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Mode d’emploi pour sortir de sa zone de confort

Êtes-vous prêt.e.s? Oserez-vous relever le plus de défis possibles parmi cette liste qui vous aidera à sortir de votre zone de confort?

  • Parlez à la première personne que vous allez voir suite à la lecture de cet article et dites-lui un truc gentil (oui oui, même si c’est un.e inconnu.e)
  • Pensez à votre star favorite et tentez pour la journée d’adopter son style, sa démarche, etc
  • Pour les célibataires : laissez votre numéro à un.e inconnu.e que vous trouvez de votre goût/ Pour les personnes en couple : surprenez la personne aimée, par exemple, avec un sexto, ou une petite date improvisée
  • Prenez congé au travail et organisez-vous une journée pour vous faire plaisir
  • Dansez et/ou chantez en public sur votre chanson préférée
  • Inscrivez-vous dans un cours qui vous donne envie, mais vous fait peur à la fois : swing, impro, etc
  • Portez un vêtement ou un accessoire plus voyant ou sexy, que vous n’oseriez pas mettre habituellement
  • Allez à la gare et prenez le prochain train (donc vous n’avez pas le droit de choisir la destination avant)
  • Promenez-vous nu.e chez vous et assumez votre corps comme jamais
  • Faites une dépense un peu « irresponsable »

Et surtout, n’oubliez pas?On n’a qu’une seule vie et on ne sait pas ce qui arrivera demain. #LiveWithNoRegrets

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L’art de ne rien faire est-il perdu?

En parcourant les étagères du Renaud-Bray, mon regard s’est attardé sur le roman de Dany Laferrière, L’art presque perdu de ne rien faire. Une réalité m’est alors apparue en plein visage: je suis incapable de ne rien faire. Cela devrait pourtant être simple et sain, non?

Même lors d’une rare journée de congé, je ne peux m’empêcher de la remplir de mille et un projets, ou d’objectifs à réaliser. Je cours de gauche à droite, et je ne maitrise certainement pas l’art de me poser.

Après tout, quand on ne fait rien, on fait quelque chose. Lorsqu’on écoute la télé, on n’effectue pas « rien », on regarde une émission. Même assis.e. à fixer le vide, nous sommes assis.es. à observer le mur.

Ainsi, chaque personne possède, à mon avis, sa définition de ce qu’est « ne rien faire ». Collectivement, je pense qu’il est convenu que c’est une action qui n’a pas d’objectif dit « productif » dans notre quotidien effréné. Une activité qui nous vide l’esprit et nous permet de nous recharger.

C’est pourquoi ne rien faire est essentiel. En sautant d’une occupation à l’autre, l’esprit toujours préoccupé par l’accomplissement de ce que l’on « devrait » faire pour réussir, on oublie. On oublie qui nous sommes, nos réels buts, ce qui nous fait du bien.

Pour moi, en quoi consiste « ne rien faire »? Malgré le fait que je me décris comme une « fille de ville », il s’agit d’aller marcher en forêt. Ça m’éloigne de mon quotidien, de me préoccupations. Je ne prévois aucun itinéraire, je vais où mes pieds me portent, et je ne pense à rien. J’observe le calme qui m’entoure et ça m’apaise. Malheureusement, je ne m’adonne à cet exercice que très rarement.

Pour vous, ne rien faire peut être tout autre. Il peut s’agir d’écouter votre série favorite, de méditer ou d’apprécier un repas sans aucune distraction. Parce qu’aujourd’hui, on ne peut faire qu’une seule chose à la fois. Il faut être constamment multitask pour atteindre le summum de la productivité et de la réussite personnelle (lire ici le sarcasme).

Comment saurez-vous que vous ne « faites rien »? Vous le ressentirez. Vous vous aurez l’esprit apte à affronter votre quotidien, et c’est pourquoi il est essentiel de faire cet exercice.

Je suis la première coupable de ne pas prendre ce temps de repos, mais il est primordial de s’autoriser à s’y adonner de temps à autre. Quitte à l’inscrire dans votre agenda pour qu’il fasse partie de votre horaire et qu’il y demeure.

