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Rendez-vous A&W: 1.6M$ pour stopper la Sclérose en plaques au Canada

La 15e édition annuelle du rendez-vous A&W pour stopper la sclérose en plaque a permis d’amasser la somme incroyable de 1,6 million de dollars au profit de SP Canada.

Lors du 17 août 2023, pour chaque Teen Burger vendu au Canada, A&W a fait un don de 2$ à l’organisme SP Canada afin d’améliorer la vie de ceux atteints par cette maladie.

«Le fait d’avoir dépassé notre objectif permettra de continuer à financer des activités et des ressources essentielles offertes par SP Canada en vue de favoriser un monde sans SP. Nous sommes heureux de poursuivre cette initiative forte pour faire de ce but une réalité», a déclaré Susan Senecal, présidente-directrice générale des Services alimentaires A&W du Canada Inc.

Au total, il s’agit de 140 000$ que les Québécois ont remis à la fondation, ce qui va définitivement aider à changer les choses.

Rappelons que SP Canada vise à faire progresser la recherche sur la Sclérose en plaques puisqu’il n’existe, à ce jour, pas de remède contre la maladie. L’argent amassé pour la fondation servira donc à faire avancer la recherche et à découvrir des traitements.

En effet, en moyenne 12 personnes au Canada reçoivent un diagnostic de Sclérose en plaques chaque jour. Le Canada est l’un des pays affichant des taux de Sclérose en plaques les plus élevés au monde.

Vous pouvez également faire un don pour la fondation juste ici.

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Le mercure touche surtout les poissons d’Atlantique Nord

Les poissons vivants dans ces eaux et surtout le type « prédateur » sont les plus concernés par le mercure.

Espadons, requins, lamproies, marlins sont tous des sortes de poissons prédateurs qui sont portés à accumuler davantage de mercure dans leurs tissus, car ils sont en tête de la chaîne alimentaire marine explique Top Santé.

Un taux élevé de mercure chez les poissons peut provoquer des troubles neurologiques chez l’humain, entre autres la sclérose en plaques. C’est pourquoi on conseille de manger le moins de poissons prédateurs possible, soit de limiter sa consommation à deux fois par semaine.

L’avertissement émis par l’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’environnement et du travail (Anses) s’applique surtout aux femmes enceintes ou allaitant (150g/semaine) et aux enfants de moins de 30 mois (60g/semaine).

Des scientifiques de Toulouse, du Massachusetts, de l’Ohio et des Pays-Bas ont découvert que le taux de mercure aurait grimpé de 150 % dans les eaux intermédiaires et aurait triplé dans les eaux de surface de l’Atlantique Nord.

Cette augmentation importante serait le fruit de l’activité humaine en combustion pétrolière et exploitation minière depuis quelques années, révèlent les résultats publiés dans Nature.

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Les enfants qui souffrent de sclérose en plaques ont souvent aussi un déficit cognitif

Des chercheurs ont évalué 187 enfants et jeunes qui vivaient avec la sclérose en plaques, ainsi que 44 qui venaient de vivre leur premier épisode neurologique isolé.

Parmi ceux-ci, 35 % des patients qui avaient la maladie auto-immunitaire avaient un problème au niveau cognitif, ainsi que 18 % de ceux qui avaient eu un épisode.

Onze tests ont été appliqués, évaluant les habiletés générales, la lecture et le langage, l’attention, la mémoire et la vitesse d’exécution, le fonctionnement exécutif, l’apprentissage et la mémoire visuelle, l’intégration visuelle-motrice, ainsi que la vitesse et la coordination au niveau moteur.

« Cette étude est importante parce que jusqu’à maintenant, c’est la plus imposante à avoir fait passer une batterie de tests neuropsychologiques à des enfants qui ont la sclérose en plaques. Les résultats montrent clairement que les problèmes cognitifs sont fréquents et qu’ils surviennent tôt dans l’évolution de la maladie », a expliqué l’auteure, la Dre Lauren Krupp, selon Science Daily.

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L’obésité chez les enfants pourrait augmenter le risque de sclérose en plaques

Neurology publie les résultats d’une étude menée aux États-Unis, s’attardant sur le cas de 75 enfants et jeunes qui avaient reçu un diagnostic de sclérose en plaques pédiatrique entre l’âge de 2 et 18 ans. Ces enfants ont ensuite été comparés avec un total de 913 097 enfants qui n’avaient pas la sclérose en plaques.

