Catégories
Uncategorized

L’avenir de la sardine

La sardine en boîte aurait 200 ans, selon ce que rapporte La Presse, et on s’interroge sur son avenir, semble-t-il.

Malgré les nombreux bénéfices et vertus santé proposés par ce petit poisson, il semble que les producteurs ne peuvent éviter une hausse de prix constante du produit.

On craint donc que le consommateur se lasse et délaisse la sardine au profit d’autres produits. Pour l’instant, la sardine en boîte passe le cap de son deuxième siècle d’existence, et les compagnies productrices, des conserveries, veulent profiter de l’événement pour conscientiser les gens au produit.

« La sardine est prise en tenaille entre l’augmentation de la demande mondiale et la nécessité de préserver les ressources sur nos côtes », lance Jean-François Hug, PDG d’une conserverie.

On demande donc aux amateurs de poissons de ne pas cesser la consommation de la sardine et d’être compréhensifs à la hausse des prix à venir. On rappelle l’importance d’intégrer du poisson à son alimentation, dont la sardine qui renferme d’importants éléments pour l’organisme.

Les apports en oméga-3, en calcium et parfois en huile d’olive sont de solides alliés dans la prévention de plusieurs maladies.

Catégories
Uncategorized

Le poisson, mais pas les suppléments, protégerait contre les crises cardiaques

Vous pouvez diminuer vos risques d’attaque cardiaque en intégrant du poisson à votre régime alimentaire, affirme une étude publiée sur www.nlm.nih.gov.

Et non, les suppléments n’ont pas le même impact que le vrai poisson, selon ces chercheurs. De quoi raviver les débats déjà houleux entre partisans de prise de suppléments d’oméga-3 et de poissons véritables.

Donc, l’étude indique que quelques portions par semaine (2 à 4) de poissons peuvent grandement augmenter vos chances d’éviter une attaque. On cible particulièrement les poissons huileux, visqueux, comme la sardine ou le maquereau.

Des changements sont observés lorsqu’une personne ajoute deux portions de poisson à son régime alimentaire hebdomadaire, concluent les chercheurs, mais passer de trois à quatre portions fait descendre les risques de crise cardiaque de 6 %. Les gens qui en consomment très souvent (cinq portions ou plus par semaine) verraient les mêmes risques diminuer parfois jusqu’à 12 %.

Le Dr Rajiv Chowdhury, de l’Université Cambridge en Angleterre, est convaincu de ce qu’il avance, mais tient à répéter une fois de plus que les suppléments alimentaires n’ont pas le même impact que le vrai poisson, voire pas d’impact du tout.