Espoir pour la sclérose en plaques
Ottawa propose la méthode Zamboni
La revue Nature dévoile une nouvelle étude internationale réalisée en collaboration avec les universités de Cambridge et d’Oxford.
Des chercheurs ont décelé 29 nouveaux facteurs génétiques liés à la sclérose en plaques. Cette découverte est une avancée majeure dans le domaine et permettra de mieux comprendre cette maladie et ses mécanismes biologiques.
La plupart des gènes qui ont été ciblés influencent le système immunitaire et l’activation des protéines produites par ce dernier.
De plus, on a remarqué que le tiers de ces variantes étaient aussi liées à d’autres pathologies comme la maladie de Crohn et le diabète de type 1.
« Après plus de 30 ans de recherche, seul un effort commun et international pouvait donner espoir de découvrir les gènes majeurs impliqués dans la sclérose en plaques. C’est le résultat de cet effort commun dont nous publions les résultats aujourd’hui. La stratégie que nous avons utilisée peut être appliquée à d’autres maladies et devrait permettre d’accélérer la compréhension des maladies multifactorielles », expliquent les chercheurs.
La revue Nature dévoile une nouvelle étude internationale réalisée en collaboration avec les universités de Cambridge et d’Oxford.
Des chercheurs ont décelé 29 nouveaux facteurs génétiques liés à la sclérose en plaques. Cette découverte est une avancée majeure dans le domaine et permettra de mieux comprendre cette maladie et ses mécanismes biologiques.
La plupart des gènes qui ont été ciblés influencent le système immunitaire et l’activation des protéines produites par ce dernier.
De plus, on a remarqué que le tiers de ces variantes étaient aussi liées à d’autres pathologies comme la maladie de Crohn et le diabète de type 1.
« Après plus de 30 ans de recherche, seul un effort commun et international pouvait donner espoir de découvrir les gènes majeurs impliqués dans la sclérose en plaques. C’est le résultat de cet effort commun dont nous publions les résultats aujourd’hui. La stratégie que nous avons utilisée peut être appliquée à d’autres maladies et devrait permettre d’accélérer la compréhension des maladies multifactorielles », expliquent les chercheurs.
Une étude de l’Université de Florence parue dans Neurology atteste que l’allaitement ne peut être considéré comme une protection des rechutes de sclérose en plaques.
De plus, les femmes atteintes qui doivent continuer à prendre des médicaments ne pourront pas allaiter.
Les chercheurs ajoutent qu’on ne devrait pas encourager les femmes souffrant de sclérose en plaques à allaiter si elles présentent de hauts risques de rechute ou si elles sont gravement atteintes.
Sur les 298 femmes enceintes ayant participé à cette étude (302 grossesses ont été évaluées au total), 34,4 % d’entre elles ont allaité pendant au moins 2 mois. L’année suivant l’accouchement, 37 % de toutes les participantes ont vécu une rechute et 6,6 % en ont eu deux ou plus.
Bien qu’ici, l’allaitement n’ait pas empiré les choses pour ces femmes, il ne les a pas protégées d’une nouvelle crise de sclérose en plaques.
Comme le traitement n’était pas encore permis au Canada, quelques personnes s’étaient même rendues à l’étranger pour pouvoir en profiter.