Ne rien faire est réellement un art, et il demande de la pratique. Sans quoi, il est bien trop facile de le perdre et qu’il disparaisse.

Ça ressemble à quoi lorsque vous ne faites « rien »?

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Ces « décourageffrayeurs » qui nous entourent…

Lorsque vous prenez une grande décision ou annoncez une nouvelle importante, comment votre entourage réagit-il? À l’inverse: lorsqu’un proche vous annonce quelque chose d’important, comment réagissez-vous?

J’ai récemment commencé à remarquer une catégorie sidérante de personnes: les décourageffrayeurs.

Annoncer, par exemple, qu’on veut utiliser des couches lavables à un décourageffrayeur, c’est obtenir à peu près cette réaction:

« Voyons dont, toi? Aux couches lavables? Tu es bien trop dédaigneuse/ paresseuse/ propre/ occupée pour faire ça, c’est trop de travail, tu vas jamais réussir, moi j’ai essayé/ mon amie ABC a essayé, c’était de la m*rde, littéralement ».

Cet exemple est à peine romancé d’une réaction réelle qu’une amie m’a raconté avoir reçue hier, lorsqu’elle a partagé ses intentions à une copine.

Annoncer à un décourageffrayeur qu’on envisage faire quoi que ce soit d’un peu excentrique… et le niveau de tolérance à l’excentricité varie considérablement d’un décourageffrayeur à un autre…c’est automatiquement s’exposer au pire:

« Tu ne réussiras pas, ne prends même pas la chance d’essayer. Ça coûte cher, tu vas te planter, d’autres ont essayé et n’ont pas réussi, moi j’ai essayé et je me suis blessé/découragé. Abandonne, emprunte le large chemin de tout le monde et ferme ta gueule.»

En gros : «Ton optimisme, ta confiance ou ta détermination, c’est juste de la naïveté et ça me fera plaisir de te les briser. »

Il y a un monde de différence entre un humain qui me partage son expérience ou sa vision d’une situation que je prévois vivre sous peu et un décourageffrayeur intrusif qui cible le pire de son vécu (incluant les terribles anecdotes du mythique « ami d’un ami » super badlucké).

La personne qui me parle, par exemple, de ses péripéties de changement d’emploi, des décisions qu’elle a prises mais regrettées, des ajustements qu’elle a faits, des apprentissages qu’elle en a tirés; ça me passionne et j’ai tout à en apprendre si je risque de passer par là prochainement.

L’humain qui me pousse son expérience dans le fond de la gorge pour m’effrayer, tenter de me contraindre de changer d’idée, casser ma motivation et me détourner de mes objectifs « au cas où ça tournerait mal », c’est non.

J’ai présentement un beau projet secret. Autant j’ai hâte d’enfin en parler à mes proches et de cheminer là-dedans, autant j’appréhende le moment inévitable où je devrai, avec le plus de douceur possible, mais fermement, refuser le discours d’un décourageffrayeur.

Ce moment viendra forcément. Celui où une personne de mon entourage aura un lourd bagage par rapport à ce qui s’en vient pour moi, décidera que mes choix sont stupides/ invalides/ naïfs et voudra me convaincre, par la peur ou le découragement, de changer mes plans. Et où je devrai mettre mes limites et m’affirmer malgré toute mon inexpérience.

Je revendique le droit d’essayer le chemin qui me convient. Je revendique le droit d’être respectée et écoutée. Je revendique le droit de refuser de me laisser éteindre ou influencer par les gens « d’expérience » qui ont peut-être juste peur… peur pour moi ou à cause de leur vécu. Je revendique le droit d’avoir confiance, de croire que je peux entièrement réussir. Celui de me tromper et de changer d’idée, aussi.

Je revendique le droit de me réinventer et de faire les choses un peu différemment. Le droit de surprendre par mes choix, même si « ça ne me ressemble pas », même si « je suis trop paresseuse/ peureuse/ cheap/ what-f*cking-ever d’habitude », même si « je n’aurais pas fait ça d’habitude ».

