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Création d’un nouveau test de détection du cancer sans danger pour la santé

The National Library of Medicine rapporte la création d’une nouvelle méthode pour tester les gens en prévention du cancer, et qui ne comporte pas de risque inhérent pour la santé.

Ironiquement, les tests scanneurs utilisés en oncologie pour dépister les cas de cancer utilisent des radiations qui peuvent contribuer au développement de problèmes de santé chez les patients testés, voire du cancer lui-même. On parle d’un risque accru chez les enfants et les « jeunes adultes », soit jusqu’à 40 ans.

Mais selon le Dr Heike Daldrup-Link, de l’école de médecine de Stanford, la solution pourrait maintenant être à nos portes.

« Nous pouvons résoudre le problème et le dilemme liés à la nécessité d’un scanneur pour tout le corps et son risque potentiel de provoquer un cancer plus tard au cours de la vie d’un patient », explique le Dr Daldrup-Link.

Cette solution se traduit par l’utilisation d’un test par résonnance magnétique doublé d’un agent contrastant, un genre de supplément, qui permet de mieux voir ce qui se passe dans le corps d’un patient. Un premier essai sur 22 patients a démontré une efficacité similaire à celle du scanneur par radiations.

Même s’il s’agit d’une belle percée, d’autres études et tests sont à faire avant que cette nouvelle méthode soit approuvée et utilisée sur une large échelle.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le journal The Lancet Oncology en février.  

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Dispositif d’échographie efficace pour détecter l’appendicite chez l’enfant

Comme l’indique l’auteur principal de cette recherche sur l’échographie pour détecter l’appendicite chez l’enfant, le Dr James W. Tsung : « D’un point de vue médical, il s’agit du problème chirurgical le plus fréquent rencontré chez les enfants ».

Cependant, à ce jour, ce sont les radiographies et la tomodensitométrie (scan) qui représentent l’imagerie médicale la plus efficace. Or, l’exposition aux radiations est reconnue pour être néfaste, surtout chez les enfants, pouvant même mener au cancer.

Les spécialistes espèrent donc éviter cela aux enfants, à l’aide d’un dispositif portable pour effectuer des échographies. Le taux de précision étant de 94 %, peu d’appendicites ne sont pas détectées en utilisant cette méthode.

Sans compter qu’au terme de cette étude, rapporte Medical News Today, les spécialistes ont constaté que l’échographie permettait de diminuer le temps d’attente à l’urgence :

–  de 2 h 15 en moyenne pour les cas ayant besoin d’une radiologie, soit une prise en charge 46 % plus rapide.

– de 6 h en moyenne pour les enfants nécessitant une tomodensitométrie, soit une prise en charge 68 % plus rapide.

En outre, durant cette étude, l’utilisation du scan pour détecter l’appendicite chez les enfants a diminué de plus de 35 %, passant de 44 % des cas suspectés à 27 %.

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Le chocolat et le soda pour détecter le cancer

C’est une nouvelle assez surprenante qui est publiée dans la dernière édition du journal Nature Medecine.

On y explique que contrairement aux tissus sains, les tumeurs malignes consomment plus de sucre afin de nourrir leur rapide expansion. Cette découverte vient ouvrir de nombreuses portes concernant la détection et le traitement du cancer.

Comme la radiation est à ce jour nécessaire pour bien localiser les tumeurs, ce processus n’est pas recommandé pour les enfants et les femmes enceintes, étant donné les dangers qui y sont associés.

À ce propos, le professeur Mark Lythgoe, directeur du Centre d’avancement en imagerie biomédicale de l’University College London, a confié que la découverte était une grande surprise.

« Je n’aurais jamais cru possible qu’un simple ajustement du scan puisse le concentrer sur la recherche du glucose, et que le tout soit possible dans aussi peu que 18 mois. Mais nos résultats démontrent que c’est tout à fait possible », dit-il.

En effet, cette nouvelle méthode consiste simplement à faire consommer du glucose (sucre simple) au patient et lui passer un scan qui aura pour mandat de trouver une source qui en consomme une plus grande quantité.

Les tumeurs ayant consommé du sucre émettent apparemment une certaine brillance facile à reconnaître.

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Un nouveau test pourrait mieux définir le traitement de la dépression

Les antidépresseurs demeurent une bonne avenue pour soigner certains cas de dépression, mais on constate de plus en plus que certains abus pourraient être évités.

De plus, beaucoup d’études commencent à démontrer, voire prouver, que la solution la plus efficace à long terme pour permettre une véritable rémission s’avère la bonne vieille psychothérapie.

Bien entendu, chaque situation commande une action différente, et c’est justement ce principe qui a mené des chercheurs d’Atlanta, en Géorgie, à mettre au point un test qui permet de mieux comprendre chaque situation et d’offrir le bon traitement qui s’y rattache, explique le Daily Mail (UK)

Le test, sous forme de numérisation, analyse différents taux et différentes fonctions du cerveau qui, sans entrer dans les détails complexes, permettent de poser un bien meilleur diagnostic que celui d’une simple dépression.

