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Un médicament contre le cholestérol en traitement de la sclérose en plaques?

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une petite étude britannique qui semble démontrer une certaine efficacité d’un médicament contre le cholestérol en traitement de la sclérose en plaques.

Le médicament en question est le simavastin, commercialisé sous le nom de Zocor, qui semble prévenir la contraction du cerveau dans les cas de sclérose en plaques.

On parle même d’une réduction de ce symptôme pouvant aller jusqu’à 43 % chez certains patients en deuxième stage progressif de sclérose en plaques, une excellente nouvelle.

Le Zocor permettrait donc d’établir une nouvelle façon de faire en traitement de la maladie, si d’autres tests plus poussés venaient à confirmer son double effet.

« L’effet est sous réserve et nécessite une plus grande étude de phase 3, mais semble prometteur pour tous les types de sclérose en plaques. Parce qu’il s’agit d’un médicament (Zocor) déjà approuvé, dont on connaît le profil et qui s’avère peu coûteux, il pourrait devenir possible de l’utiliser assez rapidement si d’autres études confirment l’effet suggéré », résume bien la Dre Jacqueline Palace, neurologiste consultante pour l’Université Oxford.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 19 mars du Lancet.

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Une toxine alimentaire pourrait causer la sclérose en plaques

On apprend via Top Santé que certains cas de sclérose en plaques pourraient avoir été causés ou fortement encouragés par la présence d’une toxine alimentaire présente dans l’organisme, une nouvelle découverte qui a de quoi surprendre.

Ce sont des chercheurs américains de l’Université Cornell qui tracent ce lien, expliquant que la toxine en question peut affaiblir le système immunitaire à un point tel qu’elle ouvrirait toute grande la porte au possible développement de la sclérose en plaques.

Baptisée « toxine Epsilon » par les chercheurs, cette dernière évoluerait dans une direction ou dans l’autre selon certains facteurs environnementaux ou encore biologiques, ce qui explique cette possibilité.

Jennifer Linden, une spécialiste du sujet qui participe aux recherches, aurait tenté de confirmer la théorie en observant la réaction de la toxine sur des rongeurs, et aurait effectivement pu constater la cause à effet.

Si les tests subséquents s’avèrent aussi probants, les chercheurs tenteront ensuite de s’attaquer à la progression de la toxine et au développement possible de la sclérose en plaques qui en découle.

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Percée encourageante dans le traitement de la sclérose en plaques

Alors que plusieurs avancées médicales sont effectuées chaque jour dans plusieurs domaines, certaines maladies semblent résister à l’évolution technologique et scientifique et continuent de faire des ravages.

C’est notamment le cas de la sclérose en plaques, qui continue de résister aux traitements, mais peut-être plus pour très longtemps…

Selon Top Santé, une percée effectuée par des chercheurs américains jetterait maintenant un vent d’optimisme au sein de la communauté scientifique.

Selon les informations publiées dans le magazine Science Translational Medicine, les chercheurs auraient réussi à « reprogrammer » le système immunitaire de certains sujets, afin de contrer la dangerosité des molécules liées au développement de la sclérose en plaques et de permettre au corps de lutter efficacement.

D’autres tests doivent être effectués afin de confirmer qu’il s’agit d’une avenue viable, mais le fait que l’on passe maintenant en phase 2 a de quoi encourager les victimes de cette terrible maladie ainsi que leurs proches.

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Un régime fort en sel peut mener à diverses maladies chroniques

The National Library of Medicine rapporte une étude qui accuse le sel, mais qui y va de précisions intéressantes.

Notamment en ce qui concerne les maladies chroniques qui peuvent apparaitre à cause d’une alimentation trop riche en sodium. Du lot, on apprend que la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde sont susceptibles de se développer chez les personnes qui mangent trop de sel.

Des conséquences bien plus graves, donc, qu’une simple montée de la pression sanguine, déjà observée chez les amateurs de sel.

« La diète affecte en effet le système immunitaire d’une façon qui n’a peut-être jamais été observée jusqu’à maintenant », lance le Dr David Hafler, professeur en neurologie et immunobiologie à Yale.

C’est après avoir découvert un peu par hasard que les amateurs de restauration rapide affichaient des résultats de tests médicaux inquiétants sur divers plans que les chercheurs ont voulu pousser l’étude plus loin, en précisant les dangers réels d’une consommation de sodium élevée.

Les chercheurs recommandent à tout le monde, mais spécialement aux gens qui souffrent de maladies chroniques comme la sclérose en plaques, d’entamer le plus rapidement possible une diète pauvre en sel.

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Vers un traitement de la sclérose en plaques grâce à la testostérone?

Santé Log rapporte des conclusions dévoilées par des chercheurs de Strasbourg, en France, qui indiquent qu’un traitement de la sclérose en plaques est envisageable.

Ce traitement serait basé sur une utilisation de la testostérone, apprend-on, qui permet de régénérer des cellules qui créent un phénomène appelé myélinisation, qui mène à des cas de sclérose en plaques lorsqu’inefficace.

Ce phénomène se définit par un système protecteur des fibres nerveuses et du système nerveux central. Lorsque ce système est endommagé, la porte s’ouvre pour les maladies dégénératives et immobilisantes.

Il n’existe encore, hélas, aucun traitement pour contrer ou traiter la sclérose en plaques, dont souffrent près de trois millions de personnes dans le monde, selon les estimations.

Cela pourrait bientôt changer, car selon ces conclusions publiées dans la plus récente édition du magazine Brain, les réactions observées chez des souris chez qui on a tenté ce genre de traitement (par testostérone) ont été positives.

Les rongeurs sont parvenus à régénérer les cellules clés qui permettent la myélinisation, une première dans le domaine.