Catégories
Uncategorized

Une molécule responsable de la sclérose en plaques

Le neurologue Alexandre Prat et son équipe ont identifié la molécule ALCAM qui pourrait expliquer la progression de cette maladie du système nerveux central.

Selon les scientifiques, cette molécule pourrait être en cause dans la migration de cellules immunitaires au cerveau, entraînant ainsi la formation de plaques de sclérose causant notamment une paraplégie et un tremblement qui évolue lentement par poussées successives.

Mieux comprendre l’évolution de l’inflammation cérébrale associée à la sclérose en plaques permettrait de développer un traitement efficace contre la maladie, qui touche particulièrement les adultes de 15 à 40 ans, dont 55 000 à 75 000 Canadiens.

Tous les détails sont publiés dans le journal médical Nature Immunology.

Catégories
Uncategorized

Grande percée sur la sclérose en plaques

Dirigée par un consortium international de chercheurs cliniciens et d’experts en génomique, l’étude constitue la première étude exhaustive du génome humain destinée à identifier la source génétique de la SP. Ces résultats sont rapportés dans la version électronique du New England Journal of Medicine.

Cette étude à grande échelle a permis de découvrir de nouvelles variations génétiques associées à la sclérose en plaques (SP).

La SP est une maladie du système nerveux central dont les symptômes peuvent aller d’une faiblesse musculaire légère à la paralysie partielle ou complète.

L’étude, qui a analysé l’information génomique provenant de 12 360 personnes, a confirmé que les gènes du système immunitaire sont altérés chez les personnes qui souffrent de SP et a permis d’identifier des mécanismes potentiels de la maladie.