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Perdre du poids par la satiété

Science Daily propose une recherche présentée lors de la réunion annuelle de l’Institute of Food Technologists (IFT), à Chicago, qui prône l’importance de bien choisir ses collations afin de ne pas prendre du poids, mais aussi d’en perdre.

Le raisonnement est fort simple : en choisissant des collations qui comblent plus rapidement votre faim, vous n’aurez pas à manger surabondamment pour arriver au même résultat.

Ce constat peut en effet sembler simpliste. Avouons toutefois que nous ne choisissons que rarement nos collations et récompenses alimentaires en nous demandant quelle option présente la meilleure chance de nous faire atteindre un rapide état de satiété.

On préfère souvent les chocolats, craquelins salés et croustilles de ce monde sans aucune considération pour notre faim et la résolution du problème réel (ne plus avoir faim).

Pourtant, en choisissant une collation qui nourrit vraiment l’organisme, il est permis de croire que l’on peut perdre du poids… sans avoir faim de nouveau!

« La maîtrise de l’appétit est un domaine qui reçoit de plus en plus d’attention de la part de l’industrie alimentaire, qui cherche à proposer aux consommateurs des produits qui les gardent remplis plus longtemps », affirme Dr Roberta Re, une nutritionniste britannique.

cience Daily propose une recherche présentée lors de la réunion annuelle de l’Institute of Food Technologists (IFT), à Chicago, qui prône l’importance de bien choisir ses collations afin de ne pas prendre du poids, mais aussi d’en perdre.

Le raisonnement est fort simple : en choisissant des collations qui comblent plus rapidement votre faim, vous n’aurez pas à manger surabondamment pour arriver au même résultat.

Ce constat peut en effet sembler simpliste. Avouons toutefois que nous ne choisissons que rarement nos collations et récompenses alimentaires en nous demandant quelle option présente la meilleure chance de nous faire atteindre un rapide état de satiété.

On préfère souvent les chocolats, craquelins salés et croustilles de ce monde sans aucune considération pour notre faim et la résolution du problème réel (ne plus avoir faim).

Pourtant, en choisissant une collation qui nourrit vraiment l’organisme, il est permis de croire que l’on peut perdre du poids… sans avoir faim de nouveau!

« La maîtrise de l’appétit est un domaine qui reçoit de plus en plus d’attention de la part de l’industrie alimentaire, qui cherche à proposer aux consommateurs des produits qui les gardent remplis plus longtemps », affirme Dr Roberta Re, une nutritionniste britannique.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Boire de l’eau pour une bonne santé mentale et cognitive

On le sait, et spécialement par ces périodes de chaleur estivale intense, le meilleur moyen de s’hydrater est de boire de l’eau.

Or, selon une étude rapportée par le Telegraph (G.-B.), des chercheurs ont découvert que boire de l’eau pouvait également améliorer substantiellement les performances cognitives d’un individu.

En fait, si une personne boit une pinte d’eau avant de s’atteler à une tâche qui requiert une bonne concentration mentale (comme l’écriture ou le calcul), il appert qu’elle serait 14 % plus efficace qu’en temps normal.

Selon l’étude, elle serait en effet « 14 % plus rapide à exécuter une action cognitive. »

Il semble que la moindre parcelle de déshydratation du corps pourrait créer un ralentissement des facultés, et ce, presque instantanément.

« Ce pourrait être parce que lorsque vous avez soif, ça diverge votre attention de la tâche à accomplir. Le temps de réaction semble être le plus influencé par l’eau, et spécialement lorsque les gens ont soif », résume Dr Caroline Edmonds, psychologue et auteure de l’étude.

L’étude en question a été effectuée à l’University of East London.

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Les risques des sièges d’auto pour enfants

Alors que c’est pratique courante de laisser bébé s’endormir dans son siège d’auto, il serait cependant hasardeux de l’y laisser sans surveillance.

