Catégories
Uncategorized

Étude sur l’aluminium dans les vaccins

On apprend sur Le Figaro que le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) en France révèle dans un récent rapport que l’adjuvant de certains vaccins, qui contient de l’aluminium, ne serait aucunement lié aux divers troubles dont la population s’est plainte, dont des problèmes musculaires et cognitifs.

Les injections visées sont celles du vaccin diphtérie-tétanos-polio, celui contre les hépatites A et B et le papillomavirus. Malgré que l’adjuvant soit utilisé depuis plus de 80 ans, le HCSP a tout de même mis sur pied une équipe consultative qui s’est penchée sur la question.

En conclusion, elle a recommandé la poursuite des vaccinations comme prévu au calendrier et rappelle les dangers potentiels pour la santé globale qu’une baisse de la couverture vaccinale pourrait avoir.

Dans ce rapport, on peut lire : « Le HCSP estime que les données scientifiques disponibles à ce jour ne permettent pas de remettre en cause la sécurité des vaccins contenant de l’aluminium, au regard de leur balance bénéfices/risques ».

Bien que considérées comme infondées, les inquiétudes des patients n’arrivent pas de nulle part. Plusieurs études passées ont déjà suggéré la toxicité de l’adjuvant aluminique.

Entre autres, il avait été prouvé que les cellules immunitaires véhiculant l’aluminium pouvaient migrer dans le cerveau de souris et y rester. Or, l’aluminium est toxique pour les cellules cérébrales.

Catégories
Uncategorized

Possible lien entre l’anorexie et l’autisme

Une étude américaine parue dans le BioMed Central Journal Molecular Autism suggère que les jeunes femmes souffrant de troubles alimentaires présentent un profil proche de celui d’enfants souffrant d’autisme.

Plus de 1660 jeunes filles saines et 66 autres qui étaient atteintes d’anorexie ont eu à répondre à un questionnaire habituellement destiné aux jeunes autistes. C’est en comparant ces résultats que les chercheurs ont pu en venir à cette conclusion.

Les traits communs sont, entre autres, un intérêt particulier pour l’ordre, peu d’empathie, une tendance à être autocentré et une fascination pour les détails.

Cependant, l’anorexie est un trouble diagnostiqué plus souvent chez la femme, tandis que l’autisme l’est surtout chez l’homme.

Face à ces données, Bonnie Auyeung, l’une des chercheuses de l’étude, remarque : « Cette nouvelle étude suggère qu’une proportion de femmes atteintes d’autisme auraient pu être mal diagnostiquées, car quand elles arrivent à l’hôpital, elles présentent des signes d’anorexie ».

Il ne s’agit tout de même là qu’une suggestion, alors que d’autres éléments pourraient être en cause. En effet, une personne atteinte d’anorexie pourrait, à cause de la faim, développer le même genre de trait de caractère mentionné plus haut.

« Néanmoins, l’étude permet de mieux comprendre les personnes souffrant d’anorexie et la façon dont elles peuvent être traitées », ajoutent les chercheurs.

Catégories
Uncategorized

L’orgasme : un excellent moyen d’exercer le cerveau

Barry Komisaruk du Département de psychologie de l’Université Rutgers au New Jersey partage les résultats d’une étude récemment conduite sur les bénéfices de l’orgasme.

Pour arriver à ces conclusions, le professeur, qui a passé plus de 50 ans à étudier le plaisir sexuel féminin, a examiné l’activité cérébrale de femmes qui, confinées dans un scanneur en milieu médical, atteignaient l’orgasme.

Lorsqu’un sujet s’adonne à des exercices mentaux tels que des mots croisés ou des sudokus, quelques parties du cerveau seulement seraient activées. Or, l’orgasme à lui seul activerait absolument tout.

Se confiant à The Times, le chercheur de 72 ans dit : « Durant l’orgasme, c’est un incroyable flux sanguin qui se produit vers le cerveau. Je crois donc que ça ne peut être une mauvaise chose. Ça apporte tous les nutriments et l’oxygénation nécessaires ».

Il suggère également que ce type d’évènement pourrait bloquer la douleur et donc être utilisé notamment pour soulager celle de l’accouchement. Ou encore, il mentionne qu’en arrivant à exploiter le mécanisme de production du plaisir, on pourrait en faire bénéficier les gens atteints de dépression, d’anxiété et de toxicomanie.

Catégories
Uncategorized

Le fer végétal meilleur que le fer animal

Les aliments riches en fer sont les viandes, les céréales, les fruits et les légumes. Il faudrait cependant prioriser une sorte de fer plutôt qu’une autre. Le fer contenu dans la viande augmenterait le stress oxydatif, contrairement au fer issu de végétaux, comme les légumes. C’est ce que suggère une étude espagnole publiée par le Nutrition Journal.

On en parle sur le site lanutrition.fr en expliquant qu’essentiel à notre organisme, le fer devrait toujours faire partie de notre alimentation. Bien que notre corps absorbe mieux le fer dit héminique, il y aurait un lien entre la prise de celui-ci et le risque de souffrir de maladies cardiovasculaires ou de cancers.

