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Un ourson infirmier pour bébé!

Les nounours de notre enfance ont bien changé! En plus d’être mignon et doux, un nouvel ours en peluche fera bientôt son apparition sur le marché.

L’entreprise croate IDerma attend la certification pour l’Union Européenne ainsi que celle des autorités asiatiques pour lancer Teddy The Guardian (Teddy le gardien).

Il s’agit d’un ourson qui dispose sous sa fourrure d’une multitude de récepteurs étant capables de faire un état de santé de votre bambin. Tension, oxygénation, rythme cardiaque et température de l’enfant; rien n’est trop beau pour Teddy.

Ensuite, grâce au Bluetooth, les informations sont envoyées directement sur le téléphone intelligent de papa et maman. 

Josipa Majic, le fondateur, explique pourquoi il croit que son produit fera fureur : « Avec la hausse des revenus dans certains pays, les consommateurs dépensent plus pour la santé de leurs enfants ».

Autre projet caressé, un ourson créé spécifiquement pour veillez à la santé des enfants diabétiques. Suivant le même principe que Teddy The Guardian, celui-là aurait pour tâche de vérifier en continu le taux glycémique de l’enfant pour tenter de mieux comprendre la maladie.

Teddy The Guardian : un aide-parent fort prometteur!

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Nouveauté : une combinaison anti-requins

Des cerveaux australiens seraient parvenus à concevoir et créer une combinaison à l’épreuve des requins, afin de protéger les baigneurs et les surfeurs des régions du monde aux prises avec ces dangereux voisins aquatiques.

C’est Top Santé qui rapporte la nouvelle, en rappelant que cinq surfeurs sont morts des suites d’attaques de requins en 2011 et 2012, en Australie. Les citoyens de ce pays sont donc de plus en plus inquiets face au phénomène, et c’est ce qui aurait poussé Hamish Jolly et Craig Anderson à travailler sur une solution concrète.

Ces derniers, tous deux chercheurs à l’Institut océanographique de l’Université de la Western Australia, ont donc créé une combinaison spéciale qui ressemble à celles que l’on retrouve déjà sur le marché.

Sauf que la combinaison de Jolly et Anderson utilise des rayures qui font office de camouflage à l’image de plusieurs poissons et animaux marins.

« Un certain nombre d’animaux sont repoussés par des animaux toxiques qui ont développé un code visuel signalant à leurs prédateurs potentiels de ne pas les manger. Et ce signal est souvent un motif à rayures », lance Shaun Collin, un collègue.

Il fallait y penser!

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La vérité sur les boissons énergétiques

Un article publié sur le site LaNutrition explique qu’il existe deux sortes de ce type de boisson pour sportifs d’endurance; les boissons dites « de l’effort » et celles de recharge glycogénique.

Les premières sont généralement utilisées pour apporter l’énergie nécessaire au sportif durant l’effort.

Les deuxièmes sont des boissons dites « maltos » et doivent être consommées au court des quelques jours avant une épreuve sportive de longue durée, car elles offriraient une libération progressive de l’énergie.

Cependant, les valeurs nutritionnelles annoncées sont souvent erronées. Contrairement à ce que l’on peut lire sur la majorité des sites commerciaux, les maltodextrines ont des index de glycémie (IG) très élevés. Ces sucres vont donc fortement perturber l’organisme, en particulier quant à la sécrétion d’insuline. Cela pourrait bien évidemment nuire à la performance.

De nombreuses études ont déjà démontré qu’avant la compétition, la consommation d’un repas à IG bas favorise l’oxydation des lipides durant l’effort.

Ceci étant dit, les conseils fournis par Fabrice Kuhn, médecin et triathlonien, est d’éviter les maltos avant la compétition et de les remplacer par des aliments à index glycémique bas et dense.

Kuhn, qui est aussi coauteur du livre Nutrition de l’endurance, donne un grand nombre de solutions alimentaires aux maltos qui sont tout aussi, sinon plus, efficaces.

Vous pouvez les consulter en cliquant sur le lien suivant :

http://www.lanutrition.fr/bien-dans-sa-sante/sport/l-alimentation-du-sportif/les-pieges-des-boissons-energetiques-pour-les-sports-dendurance.html

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Connaissez-vous l’allergie solaire?