Bien que tout semble être planifié pour leur sécurité, le rembourrage parfois insistant ou encore le plastron et les sangles reposant sur leur poitrine comportent des risques de suffocation et d’apnée.

C’est pourquoi le Pr Alistair Gunn et ses collègues du Départment de physiologie de l’University of Auckland se sont penchés sur la question. Un dispositif empêchant la tête du bébé de se retrouver dans une position fâcheuse semblerait être une bonne solution.

Même si certains de ces dispositifs sont déjà en vente, les commentaires du principal auteur de la recherche laissent présager la nécessité d’une plus grande étude pour s’assurer de l’efficacité de ces changements. « La tête des bébés a tendance à pencher vers l’avant lorsqu’ils s’endorment dans leur siège. Nous cherchons à déterminer si un dispositif obligeant la tête de bébé à rester droite pourrait améliorer leur sécurité en réduisant les périodes de taux d’oxygène plus bas », affirme-t-il.

Bien que ces efforts soient louables, le plus efficace des moyens, pour éviter de tels incidents (si une grande route n’est pas nécessaire), demeure de ne pas se servir du siège de voiture pour les siestes et de plutôt utiliser la couchette ou tout autre accessoire prévu à cet effet.

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Bien que tout semble être planifié pour leur sécurité, le rembourrage parfois insistant ou encore le plastron et les sangles reposant sur leur poitrine comportent des risques de suffocation et d’apnée.

C’est pourquoi le Pr Alistair Gunn et ses collègues du Départment de physiologie de l’University of Auckland se sont penchés sur la question. Un dispositif empêchant la tête du bébé de se retrouver dans une position fâcheuse semblerait être une bonne solution.

Même si certains de ces dispositifs sont déjà en vente, les commentaires du principal auteur de la recherche laissent présager la nécessité d’une plus grande étude pour s’assurer de l’efficacité de ces changements. « La tête des bébés a tendance à pencher vers l’avant lorsqu’ils s’endorment dans leur siège. Nous cherchons à déterminer si un dispositif obligeant la tête de bébé à rester droite pourrait améliorer leur sécurité en réduisant les périodes de taux d’oxygène plus bas », affirme-t-il.

Bien que ces efforts soient louables, le plus efficace des moyens, pour éviter de tels incidents (si une grande route n’est pas nécessaire), demeure de ne pas se servir du siège de voiture pour les siestes et de plutôt utiliser la couchette ou tout autre accessoire prévu à cet effet.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Une étude confirme les dangers… de la retraite!

Une vieille légende urbaine, ou une vieille superstition, avançait que les gens qui cessent de faire ce qu’ils aiment en prenant leur retraite voyaient souvent leurs jours prendre fin plus abruptement et plus rapidement que les autres.

Peu de recherches sérieuses avaient jusqu’à présent été effectuées sur le sujet, mais c’est maintenant chose faite.

En effet, rapporte Santé Log, une équipe de chercheurs de l’INSERM a établi que le lien entre la retraite et les maladies dégénératives, voire la mort, existerait bel et bien.

La recherche, qui a par ailleurs été présentée lors de la conférence annuelle de l’Association Internationale d’Alzheimer de Boston, conclut que les personnes qui prennent leur retraite plus tard ont moins de chances de développer des maladies comme l’Alzheimer.

L’étude exhaustive, qui se base sur l’analyse des dossiers de près de 430 000 patients et travailleurs, constate un lien direct entre l’arrêt de la vie active et la dégénérescence des facultés cognitives.

On suggère donc de maintenir ses activités le plus longtemps possible, qu’elles soient professionnelles, personnelles ou sociales, et ce, malgré l’âge ou le début de la retraite.

vieille légende urbaine, ou une vieille superstition, avançait que les gens qui cessent de faire ce qu’ils aiment en prenant leur retraite voyaient souvent leurs jours prendre fin plus abruptement et plus rapidement que les autres.

