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Trucs et Bricolages

Un tatouage pour démontrer qu’on est donneur d’organes

Que pensez-vous de l’idée?

On ne peut que dire et redire que le don d’organes est un acte qui peut sauver de nombreuses vie. Cependant, selon le pays, le processus peut s’avérer plus ou moins ardu.

Par exemple, 84% des Allemands disent consentir au don d’organe. Mais ce chiffre impressionnant ne se matérialise pas dans la réalité. En effet, seulement 0,001% les donne actuellement. Cela fait de l’Allemagne le pays qui a le plus bas taux de dons d’organes du continent européen.

Cela s’explique par  la politique en vigueur du pays, qui rend le don assez complexe. Là-bas, il n’y a pas de registre national officiel de donneurs. Ce plus, une loi exige que les donneurs témoignent leur engagement explicitement.

C’est pourquoi une association du nom de Junge Helden a eu une idée insolite pour augmenter le nombre de dons d’organes en Allemagne.

#OPTINK

Le concept de l’opération, baptisée #OPTINK, consiste à inviter les gens à se faire tatouer gratuitement un symbole universel qui servira de preuve explicite.

C’est le tatoueur berlinois Gara qui a  dessiné le symbole en question. L’image est toute simple et représente  un cercle et deux demi-cercles. Sa simplicité fait en sorte que l’image est très facile à reproduire pour les autres tatoueurs.

Junge Helden

Grâce à ce  signe distinctif, les gens qui désirent faire don de leurs organes le cas échéant n’auront pas à traverser de lourdes  ldémarches administratives. À condition, bien entendu, de ne pas avoir peur des aiguilles…

Junge Helden

On ignore si l’idée est populaire jusqu’à maintenant, mais plusieurs pays pourraient l’intégrer…

Junge Helden
Junge Helden
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Échographies : ne pas révéler le sexe du bébé pour sauver la vie de fillettes canadiennes

Ne pas révéler le sexe de l’enfant à naître avant la 30e semaine de la grossesse afin d’éviter des avortements de foetus féminins trop fréquents dans certains groupes d’immigrants asiatiques au Canada, voilà la solution que suggère un important journal médical canadien.

Quoique plus rare en Amérique du Nord, le foeticide en fonction du sexe de l’enfant touche des millions de personnes en Inde et en Chine.

Lorsque cette action est faite au Canada, celle-ci est à la demande de parents d’origine indienne, chinoise, coréenne, vietnamienne ou philippine.

Des études basées sur le recensement de 2000 aux États-Unis ont confirmé des ratios déséquilibrés en faveur des garçons dans les familles d’origine asiatique, en raison de cette réalité morbide.

Dans son éditorial, le rédacteur en chef par intérim du Journal de l’Association médicale canadienne (CMAJ), le Dr Rajendra Kale, déclare que ne pas révéler le sexe du foetus avant la 30e semaine de grossesse « est un prix modeste à payer pour sauver des milliers de filles au Canada ».

« Si le Canada est incapable de contrôler cette pratique répugnante, quel espoir peut-on avoir en Inde et en Chine? » a-t-il dit, insistant sur le fait que l’information sur le sexe du foetus est « médicalement sans importance ».