L’indice de masse corporelle a été évalué pour chaque enfant, et ceux-ci ont été classés en 4 catégories : poids normal, surpoids, obésité modérée et obésité extrême.

Les chercheurs ont constaté que plus de 50 % des enfants atteints de sclérose en plaques étaient en surpoids ou obèses, comparativement à 36 % des enfants et jeunes du groupe de contrôle.

Le risque de développer la sclérose en plaques était une fois et demi plus élevé pour les filles en surpoids, 1,8 fois plus élevé pour celles qui souffraient d’une obésité modérée, et 4 fois plus élevé pour celles qui se trouvaient dans la catégorie d’obésité extrême. Cette association n’a toutefois pas été constatée chez les garçons.

« Même si la sclérose en plaques pédiatrique est rare, notre étude confirme que les parents d’enfants obèses devraient être attentifs à des symptômes comme l’engourdissement ou la faiblesse dans les membres, et parler de ceux-ci à leur médecin », a noté l’auteure, Dre Annette Langer-Gould, selon Science Daily.

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D’autres liens entre la vitamine D durant la grossesse et la sclérose en plaques

Le journal de l’American Academy of Neurology publie les résultats d’une analyse provenant du nord de la Suède, où comme dans tous les pays nordiques, l’incidence de la sclérose en plaques est particulièrement élevée. 291 500 échantillons de sang provenant de 164 000 personnes ont été étudiés.

L’étude indique que les femmes qui avaient un niveau de vitamine D élevé dans leur sang avaient 61 % moins de chances de développer la sclérose en plaques. De l’ensemble des gens dont le sang a été analysé et qui ont fini par développer la maladie auto-immunitaire, 4 % avaient un taux élevé de vitamine D, comparativement à 8 % dans le groupe dit « de contrôle ».

Les chercheurs n’ont pas observé d’association entre le taux de vitamine D de la mère durant la grossesse et le risque pour l’enfant de développer la maladie. L’auteur, le Dr Jonatan Salzer, a noté que « puisque nous n’avons pas vu d’effet protecteur sur le bébé au début de la grossesse, nos résultats indiquent que cet effet bénéfique commence peut-être à la fin de la grossesse et même après », tel que rapporté par ScienceDaily.

Une autre étude récente a révélé que le mois de naissance avait un effet sur le risque de développer la maladie, suggérant un lien avec l’exposition de la mère au soleil durant sa grossesse, et donc son niveau de vitamine D.

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La carence en vitamine D durant la grossesse liée à la sclérose en plaques

>Selon une étude menée en Angleterre, le niveau de vitamine D pourrait affecter le développement du système nerveux central et du système immunitaire des bébés.

Ainsi, le risque de développer la sclérose en plaques est de 5 % plus élevé pour les bébés qui sont nés en avril et en mai, par rapport à la moyenne.

Les femmes qui ont accouché durant ces mois seraient celles qui ont été le moins exposées à la lumière du soleil durant leur grossesse. Les bébés nés en octobre et novembre auraient quant à eu un risque moins élevé de 5 à 10 %.

Les chercheurs recommandent aux femmes enceintes de prendre un supplément de vitamine D de façon quotidienne, affirmant que « 90 % des femmes ont une carence en vitamine D durant les mois d’hiver », rapporte le Daily Mail.

Plusieurs études précédentes suggéraient un lien entre la sclérose en plaques et la vitamine D, mais il s’agit ici de la recherche la plus concluante. « L’effet est modeste, mais il est prouvé », a signifié le Dr Sreeram Ramagopalan.

Les résultats ont été publiés dans le Journal of Neurology, Neurosurgery and Neuropsychiatry.

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Une nouvelle technique d’IRM permet de mieux comprendre la sclérose en plaques

(Relaxnews) – L’utilisation d’une nouvelle méthode d’imagerie par résonance magnétique (IRM) a permis à des chercheurs français de mieux appréhender l’évolution de la sclérose en plaques (SEP), maladie neurologique affectant le système nerveux central.

Publiés en ligne dans le journal Radiology, leurs travaux permettraient à long terme d’améliorer la prise en charge de la maladie.

