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La fumée secondaire nuit à la santé respiratoire des enfants

Les chercheurs du Monell Center ont découvert que l’exposition des enfants à la fumée secondaire diminuerait leur sensibilité à des irritants qui, normalement, provoquent la toux.

Ces enfants sont plus susceptibles de souffrir d’une pneumonie, d’une bronchite ou d’autres maladies des voies respiratoires.

« La toux protège nos poumons de menaces environnementales potentiellement dangereuses pour nos poumons. Vivre avec un parent fumeur affaiblit ce réflexe, l’un des plus vitaux du corps humain », déplore une biologiste du Monell Center, Julie Mennella.

Cela signifie que plus d’irritants sont nécessaires pour déclencher la toux.

De plus, l’étude a permis d’affirmer que les jeunes insensibles aux irritants seraient davantage à risque de développer une dépendance au tabac à l’adolescence.

Rappelons aussi que la fumée secondaire serait responsable de problèmes urinaires chez les enfants. En effet, il a récemment été prouvé que la fumée secondaire de la cigarette était associée à des troubles d’irritation de la vessie de gravité modérée à sévère chez les enfants.

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La fumée secondaire responsable de problèmes urinaires chez l’enfant

Selon l’Environmental Protection Agency, les parents seraient responsables de plus de 90 % de l’exposition de leurs enfants à la fumée secondaire de cigarettes.

Les physiciens de l’University of Medicine and Dentistry of New Jersey-Robert Johnson Medical School ont prouvé que la fumée secondaire de la cigarette était associée à des troubles d’irritation de la vessie de gravité modérée à sévère chez les enfants.

« La fumée de cigarette est une toxine dans l’environnement et est dangereuse pour la santé des enfants, particulièrement chez les tout-petits et les préadolescents. Les parents devraient concerter leurs efforts pour réduire l’exposition de leurs enfants à la fumée secondaire lorsqu’ils fument dans des espaces confinés comme la maison et la voiture. Cesser de fumer est l’option qui est la meilleure pour la santé des jeunes », explique le Dr Joseph G. Barone, pédiatre urologue.

Rappelons que les enfants exposés à la fumée secondaire parentale sont plus susceptibles d’avoir des maladies respiratoires chroniques toute leur vie.

La fumée secondaire durant la petite enfance est associée à un risque accru de maladies respiratoires chroniques et de déficits de la fonction pulmonaire en fin de vie, et ce, indépendamment du fait que l’enfant devenu grand ait fumé ou non lui-même.

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L’éducation nutritionnelle, c’est payant

Selon une étude parue dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, le partage de bonnes habitudes de vie auprès de jeunes du secondaire aurait des impacts majeurs sur les finances américaines.

En effet, après que l’on ait comparé 10 écoles, dont 5 avaient suivi le programme préventif Planet Health, on projette que l’éducation nutritionnelle pourrait sauver le système de santé.

C’est qu’il en coûterait tout simplement moins cher d’éduquer les élèves du secondaire et de prévenir l’obésité et les troubles alimentaires plutôt que de les soigner plus tard.

Dans le cadre de l’expérimentation, pas moins de 14 000 dollars auraient été sauvés par la participation au programme de 254 filles.

Si ce projet s’étendait sur 100 écoles, l’économie auprès du système de santé serait de l’ordre de près de 700 000 dollars.

Le programme Planet Health a été développé par la Harvard School of Public Health. En résumé, il consiste à apprendre aux jeunes à faire de bons choix alimentaires, à accroître leur activité physique et à réduire leur temps passé devant la télévision.

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Fumée secondaire et vaisseaux sanguins

Le risque de maladies cardiovasculaires, comme la crise cardiaque, augmente lorsqu’il y a fumée secondaire, selon des chercheurs de l’Université du Kentucky.

Ces derniers ont travaillé avec 40 adultes en bonne santé et non-fumeurs, dont l’âge moyen était de 35 ans, qui étaient exposés à trois types de fumée secondaire : la cigarette, celle d’un feu ou encore de cuisson.

Ils en concluent que les fines particules contenues dans les trois types de fumée diminuent les capacités respiratoires et cardiovasculaires après seulement 10 minutes.

« J’ai été surprise des résultats significatifs même lorsque l’exposition à la fumée était minime », a noté l’un des auteurs, la Dre Joyce McClendon Evans.

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Gare à la fumée secondaire!

Selon une recherche québécoise, publiée dans Addictive Behaviors, les parents qui fument en présence de leurs enfants pourraient les rendre aussi dépendants qu’eux à la cigarette.

Même s’ils n’ont jamais grillé une cigarette, ces enfants sont beaucoup plus à risque de fumer, une fois adulte, que les enfants qui n’ont jamais été exposés à la fumée secondaire.

De plus, ils présentent des symptômes souvent observés lors du sevrage à la nicotine, comme la dépression, l’insomnie, les problèmes de concentration et l’irritabilité.

« Notre étude démontre qu’il importe de mettre en oeuvre des interventions de santé publique pour inciter les gens à ne pas fumer en présence d’enfants. Elle fournit aussi un argument de poids aux politiques visant à interdire l’usage de la cigarette dans les véhicules lorsque des enfants sont présents », a souligné l’auteure derrière ces résultats, la Dre Jennifer O’Loughlin.

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Les conséquences de la fumée secondaire

Selon des chercheurs chinois, la fumée secondaire n’est pas sans conséquence auprès des petits qui y sont exposés, alors que le taux d’hospitalisation est d’un sur trois parmi eux.

Pour les scientifiques de l’Université de médecine de Hong Kong, la cigarette est particulièrement nocive durant les premiers mois de la vie et chez les poupons les plus fragiles, prématurés ou de petit poids à la naissance.

8 327 enfants ont participé à cette étude. 41 % d’entre eux ont été exposés à la fumée secondaire au cours de leur enfance.

Dans 50,7 % des cas, les bébés ont été hospitalisés en raison d’une infection pulmonaire, tandis que 33,9 % ont souffert d’un problème infectieux d’une autre origine.