de vin par semaine », explique Miguel Martinez-Gonzalez, de l’Université de Navarre.

Donc, en moyenne, l’effet optimal pourrait se faire sentir avec un verre de vin bu quotidiennement, mais les excès risquent d’apporter plus de problèmes qu’ils n’en règlent!

Comme l’élément clé de cette réduction des risques de troubles dépressifs est le resvératrol, on suggère aussi de consommer des petits fruits comme la canneberge ou les mûres, par exemple.

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Catherine Zeta-Jones a ses propres problèmes, selon Michael Douglas

L’acteur vénérable et vénéré Michael Douglas confirmait il y a quelques jours à peine sa séparation de la jolie Catherine Zeta-Jones, et voilà qu’on en sait déjà davantage sur les raisons qui ont motivé ce choix.

Même si Douglas prend de l’âge et qu’il a été victime d’un cancer de la gorge, il semble que l’acteur soit toujours aussi enclin aux activités sociales et mondaines, ce qui ne serait pas le cas de son épouse.

Catherine Zeta-Jones aimerait mieux la vie à la campagne que la vie urbaine. Elle aime bien passer du temps seule à la maison ou encore sur un terrain de golf.

De plus, ses problèmes de bipolarité, qui ont mené à deux hospitalisations, auraient également pesé dans la balance. En bref, les deux acteurs auraient commencé à s’éloigner depuis quelque temps, un fait cristallisé par le cancer de Douglas, selon Catherine Zeta-Jones elle-même.

« Je n’avais jamais eu à gérer une situation comme ça avant. Je n’ai pas été aussi forte que j’aurais cru l’être. »

Elle Canada rapporte également les propos d’une source près de Douglas, qui lance candidement : « C’est stressant. Il l’aime, mais elle a ses propres problèmes ».

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La dépression frappe autant les hommes que les femmes

Plusieurs études et recherches tendent à vouloir démontrer que la dépression est un trouble qui frappe davantage les femmes que les hommes, ou à tout le moins que ces dernières présentent plus souvent des symptômes liés à la dépression que leurs congénères masculins.

Or, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, rien ne serait plus faux. Les conclusions de l’étude tracent plutôt un portrait équitable chez les deux sexes en matière de dépression, avec un pourcentage similaire d’environ 16 % de la population.

On suggère que l’impression générale actuelle, à savoir que les femmes sont plus sujettes aux symptômes de la dépression, pourrait bien être explicable par le fait que les hommes sont plus enclins à garder leurs émotions pour eux et à ne pas demander d’aide.

« Cela ne nous aide pas beaucoup de savoir que plus d’hommes souffrent de dépression que nous le pensions, si nous ne pouvons les amener à franchir la porte pour obtenir de l’aide », tranche Lisa Martin, auteure principale de l’étude en provenance du Michigan, aux États-Unis.

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Les apports en sel seraient influencés par le cerveau, non par la quantité consommée

Une étude publiée dans l’American Journal of Hypertension, et rapportée par Medical News Today, avance que les apports et taux de sel observables chez l’humain sont gérés par le cerveau, invalidant du même coup les récentes publications de la communauté scientifique en matière de consommation de sel.

On le sait, le sel a mauvaise presse depuis un moment, et les campagnes de sensibilisation afin de convaincre la population de réduire les apports alimentaires en sel se multiplient.

Or, selon l’équipe de chercheurs de la UC-Davis, menée par le David McCarron, le cerveau de chaque individu gère les apports en sel de façon différente, ce qui empêche véritablement de tracer une moyenne d’apports recommandés.

On estime à 2200 milligrammes la différence notable, en moyenne, du taux de sel observable chez un individu, des chiffres qui seraient les mêmes depuis 50 ans.

Donc, selon McCarron, les preuves scientifiques sont encore trop minces pour garantir un réel impact négatif sur la santé découlant d’une consommation de sel jugée « trop grande ». Il croit que la façon d’aborder le problème et les efforts de sensibilisation doit être revue.

Si le chercheur et son équipe disent vrai, il s’agirait d’un spectaculaire revirement de situation!

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Un petit cerveau pour mieux comprendre les gros

Top Santé rapporte la création d’un petit cerveau en laboratoire, qui pourrait bien s’avérer très utile dans la compréhension de celui des humains.

Créé artificiellement grâce aux cellules souches, ce « mini-cerveau » rend les spécialistes optimistes d’en savoir plus sur le complexe fonctionnement de l’organe chez l’homme.

Initialement publiée dans le réputé magazine scientifique Nature, la nouvelle parle du travail accompli par Jürgen Knoblich et son équipe de l’Académie des sciences d’Autriche.

L’équipe de Knoblich a créé un véritable système de culture de cellules qui se sont ensuite transformées en cerveau miniature, permettant une éventuelle meilleure compréhension des maladies neurologiques et dégénératives.

« Ce système de culture en 3D développe une variété de régions cérébrales capables d’influer les unes sur les autres. Le but n’était pas de recréer un cerveau entier, mais plutôt d’observer les différentes étapes de la formation du cortex cérébral et les différents troubles du développement qui peuvent survenir », explique un expert.

