Le Belviq et le Qsymia ont officiellement été approuvés en juillet dernier. Le Belviq agit en coupant la faim, tandis que le Qsymia diminue les effets sur le corps de la perte de poids en empêchant l’organisme de réagir comme s’il faisait face à la « famine ».
« Ces médicaments fonctionnent grâce à la biologie pour réduire l’appétit, diminuer la faim et améliorer la satiété », explique la spécialiste de l’obésité, Donna Ryan.
Toutefois, les patients qui consommeront ces médicaments devront quand même suivre une diète, manger moins et faire davantage d’activité physique, puisque le Belviq et le Qsymia ne feront que les aider à moins manger.
Les effets secondaires liés à la consommation de ces produits sont la constipation ainsi que le picotement des orteils et des doigts. De plus, les patients pourront avoir de la difficulté à saliver.
Le Qysmia peut aussi augmenter les battements cardiaques et peut entraîner des malformations congénitales. Le Belviq peut également intervenir avec des traitements contre les migraines ou la dépression.
Rappelons qu’il existe une corrélation probante entre la détection dans l’urine d’une forte concentration de BPA et la prévalence à l’obésité.