La saison estivale bat son plein et s’avère une excellente édition jusqu’à maintenant, au Québec.

Mais malgré tous les avantages et les bonheurs liés à la chaleur et au soleil, des problèmes y sont rattachés. C’est le cas de l’allergie solaire, ou lucite estivale, qui peut s’avérer franchement désagréable.

Selon Top Santé, l’allergie solaire est caractérisée par des éruptions cutanées qui peuvent apparaitre sur diverses parties du corps. On explique également que ce mal est plutôt réservé aux femmes, mais pas seulement celles qui arborent un teint naturel plus pâle comme les rousses ou certaines blondes.

En fait, on estime que 1 femme sur 10 serait frappée par le phénomène estival et que les premières manifestations se produisent souvent entre l’âge de 15 et 25 ans.

N’étant pas une allergie au sens médical, il n’existerait malheureusement aucun véritable traitement contre la lucite estivale. On conseille donc de limiter les expositions au soleil en temps et en nombre.

Si les éruptions deviennent trop importantes, consultez tout de même un médecin, qui peut y aller de solutions possibles. 

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Autisme : de la mère à l’enfant

Les spécialistes de l’Institut Mind, de l’Université Davis de Californie, ont réussi à mettre le doigt sur des anticorps qui empêchent le cerveau des fœtus de se développer normalement alors qu’ils en ciblent les protéines.

Présentée sur le site de Santelog, cette trouvaille fort prometteuse devrait non seulement permettre un diagnostic précoce de la maladie, mais aussi aider à la mise sur pied d’un éventuel traitement.

Présents dans le sang maternel, ces anticorps seraient responsables de la forme d’autisme de type MAR (Maternal Autoantibody-Related). Les femmes ayant ces anticorps auraient 21 fois plus de risques de donner naissance à un enfant souffrant de cette forme de la maladie.

La transmission se produit alors que les anticorps traversent le placenta pendant la grossesse. Pendant les six premiers mois avant la naissance, ce sont les anticorps de la mère qui règnent dans le sang du bébé. Après ces six mois, le système immunitaire du bébé prend le relais. Les anticorps se mettent alors à attaquer les cellules du cerveau, dont certaines agissent comme antigènes.

Le combat antigènes et anticorps se retourne alors contre l’organisme comme une maladie auto-immune.

La prochaine étape est de concevoir un test de dépistage de l’autisme MAR, et peut-être même un test permettant aux mères ayant déjà un enfant autiste de pouvoir prédire leurs risques d’avoir un second enfant atteint.

spécialistes de l’Institut Mind, de l’Université Davis de Californie, ont réussi à mettre le doigt sur des anticorps qui empêchent le cerveau des fœtus de se développer normalement alors qu’ils en ciblent les protéines.

Présentée sur le site de Santelog, cette trouvaille fort prometteuse devrait non seulement permettre un diagnostic précoce de la maladie, mais aussi aider à la mise sur pied d’un éventuel traitement.

Présents dans le sang maternel, ces anticorps seraient responsables de la forme d’autisme de type MAR (Maternal Autoantibody-Related). Les femmes ayant ces anticorps auraient 21 fois plus de risques de donner naissance à un enfant souffrant de cette forme de la maladie.

La transmission se produit alors que les anticorps traversent le placenta pendant la grossesse. Pendant les six premiers mois avant la naissance, ce sont les anticorps de la mère qui règnent dans le sang du bébé. Après ces six mois, le système immunitaire du bébé prend le relais. Les anticorps se mettent alors à attaquer les cellules du cerveau, dont certaines agissent comme antigènes.

Le combat antigènes et anticorps se retourne alors contre l’organisme comme une maladie auto-immune.

La prochaine étape est de concevoir un test de dépistage de l’autisme MAR, et peut-être même un test permettant aux mères ayant déjà un enfant autiste de pouvoir prédire leurs risques d’avoir un second enfant atteint.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Nouveau traitement contre l’épilepsie

Alors que les injections traditionnelles de Diazépam par voie rectale forçaient les parents à violer le respect de l’intimité des enfants quand les crises survenaient dans les lieux publics, le Buccolam viendrait régler ce problème tout en gardant la même efficacité.