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Viagra féminin : le dossier avance rondement

Encore une étape vers la matérialisation et la commercialisation d’un « Viagra féminin » semble avoir été franchie, selon ce que rapporte Top Santé.

« Plusieurs médicaments visant à doper le désir sexuel des femmes sont en cours d’essai aux États-Unis. Ils s’adressent aux 10 à 30 % de femmes qui souffrent d’un manque de libido », titre le magazine Libération.

Contrairement au Viagra déjà connu, qui favorise l’érection chez l’homme de façon physiologique, le produit destiné aux femmes stimulerait plutôt la libido.

Le dossier provoque beaucoup de réactions à travers le monde, tantôt sympathiques, tantôt réfractaires, alors qu’on approche d’un lancement probable du produit.

Un spécialiste américain, Andrew Goldstein, affirme clairement la « nécessité de ne pas transformer les femmes en nymphomanes », alors que pour Odile Buisson, gynécologue, plusieurs femmes « présentent une insensibilité cérébrale aux stimulations sexuelles, et ces troubles du désir peuvent générer une détresse psychique ainsi que des difficultés dans les rapports aux autres ».

Il semble que les plus récents essais cliniques aient été suffisamment concluants, et que la commercialisation serait envisageable au courant de l’année 2015 ou 2016.

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Des chercheurs parviennent à connecter deux cerveaux humains

Grande première : des chercheurs américains ont réussi l’impensable, soit de « connecter » deux cerveaux humains à l’aide d’une interface.

L’équipe, basée à l’Université de Washington et menée par Rajesh Rao, confirme être parvenue à envoyer un signal d’un cerveau humain à un autre, rapporte Santé Log.

La réussite est d’autant plus impressionnante qu’elle n’implique aucune technique invasive au cerveau, mais utilise plutôt les possibilités d’Internet et de l’informatique.

Ainsi, Rao est parvenu à « commander » son collègue, Andrea Stocco, qui se trouvait à l’autre extrémité du campus. Recevant l’ordre envoyé par Rao, Stocco déplace alors sa main sur un clavier d’ordinateur, sans l’avoir demandé!

On avait récemment confirmé la possibilité de transmettre des informations du genre d’un cerveau à l’autre sur des rongeurs, mais à l’aide d’électrodes implantées directement dans une zone cérébrale.

Cette fois, un simple dispositif placé sur la tête aurait permis cette première, un succès aussi intriguant qu’inquiétant, de l’aveu même des deux pionniers.

D’autres tests et recherches seront complétés afin de voir quelles sont les limites de cette technologie absolument renversante.

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Le processus de dépendance à l’alcool s’éclaircit

Encore un pas est franchi dans la compréhension des dépendances et du développement des habitudes, selon Santé Log, qui rapporte une recherche exhaustive sur le sujet.

« L’humain est une créature d’habitudes », lance-t-on bien souvent, avec raison. Oui, mais pourquoi, et surtout, comment?

Selon cette nouvelle étude en provenance du Scripps Research Institute, et initialement publiée dans le PNAS, le cerveau démontre diverses réactions en fonction de nos actions, comme la consommation d’alcool justement.

Ainsi, un abus d’alcool chronique pourrait faire passer l’action de boire un verre de la « zone de décision » à la « zone d’habitude », pavant ainsi la voie à une dépendance à proprement parler.

C’est après avoir testé les effets de l’alcool sur le striatum dorsal du cerveau, impliqué dans le développement des habitudes, que les chercheurs ont pu confirmer leur théorie initiale.

Plus les comportements sont fréquents et abusifs, plus la « zone d’habitude » prédomine sur la « zone de décision », et il devient conséquemment de plus en plus difficile de cesser le comportement.

Cette étude, ainsi que les précédentes sur le sujet, permettrait de mieux combattre les troubles de dépendance dans l’avenir.

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La France s’attaque au problème des ondes

Le débat sur les ondes et leurs impacts sur nos sociétés fait rage depuis l’explosion technologique que l’on connait, mais aussi depuis que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a reconnu les dangers potentiels de l’émission massive d’ondes diverses.

La France décide donc de se pencher activement sur le dossier, rapporte Top Santé, et dépose un rapport sur l’exposition aux ondes par ses concitoyens.

Ce dernier, rédigé par un comité d’experts, conclut que l’exposition aux ondes doit être réduite par une diminution de sa concentration, donc qu’elle doit être mieux répartie.

En clair, au lieu de compter sur quelques antennes superpuissantes, il faudrait plutôt les disséminer et compter sur plusieurs antennes et relais, ce qui en donnerait à peu près trois fois plus qu’en ce moment, sur le territoire français.

La polémique entourant les ondes et leur potentiel cancérigène est à son paroxysme avec l’arrivée des nouvelles technologies et du système WiFi, par exemple, offerts partout.

Une députée française, Catherine Grèze, termine avec cette réflexion : « … à l’heure de la course vers toujours plus de fonctions sur nos téléphones mobiles, nécessitant une couverture toujours plus forte, a-t-on vraiment besoin d’avoir accès à la télévision mobile où que l’on soit? »