Peu de recherches sérieuses avaient jusqu’à présent été effectuées sur le sujet, mais c’est maintenant chose faite.

En effet, rapporte Santé Log, une équipe de chercheurs de l’INSERM a établi que le lien entre la retraite et les maladies dégénératives, voire la mort, existerait bel et bien.

La recherche, qui a par ailleurs été présentée lors de la conférence annuelle de l’Association Internationale d’Alzheimer de Boston, conclut que les personnes qui prennent leur retraite plus tard ont moins de chances de développer des maladies comme l’Alzheimer.

L’étude exhaustive, qui se base sur l’analyse des dossiers de près de 430 000 patients et travailleurs, constate un lien direct entre l’arrêt de la vie active et la dégénérescence des facultés cognitives.

On suggère donc de maintenir ses activités le plus longtemps possible, qu’elles soient professionnelles, personnelles ou sociales, et ce, malgré l’âge ou le début de la retraite.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Les bienfaits des soins kangourou pour les prématurés

Selon une étude dont les résultats ont été publiés dans le Journal of Newborns & Infant Nursing Reviews, le contact constant entre la mère et son bébé prématuré aurait une quantité de bienfaits assez surprenants.

En effet, le contact peau contre peau apporterait au bébé né avant terme un meilleur développement du cerveau et un sommeil amélioré. De plus, cela lui offrirait une meilleure régulation de sa température et de son rythme cardiaque, car il copierait celle de sa mère, en plus d’absorber certains bénéfices immunitaires via la peau de maman.

Les soins kangourou (SK), « Kangaroo care », ou « KC », en anglais, nécessitent un grand dévouement de la part des parents, puisqu’un contact peau à peau est requis pratiquement 24 heures sur 24, le père prenant la relève pour laisser à maman certaines pauses bien méritées.

Cette pratique permettrait entre autres aux petits de quitter l’hôpital trois semaines en moyenne avant les autres prématurés. L’auteur de l’étude, Susan Ludington-Hoe, de Case Western Reserve University’s Frances Payne Bolton School of Nursing, dit que « [l]es SK sont maintenant considérés comme une thérapie essentielle afin de promouvoir un meilleur développement chez les bébés nés avant terme. »

Des hôpitaux partout dans le monde devraient donc commencer à promouvoir ce processus afin d’aider la petite famille à retourner à la maison le plus vite possible, et ce, avec un bébé à la santé maximisée.

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En effet, le contact peau contre peau apporterait au bébé né avant terme un meilleur développement du cerveau et un sommeil amélioré. De plus, cela lui offrirait une meilleure régulation de sa température et de son rythme cardiaque, car il copierait celle de sa mère, en plus d’absorber certains bénéfices immunitaires via la peau de maman.

Les soins kangourou (SK), « Kangaroo care », ou « KC », en anglais, nécessitent un grand dévouement de la part des parents, puisqu’un contact peau à peau est requis pratiquement 24 heures sur 24, le père prenant la relève pour laisser à maman certaines pauses bien méritées.

Cette pratique permettrait entre autres aux petits de quitter l’hôpital trois semaines en moyenne avant les autres prématurés. L’auteur de l’étude, Susan Ludington-Hoe, de Case Western Reserve University’s Frances Payne Bolton School of Nursing, dit que « [l]es SK sont maintenant considérés comme une thérapie essentielle afin de promouvoir un meilleur développement chez les bébés nés avant terme. »

Des hôpitaux partout dans le monde devraient donc commencer à promouvoir ce processus afin d’aider la petite famille à retourner à la maison le plus vite possible, et ce, avec un bébé à la santé maximisée.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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L’insuline et l’allaitement

Un article paru sur Psychoenfants.fr explique comment l’insuline, qui régule notre taux de sucre, pourrait nuire au bon fonctionnement de la lactation si elle présente des anomalies.