Et si les circonstances tournent complètement mal pour moi, lorsque ce sera TON tour de passer par là, je te promets que j’accueillerai ta vision avec enthousiasme. Prête à te parler si tu veux de mon expérience et de ce j’en ai acquis, mais pas pour te décourageffrayer. Promis. Je me surveille de près.

La vie est trop courte, trop excitante, pour se permettre d’éteindre la flamme de qui que ce soit.

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Une nouvelle étude lie les médias sociaux et la dépression

Une étude réalisée par les chercheurs québécois Patricia Conrod et Elroy Boers, de l’Université de Montréal et du CHU Sainte-Justine a tracé un lien assez direct entre le temps consacré aux médias sociaux ou à regarder la télévision et l’apparition ou l’intensification des symptômes de dépression chez les adolescents.

Ouf. Chez  TPL Moms, en apprendre davantage sur cette étude nous a inquiétées et aussi, nous a fait nous questionner sur notre propre utilisation des médias sociaux. Les chercheurs ont questionné plus de 4000 adolescents canadiens âgés de 12 à 16 ans sur leurs diverses activités en lien avec la technologie et les ont invités à évaluer eux-mêmes le temps passé devant des écrans. Des questionnaires sur divers symptômes dépressifs ont aussi été distribués à l’échantillon d’ado afin d’évaluer les associations entre les deux variables (temps devant l’écran et symptômes dépressifs).

En gros, les résultats ont tous pointé vers le fait qu’une consommation en moyenne élevée de réseaux sociaux et de télévision augmenterait les risques d’avoir des symptômes de dépression et que ce risque augmenterait lorsque la consommation de ce type de contenu est plus grande. Les chercheurs pensent que l’univers lié à ces deux types de contenu (réseaux sociaux et télévision) est le grand fautif, car il présente des images qui poussent à la comparaison sociale entre l’ado et une personne de son âge/groupe social et culturel. Comme les contenus sont quasi toujours idéalisés sur les deux plateformes, la comparaison que l’adolescent fait est donc nécessairement négative envers lui-même, entraînant ainsi un impact sur son estime de soi. Et avec les algorithmes, ça devient une spirale sans fin. Le jeune consomme les contenus, interagit avec eux, les recherche et voit donc davantage de contenus similaires à ceux qui lui causent du tort.

Quand on sait que la dépression frappe davantage les jeunes de 15 à 24 ans que tous les autres Canadiens, cette recherche est un peu inquiétante par rapport à la consommation que nos jeunes font des médias sociaux. On a tendance à oublier que le contenu présenté sur ces plateformes peut être vraiment nuisible si on n’a pas le recul nécessaire et surtout, il est facilement accessible. L’étude ne présentait pas de solution précise pour contrer le phénomène, car il n’y en a pas. Une discussion ouverte avec vos jeunes peut aider à les orienter vers une utilisation et une consommation plus sécuritaire des médias sociaux et ultimement, un certain contrôle de leur temps en ligne peut devenir nécessaire si des signes de dépression sont présents chez le jeune.

*On précise que ces résultats sont basés sur une observation. Les chercheurs ont déjà affirmé avoir à confirmer le lien causal entre les médias sociaux et la dépression, mais que les données pointaient dans cette direction.

Les détails de ces travaux sont publiés dans la revue JAMA Pediatrics, (en anglais). 

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Le self-care, c’est overrated

(chronique)

Je comprends qu’après une longue journée, ça fait du bien de s’étendre dans le bain avec une boule Lush, des chandelles et un bon bouquin.

J’entends tout à fait le besoin de solitude, de silence, de masque hydratant dans la face, de vernis à ongles rose, d’une nouvelle tête, d’une marche avec un podcast dans les oreilles et de toutes les formes possibles et imaginables que le self-care peut prendre chez les mamans.

Mais je dois vous avouer que ça commence à me titiller. Bon, je vais assumer et le dire : le self-care, ça me gosse.