D’ailleurs, les personnes qui consomment du fer d’origine animale en trop grande quantité hausseraient leur risque de souffrir de diabète de type 2, qui est aussi influencé par le stress oxydatif.

À l’inverse, une grande consommation de fer non héminique ne démontre que des effets bénéfiques. Comme il se trouve dans les fruits et les légumes, qui sont aussi une source d’antioxydants, ces deniers pourraient limiter les effets négatifs du fer sur la santé.

La population aurait donc tout à gagner en priorisant les sources végétales de fer plutôt qu’animales.

Catégories
Uncategorized

La santé du cerveau par le chocolat chaud

Une nouvelle étude de la Harvard Medical School de Boston semble démontrer que la consommation quotidienne de 2 tasses de chocolat chaud pourrait aider à prévenir les troubles de la mémoire.

Publiée dans le journal médical de l’American Academy of Neurology, la trouvaille a été faite en analysant l’effet de la boisson de cacao sur 60 personnes d’âge moyen de 73 ans.

Après 30 jours de consommation quotidienne de 2 tasses, les participants qui souffraient d’une mauvaise circulation sanguine vers le cerveau avaient bénéficié d’une amélioration de la circulation de 8,3 % ainsi que d’une hausse de leurs aptitudes liées à la mémoire.

Il a aussi été déterminé que le taux d’antioxydants et de flavonoïdes ne serait pas important sur les bienfaits. Qu’il soit haut ou bas, les bénéfices se sont montré les mêmes.

« Nous en apprenons plus sur le débit sanguin dans le cerveau et son effet sur la capacité de raisonnement », a déclaré Farzaneh A. Sorond, de la Harvard Medical School et membre de l’Académie américaine de neurologie.

« Comme les différentes zones du cerveau ont besoin de plus d’énergie pour accomplir leurs tâches, elles ont aussi besoin d’un grand flux sanguin. Le tout peut jouer un rôle important dans des maladies telles que l’Alzheimer. »

Pour sa part, Paul B. Rosenberg de la Johns Hopkins School of Medicine à Baltimore dit : « Plus de travail est nécessaire pour prouver un lien entre le cacao, les problèmes de circulation sanguine et le déclin cognitif. Mais il s’agit d’une importante première étape qui pourrait orienter les études futures. »

Catégories
Uncategorized

De l’espoir en matière de lésion de la moelle épinière

Les personnes atteintes de lésions de la moelle épinière ont souvent un système immunitaire affaibli, ce qui les rend plus sensibles aux infections. 

Alors que les causes de l’immunodépression n’étaient pas encore connues, des chercheurs au Center for Brain and Spinal Cord Repair de l’Ohio State University Wexner Medical Center ont constaté qu’un trouble appelé dysréflexie autonome peut provoquer une immunosuppression. Ils ont également trouvé une façon de restaurer la fonction immunitaire chez les souris blessées.

La dysréflexie autonome est une complication potentiellement dangereuse d’une blessure de la moelle épinière. Elle est causée par une surexcitation du système de réflexes spinaux automatiques. Des situations quotidiennes des plus simples activent ces réflexes chez les gens atteints de lésions de la moelle épinière, comme aller à la selle ou uriner.

C’est avec des médicaments qui inhibent la noradrénaline et les glucocorticoïdes que les chercheurs croient pouvoir aider. Des résultats positifs sur les souris encouragent les spécialistes à pousser plus loin.

Le Dr Popovich a déclaré : « Après une lésion de la moelle épinière, sa capacité pour commander le système immunitaire est compromise. En conséquence, ces personnes deviennent sensibles à l’infection et en meurent souvent. Pour ceux qui survivent, les infections peuvent altérer le peu de fonction qu’il leur reste après la blessure de la moelle épinière ».

« Bien que nous ne savons pas encore comment guérir les patients, nous avons découvert qu’il est possible de restaurer la fonction immunitaire chez les souris blessées à la moelle épinière », a-t-il ajouté.

Catégories
Uncategorized

Les bienfaits d’un gros déjeuner

Des chercheurs confirment qu’il est bénéfique de manger de gros déjeuners. Seulement, on découvre maintenant qu’il y aurait encore plus de côtés positifs à le faire.

En effet, selon ce que rapporte la revue médicale Obesity, bien manger est essentiel, mais la période de la journée à laquelle vous mangez est aussi très importante.

Au cours de l’étude menée par la professeure Daniela Jakubowicz de l’Université de Tel-Aviv et ses collègues, il a été conclu qu’en mangeant la plus grande quantité de calories au déjeuner, l’hormone responsable de l’appétit était moins active le restant de la journée et réduisait notamment les envies de grignoter.

Au contraire, si le repas le plus calorique est consommé plus tard en journée, le taux de gras s’élèvera de façon significative et augmentera de beaucoup le taux d’insuline, de glucose et de triglycérides.