La molécule jouerait le rôle de déclencheur de la lactation dès l’arrivée de bébé. Ceci expliquerait pourquoi les mères souffrant de diabète auraient du mal à produire du lait en quantité nécessaire.

Jusqu’à tout récemment, il n’y avait jamais eu de lien établi entre l’insuline et cette difficulté, mais une récente étude menée par la Pre Laurie Nommsen-Rivieres, chercheuse à Cincinnati, révèle qu’elles seraient intimement liées.

En effet, l’insuline enverrait des signaux déclencheurs à notre centre de bioproduction de protéines, de lipides et de glucides, tous des nutriments indispensables à l’alimentation du bébé et à la mise en route de la lactation.

En cas d’insulino-résistance, la transmission des signaux est affectée, voire manquante, et nuirait à tout le processus d’enclenchement. Aux États-Unis, environ 20 % des femmes diagnostiquées comme pré-diabétiques subiraient ces conséquences.

Un second essai clinique est en cours avec l’utilisation d’un médicament contre le diabète de type 2, afin de déterminer si une telle mesure permettrait de raviver la production de lait chez les patientes.

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La molécule jouerait le rôle de déclencheur de la lactation dès l’arrivée de bébé. Ceci expliquerait pourquoi les mères souffrant de diabète auraient du mal à produire du lait en quantité nécessaire.

Jusqu’à tout récemment, il n’y avait jamais eu de lien établi entre l’insuline et cette difficulté, mais une récente étude menée par la Pre Laurie Nommsen-Rivieres, chercheuse à Cincinnati, révèle qu’elles seraient intimement liées.

En effet, l’insuline enverrait des signaux déclencheurs à notre centre de bioproduction de protéines, de lipides et de glucides, tous des nutriments indispensables à l’alimentation du bébé et à la mise en route de la lactation.

En cas d’insulino-résistance, la transmission des signaux est affectée, voire manquante, et nuirait à tout le processus d’enclenchement. Aux États-Unis, environ 20 % des femmes diagnostiquées comme pré-diabétiques subiraient ces conséquences.

Un second essai clinique est en cours avec l’utilisation d’un médicament contre le diabète de type 2, afin de déterminer si une telle mesure permettrait de raviver la production de lait chez les patientes.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Des casques moins chers et tout aussi efficaces

La santé et la sécurité dans le sport constituent une donnée fort importante, et elle prend de plus en plus de place dans notre conscience collective et dans les médias.

Les commotions cérébrales, notamment, constituent le sujet le plus chaud depuis plusieurs mois, après qu’un nombre considérable de sportifs soient tombés au combat à la suite de cette blessure, que ce soit des joueurs professionnels ou des athlètes amateurs.

C’est vrai au hockey, mais aussi au football, un sport de plus en plus populaire au Québec. Il est donc tentant de se procurer des articles de sport plus chers afin d’assurer sa sécurité. Toutefois, ce n’est pas ce que suggère nécessairement une équipe de chercheurs du Wisconsin qui s’est penchée sur la question.

The National Library of Medicine rapporte en effet les conclusions de l’étude en question, selon lesquelles plusieurs casques moins chers et moins récents sont tous aussi efficaces et sécuritaires.

« La technologie des casques est aussi avancée qu’elle peut l’être. Ils ont fait un travail formidable. Nous n’avons plus de fracture du crâne au football », explique notamment l’auteur en chef de l’étude, Timothy McGuine.

On suggère donc de bien s’informer avant l’achat, mais de ne pas se ruiner sans raison.

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Les commotions cérébrales, notamment, constituent le sujet le plus chaud depuis plusieurs mois, après qu’un nombre considérable de sportifs soient tombés au combat à la suite de cette blessure, que ce soit des joueurs professionnels ou des athlètes amateurs.

C’est vrai au hockey, mais aussi au football, un sport de plus en plus populaire au Québec. Il est donc tentant de se procurer des articles de sport plus chers afin d’assurer sa sécurité. Toutefois, ce n’est pas ce que suggère nécessairement une équipe de chercheurs du Wisconsin qui s’est penchée sur la question.