Sur psychoenfants.fr, il est expliqué que la molécule nommée « midazolam » était d’abord destinée aux adultes. Ayant reçu l’autorisation de mise sur le marché (AMM) depuis un moment, le nouveau médicament, qui permet de mieux traiter les crises d’épilepsie des jeunes, peut être injecté par voie parajugale (entre la joue et la gencive).

Le traitement faisant figure de pionnier dans le traitement de l’épilepsie chez l’enfant est tout aussi efficace que l’habituel. De plus, il offre une solution beaucoup plus respectueuse et moins angoissante tant pour les petits que pour les gens devant l’administrer.

Les bienfaits du Buccolam sont nombreux. Notamment, il est présenté sous forme de seringues pré-remplies de la dose adéquate selon l’âge de l’enfant. Cela évite au soignant de s’assurer de la bonne dose à injecter, ce qui comportait des risques d’être trop approximatif.

Voilà une excellente nouvelle, tant pour les enfants que pour les donneurs de soins.

s que les injections traditionnelles de Diazépam par voie rectale forçaient les parents à violer le respect de l’intimité des enfants quand les crises survenaient dans les lieux publics, le Buccolam viendrait régler ce problème tout en gardant la même efficacité.

Sur psychoenfants.fr, il est expliqué que la molécule nommée « midazolam » était d’abord destinée aux adultes. Ayant reçu l’autorisation de mise sur le marché (AMM) depuis un moment, le nouveau médicament, qui permet de mieux traiter les crises d’épilepsie des jeunes, peut être injecté par voie parajugale (entre la joue et la gencive).

Le traitement faisant figure de pionnier dans le traitement de l’épilepsie chez l’enfant est tout aussi efficace que l’habituel. De plus, il offre une solution beaucoup plus respectueuse et moins angoissante tant pour les petits que pour les gens devant l’administrer.

Les bienfaits du Buccolam sont nombreux. Notamment, il est présenté sous forme de seringues pré-remplies de la dose adéquate selon l’âge de l’enfant. Cela évite au soignant de s’assurer de la bonne dose à injecter, ce qui comportait des risques d’être trop approximatif.

Voilà une excellente nouvelle, tant pour les enfants que pour les donneurs de soins.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les végétariens à risque d’une carence en vitamine B12

Végétariens, végétaliens et compagnie, attention! Votre style de vie sain peut aussi comporter certains risques, dont celui d’une carence en vitamine.

C’est ce qu’expliquent des chercheurs de l’United Graduate School of Agricultural Sciences of Tottori et du Department of Nutrition of the Junior College of Tokyo, qui publient une nouvelle étude sur le sujet.

L’un des principaux risques associés au végétarisme est une carence éventuelle en vitamine B12, souvent retrouvée dans les viandes et substituts comme le bœuf, le poisson, les œufs et le lait.

Plusieurs plantes peuvent contenir de la B12, mais les chercheurs expliquent aussi que la bactérie qui permet les apports nécessaires de la vitamine provient surtout de l’organisme des animaux.

Les apports provenant des plantes seraient difficilement utilisables concrètement pour le corps humain, rendant les végétariens à risque.

La vitamine B12 est notamment fort utile à la formation des globules rouges, et un apport trop minime de celle-ci peut mener à plusieurs problèmes de santé, comme l’anémie, explique Medical News Today.

L’étude, qui se veut un effort de sensibilisation, a été publiée dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry.

cute;gétariens, végétaliens et compagnie, attention! Votre style de vie sain peut aussi comporter certains risques, dont celui d’une carence en vitamine.

C’est ce qu’expliquent des chercheurs de l’United Graduate School of Agricultural Sciences of Tottori et du Department of Nutrition of the Junior College of Tokyo, qui publient une nouvelle étude sur le sujet.

L’un des principaux risques associés au végétarisme est une carence éventuelle en vitamine B12, souvent retrouvée dans les viandes et substituts comme le bœuf, le poisson, les œufs et le lait.

Plusieurs plantes peuvent contenir de la B12, mais les chercheurs expliquent aussi que la bactérie qui permet les apports nécessaires de la vitamine provient surtout de l’organisme des animaux.

Les apports provenant des plantes seraient difficilement utilisables concrètement pour le corps humain, rendant les végétariens à risque.

La vitamine B12 est notamment fort utile à la formation des globules rouges, et un apport trop minime de celle-ci peut mener à plusieurs problèmes de santé, comme l’anémie, explique Medical News Today.

