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3 essentiels pour contrer l’obésité juvénile

Medical News Today rapporte des informations fournies par le Dr Kristopher Kaliebe, professeur adjoint de la clinique de psychiatrie à l’école de La Nouvelle-Orléans (LSU Health Sciences Center).

Il s’agit d’objectifs orientés sur l’environnement familial pour éliminer les sources potentielles d’obésité et de troubles mentaux connexes. Selon le spécialiste, il faut enrayer nos habitudes de surconsommation et de tentation.

Les 3 sphères visées sont la nourriture, les dispositifs technologiques et la sédentarité. Rien de nouveau, si ce n’est la perspective. Dr Kaliebe affirme que ces facteurs sont non seulement responsables de l’obésité, mais des problèmes reliés, tels que le trouble de déficit d’attention avec ou sans hyperactivité, les troubles d’apprentissage et plus.

« Plusieurs comportements associés à l’obésité, tels qu’une vie sédentaire, une surexposition aux médias et des régimes inappropriés, sont également liés à un diagnostic en psychiatrie ou une détresse psychologique », indique Kaliebe.

Selon lui, c’est simple. Les êtres humains ne sont pas faits pour manger des aliments transformés, vivre de la technologie et demeurer sédentaires. Il faut donc éliminer les écrans et « honorer le silence », consommer de la nourriture fraîche et se lever de son siège.

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Être inactif est plus dangereux que de fumer?

Les fumeurs et amateurs des produits du tabac sont séquestrés dans une catégorie peu enviable depuis quelques années, reclus et méprisés par une population de plus en plus anti-tabac.

Voilà un phénomène qui pourrait aussi frapper les plus paresseux et sédentaires d’entre nous, alors qu’une étude rapportée par Santé Log fait état de risques cardiovasculaires plus importants chez ces individus que chez les fumeurs.

Mondialement, on rapporte que c’est facilement le tiers de la population qui ne pratique aucune activité physique, donc qualifié de sédentaire. Du lot, on associe 5,3 millions de décès reliés à cette procrastination physique, contre 5,1 millions liés au tabagisme.

Le fait de ne pas bouger ou de ne pas pratiquer d’activités physiques est donc devenu un facteur de risque de troubles cardiovasculaires mortels plus important que la cigarette, ce qui inquiète plusieurs observateurs.

C’est d’ailleurs pourquoi l’International Chair on Cardiometabolic Risk (ICCR) publie un rapport qui dévoile ces chiffres, afin de sensibiliser la population à cet état de fait et tenter d’en convaincre une partie de retrouver ses chaussures de sport.

De plus, ces personnes associent souvent ce comportement de farniente à un régime alimentaire trop gras, trop salé et pauvre en nutriments et minéraux. Un cocktail visiblement mortel.

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Pas plus de deux heures de télé par jour

On recommande qu’un enfant ne passe pas plus de deux par jour devant la télévision. Or, près du tiers d’entre eux dépasseraient cette limite. Il semble que les parents y jouent un grand rôle.

C’est ce que démontre une étude récemment parue dans Pediatrics, dans laquelle on a suivi plus de 400 paires de parent et enfant. Le groupe d’âge ciblé pour les enfants de cette recherche était de 10 à 11 ans.

Il en est ressorti que les parents qui regardaient beaucoup la télévision avaient aussi un enfant qui faisait la même chose. Au contraire, ceux qui limitaient ce temps et imposaient, en quelque sorte, le jeu extérieur avaient un enfant qui était moins porté à demeurer sédentaire.

En voulant définir les différents styles d’autorité parentale quant à l’écoute de la télévision, les chercheurs ont par ailleurs relevé qu’un peu plus de la moitié des participants (53,4 %) passaient moins de 2 heures devant l’écran.

Ajoutons toutefois qu’il n’a pas été possible, dans l’analyse des résultats, de différencier le temps d’écoute en semaine et durant le week-end.

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À propos de la santé des enfants défavorisés

Une étude controversée menée en Espagne fait un lien entre la sédentarité des enfants et la situation socioéconomique de leur famille. Publiée dans l’European Journal of Public Health, elle confirme que les jeunes défavorisés étaient moins enclins à être actifs.

Elle soutient aussi que la sorte d’emploi que le parent occupe a une plus forte influence que l’éducation sur le temps passé par l’enfant à faire des activités sédentaires. Cela confirme, de plus, l’hypothèse selon laquelle les enfants dont la mère est à la maison sont plus sédentaires.
 
Des modèles comportementaux s’installeraient donc dès l’enfance et l’habitude de regarder la télévision ou jouer à des jeux vidéo demeurerait. Cela a des impacts sur le développement et sur la santé en général d’une personne.