Un diagnostic plus précis signifie inéluctablement un traitement plus efficace.

« Ces nouvelles données suggèrent que si vous traitez un patient selon le type de cerveau (et de ces résultats d’analyse), vous augmentez les chances de rémission de celui-ci », confirme la Dre Helen Mayberg, professeure de psychiatrie et auteure principale de cette étude fort intéressante.

De plus en plus de spécialistes s’accordent pour dire que la hausse des prescriptions d’antidépresseurs représente un problème de société relativement inquiétant.  

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Les scans seraient plus bénéfiques que mauvais pour la santé

Une polémique fait rage concernant les fameux CT Scans, ces tests par imagerie utilisés dans bon nombre de départements de médecine pour prévenir et diagnostiquer plusieurs maladies graves.

Le problème, pour certains, se trouve dans les radiations qu’émettent les grosses machines utilisées pour les scans, qui pourraient provoquer certains types de problèmes de santé.

Entrer à l’hôpital en santé et y ressortir en moins bon état après un test du genre, voici ce que dénonce le groupe du « contre ».

Une nouvelle étude sur le sujet vient contredire les détracteurs du CT Scan, alors qu’elle démontre que, statistiquement, les effets sont plus positifs que négatifs sur la population en général.

Ainsi, plusieurs des cas de décès ou de maladies graves rapportées à la suite de ces tests seraient explicables par le fait que ces patients connaissaient déjà des ennuis de santé à leur arrivée à l’hôpital.

« Il faut réaliser que plusieurs de ces personnes sont arrivées avec de sérieux problèmes de santé préalables. La perception des gens face aux risques peut être biaisée s’ils ne voient pas le portrait global de la situation », pense la Dre Susanna Lee, une radiologue de la Harvard Medical School.

Pour d’autres, dont un radiologue, cette étude est mince et n’apporte pas de preuves concluantes.

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Des mammographies 3D plus efficaces et sécuritaires

Des scientifiques ont trouvé une technique plus efficace en matière de dépistage du cancer du sein, rapporte www.nlm.nih.gov.

Il s’agit d’une mammographie 3D, plus précise, qui permet aux praticiens d’obtenir des images en trois dimensions et, donc, une meilleure analyse des résultats.

Ce système serait deux à trois fois plus efficace que son prédécesseur, et la dose de radiation dégagée serait moins élevée.

Le professeur Jianwei Miao, de l’Université de Californie à Los Angeles, explique : « Les mammographies comptent en ce moment sur des images en deux dimensions. Cela pourrait expliquer pourquoi 10 à 20 % des tumeurs passent inaperçues lors des tests. Les scans actuels peuvent aussi voir en 3D, mais ne sont pas considérés utiles ou plus efficaces pour détecter les tumeurs. De plus, les praticiens sont inquiets de la dose massive de radiation que le système actuel engrange ».

« Pour améliorer le système de détection du cancer du sein, nous avons développé une nouvelle façon de visualiser la maladie en trois dimensions, avec un taux de radiation moins élevé que la mammographie traditionnelle utilisée aujourd’hui. »

Voilà des propos rassurants et intéressants pour tous les praticiens, oncologues et femmes à travers le monde, alors que le cancer du sein fait toujours des ravages.

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Les effets de ne pas déjeuner sur le cerveau

Lorsqu’une personne est aux prises avec des problèmes de poids, il est facile pour elle de décider de ne plus manger du tout, ce qui est une très mauvaise idée.

C’est particulièrement vrai en ce qui a trait au petit déjeuner, selon ce qu’affirme une étude rapportée par Santelog.com.

Sauter le déjeuner aurait un impact puissant sur le bon fonctionnement du cerveau, expliquent les chercheurs qui dirigent l’étude.

Cette dernière, effectuée à l’Imperial College London et présentée devant la Society for Neuroscience lors de l’événement Neuroscience 2012, suggère que de ne pas déjeuner peut mener à de sérieux dérèglements de l’organisme.

De plus, on serait plus enclins à craquer pour de mauvais aliments, les gras surtout, plus tard dans la journée.

L’étude a été effectuée sur 22 personnes, 17 hommes et 5 femmes d’environ 24 ans. On numérisait les réponses cérébrales lors de différentes situations, soit avec un petit déjeuner ou sans. L’exercice a été répété à plusieurs reprises.

Les chercheurs concluent qu’une personne qui ne déjeune pas va consommer en moyenne 20 % de calories de trop quotidiennement, en plus de choisir les mauvais aliments.

Il serait donc plus facile, pour les gens qui se soucient de leur poids, de surveiller leur silhouette en déjeunant simplement.