Jakubowicz commente aussi les résultats en rappelant que les collations du soir devant l’ordinateur ou la télévision collaborent au développement de l’obésité et donc de plusieurs autres problèmes de santé comme la haute pression, les troubles cardiovasculaires et les débalancements aigus de glucose, qui sont particulièrement dangereux chez les diabétiques.

En mangeant beaucoup au déjeuner, vous pourriez ainsi aider votre organisme à contrer toutes ces graves conséquences sur votre santé globale.

Catégories
Uncategorized

Coup de soleil et cancer : nouvelle protection

La nouvelle découverte pourrait mener à une amélioration des lotions de protection de la peau contre le soleil et éventuellement réduire les chances d’attraper un cancer.

La molécule appelée TRPV4 est présente en grande quantité dans la couche externe de la peau.

Les chercheurs de l’Université Duke en Caroline du Nord ont pu démontrer, à l’aide de souris et d’échantillons de peau humaine, que cette molécule est responsable de la douleur et des dommages causés par les coups de soleil.

Un traitement a alors été conçu pour bloquer la TRPV4. Appliqué sur les animaux, il a démontré une efficacité contre les agressions en protégeant la peau des rayons UV.

Selon ce que rapporte le journal Proceedings of the National Academy of Sciences, les résultats sur la peau humaine se sont également montrés fort prometteurs.

Les chercheurs disent que des études plus poussées sont nécessaires, mais qu’ils envisagent des écrans solaires contenant des bloqueurs de la molécule en question pour protéger contre l’exposition aux rayons UV.

Wolfgang Liedtke, l’un des principaux auteurs de l’étude, a déclaré : « Je pense que nous devrions être prudents parce que nous voulons voir comment l’inhibition de la TRPV4 réagira lors d’autres processus en cours. Je peux toutefois l’imaginer être mélangé avec des écrans solaires traditionnels pour fournir des protections renforcées contre l’exposition aux UVB ».

 

Catégories
Uncategorized

L’isoflurane pour combattre la dépression sévère

Une étude américaine relance une autre précédemment menée dans les années 90 sur l’effet des anesthésiants sur la dépression profonde.

Les travaux récemment publiés dans l’édition du 26 juillet de la revue PLoS ONE refont la lumière sur cette méthode qui pourrait remplacer la plus efficace jusqu’à ce jour, les électrochocs.

Bien que l’opinion publique y soit encore très résistante, les électrochocs ont depuis longtemps fait leurs preuves contre les dépressions résistantes aux traitements médicamenteux.

Étant beaucoup moins violents que la croyance populaire le veut, plusieurs effets secondaires nuisibles y sont par contre liés dont des troubles de la mémoire, de la concentration et de l’attention, et parfois aussi de l’amnésie temporaire.

Or, l’isoflurane offrirait d’aussi bons résultats en plus d’être exempt d’effets secondaires.

« Très peu d’études existent sur l’utilisation des anesthésiants dans le traitement de la dépression résistante aux antidépresseurs, mais l’isoflurane semble intéressante du fait de l’absence supposée d’effets secondaires latéraux », commente le Pr Franck Baylé, psychiatre à l’hôpital Sainte-Anne et professeur à l’Université Paris-Descartes.

« Si la piste de l’isoflurane est intéressante, des études de plus grande envergure sont indispensables », conclut-il.

Il s’agit d’une très bonne nouvelle, alors que c’est la première percée significative depuis les années 90 du en matière de traitement de la maladie mentale, fardeau de plus en plus présent au sein de notre société.

 

Catégories
Uncategorized

L’ail cru contre le cancer du poumon

Une étude conduite par des chercheurs chinois, dont on parle sur Daily Mail (UK), révèle qu’en consommant de l’ail cru, ne serait-ce que 2 fois par semaine, on réduirait de plus de 44 % les risques de développer un cancer pulmonaire.

Plus surprenant encore, les bénéfices se sont montrés presque aussi encourageants face aux fumeurs. Le tabagisme, considéré comme principale cause du cancer du poumon, verrait ses risques associés au cancer diminuer de 30 %.

L’ingrédient clé qui semble être responsable de ces bienfaits est une substance chimique appelée allicine. Celle-ci est libérée lorsque la gousse est écrasée ou hachée, et aurait un effet anti-inflammatoire et antioxydant.

En tout, ce sont les habitudes de vie et alimentaires de 4924 participants (1424 personnes atteintes d’un cancer pulmonaire et 4500 sujets en santé) qui ont été étudiées.

Les résultats, publiés dans la revue en ligne Cancer Prevention Research, ont montré que les patients qui mangeaient de l’ail cru au moins deux fois par semaine étaient beaucoup moins susceptibles d’avoir un cancer du poumon, qu’ils soient fumeurs ou non.

Diverses études ont précédemment levé le voile sur de nombreux bénéfices liés l’ail, notamment sur certaines tumeurs malignes, comme le cancer du côlon. Les chercheurs de l’Université de l’Australie du Sud ont aussi déjà suggéré que l’ail pouvait réduire le risque de tumeurs de l’intestin de près d’un tiers.