The National Library of Medicine rapporte en effet les conclusions de l’étude en question, selon lesquelles plusieurs casques moins chers et moins récents sont tous aussi efficaces et sécuritaires.

« La technologie des casques est aussi avancée qu’elle peut l’être. Ils ont fait un travail formidable. Nous n’avons plus de fracture du crâne au football », explique notamment l’auteur en chef de l’étude, Timothy McGuine.

On suggère donc de bien s’informer avant l’achat, mais de ne pas se ruiner sans raison.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Les canneberges en prévention des infections

Santé Log rapporte une étude publiée par des chercheurs basés à l’Université McGill, à Montréal, qui traite d’un possible effet préventif des canneberges sur plusieurs types d’infection.

On parle notamment des infections urinaires et de type nosocomial, qui apparaissent notamment dans les centres hospitaliers à la suite de l’utilisation d’appareils médicaux.

L’équipe de chercheurs de McGill, qui publie ses conclusions dans le Canadian Journal of Microbiology, croit que la consommation de canneberges devrait être mise de l’avant chez plusieurs patients hospitalisés, car elles permettent véritablement une prévention efficace.

C’est d’ailleurs la même équipe de McGill qui avançait des propriétés concernant l’E. coli récemment. Cette recherche confirmerait donc leurs hypothèses et pourrait s’avérer une excellente nouvelle.

Encore faudra-t-il que l’on puisse créer une méthode efficace de traitement préventif à base de canneberges et de distribution pour tous les patients. 

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On parle notamment des infections urinaires et de type nosocomial, qui apparaissent notamment dans les centres hospitaliers à la suite de l’utilisation d’appareils médicaux.

L’équipe de chercheurs de McGill, qui publie ses conclusions dans le Canadian Journal of Microbiology, croit que la consommation de canneberges devrait être mise de l’avant chez plusieurs patients hospitalisés, car elles permettent véritablement une prévention efficace.

C’est d’ailleurs la même équipe de McGill qui avançait des propriétés concernant l’E. coli récemment. Cette recherche confirmerait donc leurs hypothèses et pourrait s’avérer une excellente nouvelle.

Encore faudra-t-il que l’on puisse créer une méthode efficace de traitement préventif à base de canneberges et de distribution pour tous les patients. 

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Canicule : attention aux cafés glacés!

Ce ne sera pas une nouvelle pour personne d’annoncer qu’il fait chaud présentement au Québec… très chaud. Depuis quelques années, durant la saison estivale, la mode est aux cafés glacés, des boissons créées spécialement pour les amateurs de cafés qui ne cherchent pas à s’ébouillanter en pleine canicule.

Frappuccino, cappucino, mokaccino, presque tous les produits habituels sont offerts en version glacée. Malheureusement, selon le Daily Mail (G.-B.), ces boissons rafraîchissantes et réconfortantes sont servies avec leur part de calories et de sucre!

Les chercheurs et enquêteurs du Sunday Mirror qui publient ces recommandations sont scandalisés de voir autant de sucre présent dans ces produits populaires, des produits qu’ils n’hésitent pas à qualifier de « bombes sucrées toxiques », rien de moins.

Certains cafés glacés contiendraient parfois jusqu’à 18 cuillères à thé de sucre, alors que d’autres équivalent à 31 biscuits!

De quoi réfléchir avant d’abuser de ces produits qui, bien que succulents, cachent de lourds secrets sucrés. On rappelle également l’importance de consommer beaucoup d’eau en tout temps, et spécialement durant la saison estivale.

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Se protéger soi-même contre les erreurs médicales par la proactivité

The National Library of Medicine publie une liste de recommandations qui s’applique parfaitement à la population québécoise. Elle traite des mesures et des moyens à prendre pour prévenir le plus possible les erreurs médicales.

On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

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On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

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