Pour parvenir à ces résultats, les chercheurs du Centre de résonance magnétique biologique et médicale ont testé une technique d’IRM permettant de mesurer et d’évaluer la quantité et la distribution du sodium dans le cerveau. Les scientifiques se sont intéressés au sodium, car ce dernier joue un rôle majeur dans le processus de dégénérescence de la fibre nerveuse du neurone.

À travers cette étude, les chercheurs ont découvert une accumulation anormale de sodium dans certaines zones du cerveau des patients atteints de sclérose en plaques à un stade précoce, et dans l’ensemble du cerveau des patients souffrant de la maladie à un stade avancé.

« Les concentrations de sodium dans la substance grise des zones fonctionnelles motrices sont ainsi corrélées à l’ampleur de l’invalidité du patient. (…) L’IRM du sodium nous ouvre une voie pour mieux comprendre l’évolution de la maladie et détecter l’apparition de l’atteinte neuro-axonale responsable du handicap chez les patients », expliquent les deux principaux auteurs de l’étude.

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Une découverte qui faciliterait le diagnostic de la sclérose en plaques

Encore aujourd’hui, les neurologues ont du mal à établir un diagnostic de la sclérose en plaques. Il y a beaucoup de symptômes et aucune image clinique uniforme.
 
Cependant, des chercheurs viennent de découvrir une réponse immunitaire à la sclérose en plaques (SEP) qui pourrait grandement aider à établir un diagnostic.
 
Selon le New England Journal of Medicine, les gens atteints de SEP présentent un anticorps qui s’attaque au canal potassique KIR4.1.
 
Les canaux potassiques ont un rôle important dans la transmission des impulsions aux muscles et aux cellules nerveuses.
 
Et avec la SEP, c’est justement ce processus qui est affecté. Les personnes qui n’ont pas de KIR4.1 ne parviennent pas à coordonner leurs mouvements correctement.
 
En identifiant l’anticorps qui se lie à ce canal, le diagnostic de la maladie pourrait être plus efficace.
 
« Nous avons trouvé cet auto-anticorps chez la moitié des patients atteints de SEP dans notre étude. Cet auto-anticorps pourra améliorer le diagnostic de la SEP et nous aider à la différencier des autres maladies neurologiques », explique le professeur en neurologie Bernhard Hemmer.
 
Des études plus approfondies doivent maintenant être faites sur le sujet.
 
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La thérapie Zamboni ne donne pas de résultats tangibles

Après étude sur la thérapie Zamboni, le gouvernement de Terre-Neuve et du Labrador ne subventionnera pas les coûts reliés à la thérapie en raison de l’absence de résultats mesurables.
 
L’étude a porté sur 30 personnes qui ont reçu la thérapie Zamboni et 10 qui ont eu un placebo. Chacune a été soumise à des tests physiques et cognitifs au début de l’étude et après trois, six et douze mois.
 
Selon Radio-Canada, les chercheurs concluent que cette thérapie n’offre aucun bénéfice mesurable, même si les patients disent avoir un meilleur sentiment de bien-être.
 
C’est une déception pour les personnes qui souffrent de cette maladie.
 
Cette thérapie, mise au point par le médecin italien Paulo Zamboni, consiste à débloquer des veines dans le cou. Ce médecin affirme que la sclérose en plaques n’est pas une maladie neurodégénérative comme on le croit, mais serait due à un blocage des veines du cou.
 
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Grossesses multiples: moins de risques de sclérose en plaques

Les femmes qui ont des grossesses multiples auraient un risque plus faible de développer la sclérose en plaques. Il s’agit de l’une des conclusions de l’étude publiée le 7 mars dans le numéro en ligne de Neurology, le journal médical de l‘American Academy of Neurology. 

L’auteure de l’étude, Anne-Louise Ponsonby, de l’Institut de recherche de Melbourne, en Australie, a déclaré : « dans notre étude, le risque a diminué à chaque grossesse et l’avantage était permanent ».
 
Par ailleurs, « le taux de cas de sclérose en plaques a augmenté chez les femmes au cours des dernières décennies. Notre recherche suggère que cela peut être dû au fait que les mères ont des enfants plus tard et ont aussi moins de bébés qu’auparavant », a expliqué la scientifique.
 
L’étude a été soutenue notamment par la National Multiple Sclerosis Society of the United States of America et par The National Health and Medical Research Council of Australia.