Attention, je ne dis pas qu’il faut absolument s’oublier. De prendre soin de soi, c’est important. Je sais que mes amies mamans n’ont pas beaucoup de temps tout court et il va sans dire qu’elles passent souvent en dernier dans leur propre liste de priorités. Mais sincèrement, il me semble qu’en faisant exclusivement la promotion du self-care, sans l’inscrire dans le collectif, on manque un peu le bateau. Parce que de mariner toute seule dans son bain pendant 2 heures, c’est le fun, mais si tu es isolée tout le reste du temps, ça reste déprimant et après le bain, ce sera surtout aussi fatigant.

Quand les recherches sur la charge mentale démontrent que les femmes ont dans leur assiette une part plus que grande de l’organisation familiale, en plus de prendre un énorme load du travail domestique, la réponse ne peut pas seulement être un bon bain, aussi nice que soit la baignoire. Avant de l’eau chaude dans laquelle s’immerger, ce dont on a surtout de besoin, c’est de solidarité.

Peut-être êtes-vous différentes de moi, mais il me semble que bien plus que de prendre une marche, ce qui me fait vraiment du bien, c’est de savoir que je partage le fardeau de la domesticité avec quelqu’un. Que je ne suis pas la seule personne adulte sur qui repose l’éducation de mes enfants. Que j’ai des gens autour de moi et pas juste pour prendre le relais, mais aussi carrément stepper dans la parentalité pour aimer mes enfants, pour les élever avec moi et prendre part au brouhaha que ça implique de tenir une maisonnée avec des kids.

Et ça, c’est politique et social. Ça suppose des politiques publiques qui encouragent réellement les conjoints à prendre des congés parentaux, ça suppose des centres de la petite enfance bien financés pour permettre aux enfants de s’épanouir, ça suppose que les métiers des femmes soient valorisés, ça suppose des écoles priorisées, ça suppose des groupes communautaires qui ne sont pas oubliés, ça suppose des communautés où le tissu social est fort et tricoté serré?

Le self-care, de la façon dont on le conçoit généralement, me fait plutôt penser à l’idée du gouvernement Legault sur les récréations supplémentaires à l’école. Personne n’est contre la vertu, mais de proposer 20 minutes de plus pour jouer alors que les écoles sont sous-financées, que des bâtisses sont pleines de moisissures, que des bibliothèques scolaires disparaissent, que des profs sont en burnout à la tonne, c’est pas juste insuffisant, c’est carrément être aveugle aux vrais problèmes.

Du temps seule, pour se chouchouter c’est important. Mais parce que l’effet du groupe sur l’individu, ce n’est pas juste un petit baume momentané, ça veut dire qu’une communauté tout autour sur qui on peut compter comme un filet de sécurité, ça n’a pas de prix. Et si on se souciait véritablement les uns des autres, qu’on n’attendait pas que les gens soient au bord du gouffre pour prendre le relais, qu’on s’assurait que toutes ont la communauté nécessaire pour porter ce projet de maternité qui suppose tant d’oubli de soi?

Et on si faisait du vrai collective-care?

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« Coudonc es-tu malade mentale »

(chronique)

Si c’était pas écrit dans les lignes de ma main, c’était surement clair sur les réseaux sociaux et un peu partout sur les traces numériques que je laisse; je me dirigeais tranquillement, depuis les neuf dernières années, dans un très grand mur.

Mes parents ont presque toujours été entrepreneurs comme moi, et ils ont travaillé plus qu’à leur tour. J’ai été élevée sur le mantra de travailler fort pour avoir mes affaires et des aléas de la vie ont fait que j’ai dû apprendre à m’arranger du jour au lendemain en devenant maman. Ma grossesse surprise en fin d’étude et mon RQAP à 350$ au deux semaines ne me donnait pas les outils nécessaires pour prendre un congé de maternité comme travailleur autonome. J’ai pas pris de congé, j’ai continué de donner mon 100%. J’ai écrit des textes de nuit, des livres en un mois et demi, j’ai couvert tous les événements que j’ai pu, fait tous les voyages, toutes les activités. J’ai lancé des projets, aidé des gens, cuisiné moi-même ma bouffe, pas dormi, et j’ai participé à tous les trucs sociaux que j’ai pu dans les 9 dernières années. Un peu comme un automatisme et par peur de jamais être assez, en ayant l’impression d’être toujours un peu la conne ou bedon pas assez professionnelle ou pas assez mère pour les autres.