L’étude en question a consisté en l’analyse des activités sédentaires que faisaient des jeunes, puis celles-ci ont été mises en corrélation avec le statut économique de leurs parents.

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Le travail de bureau augmente les risques de cancer du côlon

Des chercheurs australiens ont découvert que le travail assis à un bureau double les risques de cancer du côlon, même chez les personnes qui s’adonnent à de l’activité physique durant leurs temps libres.
 
Les risques demeurent les mêmes comparativement aux personnes actives qui ont des emplois moins sédentaires, rapporte l’American Journal of Epidemiology.
 
L’étude de l’University of Western Australia a démontré que les personnes qui avaient passé 10 ans dans un emploi sédentaire étaient deux fois plus susceptibles d’avoir un cancer du côlon et avaient 44 % plus de risques de développer un cancer du rectum.
 
Les longues périodes d’inactivité physique sont grandement nocives et aucune quantité d’activités ne peut réparer les dommages causés.
 
Le cancer du côlon est un de ceux qui présentent un faible taux de survie, car malheureusement, il n’y a pas de symptômes avant-coureurs. Lorsque le diagnostic tombe, le cancer est souvent à un stade avancé, ce qui réduit les chances de guérison.
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L’exercice, même à petites doses

Une étude menée auprès de 4 383 adultes démontre que les personnes qui étaient le moins en forme étaient deux fois plus à risque de mourir au cours des 9 prochaines années.

« Nos résultats démontrent que la sédentarité, plutôt que les facteurs de risque de maladies cardiovasculaires ou l’âge, peut expliquer les taux de mortalité chez les personnes moins actives », a souligné l’auteure de cette recherche, la Dre Sandra Mandic de l’Université d’Otago en Nouvelle-Zélande.

La chercheuse prétend que les 2/3 des candidats ayant participé à son étude ne suivaient pas les recommandations en matière d’activité physique, soit 30 minutes 5 jours ou plus par semaine.

Les participants ont été répartis en 5 groupes selon leur degré de forme physique. Le quart de ceux qui étaient dans le groupe le plus sédentaire est décédé au cours des neuf années qu’a duré cette recherche, selon la Dre Mandic.

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Un meilleur sommeil pour les sportifs

Des chercheurs associés à l’Université de Bâle, en Suisse, prétendent que les adolescents qui pratiquent fréquemment du sport dorment mieux et sont plus concentrés en classe que ceux qui sont sédentaires.

434 adolescents ont participé à cette étude et 258 d’entre eux s’entraînaient à raison de 17,5 heures par semaine.

« Notre étude démontre qu’être un athlète à l’adolescence est synonyme d’une meilleure qualité du sommeil, de moins de somnolence et d’une meilleure concentration au cours de la journée », ont mentionné les auteurs dans la revue médicale Journal of Adolescent Health.

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Les bienfaits de l’exercice chez les jeunes

Des chercheurs de l’Université de l’Alabama à Birmingham ont démontré que les adolescents qui pratiquent régulièrement du sport brûlent davantage de calories et métabolisent mieux la glycémie, ce qui les protège du diabète de type 2.

32 jeunes ont participé à cette étude où l’on a mesuré leurs mouvements durant la journée grâce à un accéléromètre.

Les chercheurs ont découvert que ceux qui étaient modérément actifs au cours de la première semaine de leurs travaux avaient un métabolisme plus rapide que les adolescents sédentaires. Ils avaient également une meilleure facilité à éliminer le sucre dans leur organisme.

Pour l’auteure de cette recherche, la Dre Amy S. Thomas, l’intensité du sport pratiqué ne semble pas jouer dans la balance puisque même la marche a démontré les mêmes résultats.

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Les muscles et les os, premiers touchés par la sédentarité

Le quotidien La Presse nous apprend que la musculature et l’ossature sont les premières structures touchées par les effets négatifs de la sédentarité.

En l’absence d’exercice physique, les muscles subissent une atrophie comme lorsqu’on porte un plâtre. Ainsi, 225 g de masse musculaire par année s’envolent dès qu’une personne ayant atteint la trentaine est sédentaire. Cette perte est alors souvent compensée par une augmentation des tissus gras.

Ce phénomène s’explique par la dégradation des protéines des muscles peu utilisés. Ceci provoque un effet d’entraînement, car les tendons faiblissent ensuite sous l’effort et le coeur doit alors compenser durant un exercice physique.

La sédentarité a aussi des effets sur les os, particulièrement les tibias, les péronés, les fémurs et les vertèbres lombaires. Ces derniers ont besoin de la gravité terrestre et de la traction des muscles qui y sont attachés.