L’étude, qui se veut un effort de sensibilisation, a été publiée dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le vaccin contre le VPH s’avère efficace

On confirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

onfirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Dormir ailleurs que chez lui affecte bébé

Publiés sur le site MedicalXpress.com, les résultats d’une recherche menée à l’Université de la Virginie dévoilent que les bébés dormant une à plusieurs nuits par semaine ailleurs que chez eux développeraient une insécurité.

L’attachement est défini par un lien émotionnel profond et durable entre un bébé et son principal fournisseur de soins, qui se retrouve majoritairement être la mère. Il se développe principalement durant la première année de vie.

Ce type d’attachement joue un rôle important alors qu’il fournit une base pour les relations et l’attachement plus tard dans la vie adulte. Avec le nombre grandissant de séparations, les enfants se trouvent souvent déplacés de chez un parent à l’autre.

Pour cette raison, Dre Samantha Tornello, auteure principale de cette étude, mentionne le besoin pour la justice de se pencher sur les besoins réels de l’enfant lors des procès pour sa garde. « Les juges se trouvent parfois à offrir la garde à un ou l’autre des parents sans vraiment tenir compte des besoins réels de l’enfant ni savoir ce qui se passe chez un parent ou l’autre », dit-elle.

« Je voudrais que les nourrissons et les tout-petits soient solidement attachés aux deux parents, mais je suis plus inquiet qu’il ne soit solidement fixé à aucun des parents », a déclaré M. Emery, le conseiller en recherche de Mme Tornello.

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L’attachement est défini par un lien émotionnel profond et durable entre un bébé et son principal fournisseur de soins, qui se retrouve majoritairement être la mère. Il se développe principalement durant la première année de vie.

Ce type d’attachement joue un rôle important alors qu’il fournit une base pour les relations et l’attachement plus tard dans la vie adulte. Avec le nombre grandissant de séparations, les enfants se trouvent souvent déplacés de chez un parent à l’autre.

Pour cette raison, Dre Samantha Tornello, auteure principale de cette étude, mentionne le besoin pour la justice de se pencher sur les besoins réels de l’enfant lors des procès pour sa garde. « Les juges se trouvent parfois à offrir la garde à un ou l’autre des parents sans vraiment tenir compte des besoins réels de l’enfant ni savoir ce qui se passe chez un parent ou l’autre », dit-elle.

« Je voudrais que les nourrissons et les tout-petits soient solidement attachés aux deux parents, mais je suis plus inquiet qu’il ne soit solidement fixé à aucun des parents », a déclaré M. Emery, le conseiller en recherche de Mme Tornello.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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La carence en vitamine D et les capacités physiques

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui confirme et rappelle l’importance d’un apport suffisant en vitamine D, particulièrement lorsqu’on vieillit.

Selon l’étude, c’est près de 90 % de la population qui se retrouve avec une carence en vitamine D en vieillissant, une statistique alarmante.

Car cette vitamine permet, comme on le sait, d’augmenter la densité osseuse et de solidifier les os et les muscles de façon adéquate. Plusieurs études précédentes avaient également tracé un lien entre une carence en vitamine D et l’ostéoporose, notamment.

L’étude proposée ici base ses conclusions sur l’analyse de plus de 1 300 individus, tous âgés de 55 à 88 ans, suivis durant une période de 6 ans.

Les conclusions, publiées dans l’édition du 17 juillet du Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, démontrent que 70 % des gens qui souffrent d’un problème de limitation physique ont une carence en vitamine D.

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Selon l’étude, c’est près de 90 % de la population qui se retrouve avec une carence en vitamine D en vieillissant, une statistique alarmante.

Car cette vitamine permet, comme on le sait, d’augmenter la densité osseuse et de solidifier les os et les muscles de façon adéquate. Plusieurs études précédentes avaient également tracé un lien entre une carence en vitamine D et l’ostéoporose, notamment.

L’étude proposée ici base ses conclusions sur l’analyse de plus de 1 300 individus, tous âgés de 55 à 88 ans, suivis durant une période de 6 ans.

Les conclusions, publiées dans l’édition du 17 juillet du Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, démontrent que 70 % des gens qui souffrent d’un problème de limitation physique ont une carence en vitamine D.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net