J’ai pas brulé la chandelle par les deux bouts, ce serait trop simple; j’ai pris la chandelle et je l’ai ****** à feu doux dans une poêle en me disant que mon TDAH, le café et mes médicaments stimulants allaient m’aider à passer au travers de mon rush.

L’affaire c’est que mon rush dure depuis mai 2015 et que j’ai jamais pris le temps de décrocher pour de vrai, j’ai mis des plasters sur des hémorragies en me disant qu’au moins les motifs étaient cutes.

Après deux mois à pleurer à absolument tous les jours, à être en chicane et tannée d’à peu près tout le monde dans ma vie, je me suis décidée à aller consulter mon médecin de famille et j’ai su que j’étais en dépression depuis un petit bout. Quand j’ai commencé à en parler autour de moi, on m’a dit « prend soin de toi » et « désolée mais faut que tu prennes le temps de t’arrêter parce que tu l’as jamais fait ». Nouveau médicament, thérapie, sport à faire chaque semaine (chasser des Pokémons, ça compte). 

J’ai donc commencé un ~ arrêt de travail ~ en diminuant mes tâches d’envions 75%, prétextant des vacances pour s’occuper de projets personnels (ma santé mentale) et j’ai mis ma petite vie sur pause. J’ai pris le temps d’expliquer à mon enfant que je devais prendre du temps pour moi parce que j’étais malade. Il m’a demandé c’était quoi ma maladie; j’ai dit quelque chose comme une maladie de fatigue dans le cerveau. Que j’étais triste et que j’avais besoin de me reposer. Ça s’est bien passé il est sensible comme un coeur, ce petit nuage-là.

Puis, un jour après une dure journée d’école où il s’est rendu compte que la maternelle finissait bientôt et que sa vie allait changer, il a pleuré vraiment fort en me regardant et m’a demandé le plus sérieusement du monde «  coudonc es tu malade mentale? ».

J’ai ri, j’aurais peut-être pas dû, mais dans les circonstances rire me fait du bien, puis j’ai dit que oui, la dépression c’est une maladie mentale, et que mon cerveau a déjà besoin de lunette avec mon TDAH et mon anxiété et que là je suis juste genre hyper fatiguée. Genre 100% fatiguée. Mais que ça des bons côtés parce que je suis plus souvent à la maison et que je peux enfin me reposer.

Plus tard, il m’a parlé qu’il qualifiait des trucs avec ses amis de la maternelle de malade mental et que ça voulait dire fou et que fou c’était pas négatif ni positif, mais différent. J’ai dit que la société était assez malade pour plein de raisons et que beaucoup de parents travaillent trop et s’épuisent. Moi, je suis de ceux-là.

Pis que si ses amis avaient quelque chose contre les maladies mentales, ça me ferait plaisir de leur dire que finalement, c’est pas si pire que ça.

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Les bienfaits d’un chien sur votre santé

Une étude réalisée par Lintbells révèle que le propriétaire d’un chien marche en moyenne 1 400 km par année avec son compagnon.

La recherche a été réalisée auprès de 2 000 adultes, incluant 1 000 propriétaires de chiens. Elle démontre qu’en moyenne, un propriétaire qui promène son chien marche avec lui environ 27 kilomètres par semaine.

Autre conclusion de cette étude, les propriétaires de chiens pensent qu’en plus d’être bénéfiques à leur santé physique, les promenades avec un chien seraient bénéfiques pour la santé mentale de leur propriétaire et réduiraient leur niveau de stress.

Selon l’étude, un chien fait en moyenne 9 promenades par semaine, d’une durée de 34 minutes chacune.

Ces promenades quotidiennes forcent plus du tiers des répondants à marcher plus qu’ils le faisaient avant que leur animal favori entre dans leur vie.

En plus, 23 % des répondants affirment être plus sociable depuis qu’ils ont un chien, puisqu’ils conversent avec des gens au moins deux fois par promenade.

