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Arrêt de travail : l’insomnie serait la principale cause

Selon des chercheurs finlandais, tout ce qui touche au manque de sommeil peut mener à un arrêt de travail, aussi appelé arrêt maladie.

Après 7 ans d’analyse du sommeil de près de 4000 participants hommes et femmes, il s’avère que l’insomnie est la cause première d’absentéisme prolongé sur les lieux du travail.

Top Santé rapporte les explications de Tea Lallukka. « La durée de sommeil optimale avec le moins de risque de maladies est de 7,6 heures pour les femmes et 7,8 heures pour les hommes. Bien que la persistance d’autres problèmes de santé affecte le bien-être des personnes, les problèmes de santé pourraient diminuer de 28 % si les troubles du sommeil étaient traités et soignés. »

Il faut savoir que les troubles du sommeil affectent 1 individu sur 5 dans les pays développés. Outre l’insomnie, un sommeil non réparateur, un manque d’heures de sommeil qui s’accumule et la prise de sédatifs peuvent aussi mener à l’épuisement.

D’autre part, une carence en sommeil peut causer des accidents de la route, une dépression et mener à de nombreuses maladies, dont le cancer.

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La mélatonine pour aider au sommeil

Tel qu’expliqué sur TopSanté, la mélatonine est une hormone que sécrète notre cerveau quand la nuit tombe. Elle nous fait signe qu’il est temps de prendre du sommeil et nous fait ressentir un effet d’endormissement.

Malheureusement, ce n’est pas le type de substance que l’on retrouve dans la nature, en fait, à peine. On en retrouve de toutes petites quantités dans le riz, les pommes de terre et les tomates. En cas de troubles de sommeil, il est donc impossible de simplement ajuster notre régime alimentaire.

Reconnue depuis longtemps pour ses bienfaits sur le sommeil, la mélatonine est maintenant offerte en complément alimentaire et aussi sous forme de médicament.

L’effet calmant que nous procure cette hormone peut parfois être déséquilibré; voilà pourquoi certaines personnes peuvent souffrir d’insomnie. Le décalage horaire est une source bien connue. Il s’agit de l’effet qu’on ressent souvent après un voyage vers un autre fuseau horaire.

L’exposition à la lumière artificielle et l’âge sont les deux autres facteurs communs. En effet, plus on vieillit, plus l’hormone diminue en efficacité.

La mélatonine à libération progressive, comme le Circadin®, ne se contente pas de faciliter l’endormissement, elle permet aussi à celui qui la prend de jouir de nuits plus réparatrices.

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Des parents excédés donnent des sédatifs à leur enfant

Chaque jour, des parents à court de moyens optent pour les sédatifs pour calmer leurs enfants, par exemple en leur donnant une dose de Benadryl, nous apprend Smart Brief.

Certains médecins l’ont d’ailleurs recommandé sur une base occasionnelle pour calmer les enfants ou aider leur sommeil. Les cas répertoriés de surdose de médicament chez les enfants sont pourtant bien connus.

Toutefois, ces cas mettent en cause des médicaments beaucoup plus forts que le Benadryl et ils sont très souvent reliés à un historique de médicaments sous ordonnance dans la famille.

Malgré tout, une analyse des données des centres antipoison des États-Unis, réalisée de 2000 à 2008, a dénombré 161 empoisonnements par année liés à un usage détourné de médicaments impliquant des enfants âgés de moins de 7 ans.

Sur ces 8 années, cela donne un nombre de 1 634 incidents du genre, dont environ la moitié impliquait des sédatifs.

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Les sédatifs augmenteraient les suicides chez les aînés

Selon des chercheurs suédois, les sédatifs et somnifères prescrits pour soulager la dépression, l’anxiété et les troubles du sommeil augmenteraient les risques de suicide chez les personnes âgées.

L’étude a été faite dans la ville suédoise de Göteborg et deux comtés voisins. On a examiné les dossiers de 85 hommes et femmes âgés de plus de 65 ans qui s’étaient suicidés et ceux de personnes qui ne s’étaient pas suicidées.

En tenant compte des troubles psychiatriques, les patients ayant pris ce genre de médicament (antidépresseurs, antipsychotiques, sédatifs, hypnotiques) étaient quatre fois plus susceptibles de commettre un suicide.