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Vous pouvez vous aussi calculer l’exercice que vous faites grâce à votre chien.

Image : rawpixel on Unsplash

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Michelle Williams était suicidaire durant Destiny’s Child

Michelle Williams aborde ses problèmes de santé mentale lors de son passage à The Talk.

La chanteuse révèle avoir souffert de dépression depuis l’adolescence, un trouble qui s’est perpétué jusque dans ses années de gloire au sein de Destiny’s Child, l’un des groupes pop féminins les plus populaires de tous les temps.

Michelle Williams révèle avoir été suicidaire alors qu’elle, Beyoncé Knowles et Kelly Rowland étaient à l’apogée de leurs carrières, et avoue ne pas avoir su comment gérer ces émotions.

« Je suis dans l’un des groupes féminins qui vendent le plus de l’histoire, et je souffre de dépression. Quand j’en ai parlé avec notre agent (Mathew Knowles), que Dieu le bénisse, il était genre : Tu viens de signer une entente de plusieurs millions de dollars et tu t’en vas en tournée. Pourquoi tu serais dépressive?J’étais genre : Oh, je suis peut-être juste fatiguée. J’en étais à un endroit si sombre, et si lourd », lance Michelle Williams.

La chanteuse assure maintenant se sentir mieux, et urge les personnes qui souffrent de parler ouvertement de leurs problèmes de santé mentale.

Michelle Williams félicite d’ailleurs au passage Demi Lovato, qui ouvre en ce moment au public plusieurs passages difficiles de sa vie dans sa série documentaire Simply Complicated, rapporte Us Weekly.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Retour à la maison pour Jacques Demers

Selon RDS, le dernier entraîneur-chef du Canadien de Montréal en date à avoir mis la main sur la coupe Stanley est de retour à la maison.

Jacques Demers aurait d’ailleurs pu célébrer son 72e anniversaire hier (25 août) dans ses affaires et en compagnie de ses proches, selon cette même source.

C’est donc dire que le sénateur affiche toujours une belle progression depuis l’AVC dont il a été victime, au cours du mois d’avril dernier.

M. Demers a toutefois toujours besoin d’une importante attention médicale, mais le fait qu’il puisse retrouver son domicile indique de belles nouvelles.

Toujours selon RDS, Jacques Demers aimerait même être présent lors de la soirée d’intronisation du Panthéon des sports du Québec qui lui permettra de devenir un immortel, un gala prévu le 28 septembre 2016.

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AVC : Josée Boudreault prend du mieux

L’animatrice Josée Boudreault revient de loin, mais semble en progression constante quant à son état de santé depuis le terrible AVC dont elle a été victime. Comme lors des premiers jours suivant l’incident, c’est le conjoint de Boudreault, Louis-Philippe Rivard, qui a tenu à discuter avec les fans de sa conjointe et à offrir un nouveau bilan de l’état de cette dernière.

« Voici une photo de Josée avec Anabelle, son orthophoniste privé. Comme vous voyez, on repart de la base. Mais Anabelle ne lâche pas sa mère, elle lui fait constamment faire des exercices. Je pense qu’elle aime en savoir plus qu’elle et surtout elle se venge pour tous les devoirs qu’elle lui a fait faire dans l’année.

En une semaine et demi Josée a passé de deux mots à pouvoir tenir une conversation. Elle cherche souvent ses mots… Jaser avec elle c’est un peu comme jouer à cranium 24h sur 24 mais ça s’améliore vraiment. Josée vous remercie encore pour tous les messages d’encouragement et elle croit qu’elle pourrait se risquer cette semaine de vous donner des nouvelles en vous parlant sur vidéo. MERCI!!!! – Lp Rivard », peut-on lire sur le compte de Josée Boudreault (intégral), accompagné d’une charmante photographie de l’animatrice et de sa fille Anabelle.

C’est le 1er juillet dernier que Josée Boudreault aurait été victime d’un foudroyant AVC.

Elle avait publié récemment une vidéo d’elle-même pour montrer qu’elle se portait mieux, et pour remercier les gens de leur support.

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