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Rester debout pourrait vous faire gagner deux années supplémentaires

Des chercheurs de l’Université de Chester dévoilent leurs conclusions se basant sur une prémisse fort simple, mais qui ne nous apparait pas toujours de façon évidente au quotidien.

Le Dr John Buckley et son équipe ont en effet déterminé que les impacts positifs sur la santé du simple fait de rester debout, au lieu de toujours chercher à s’assoir, sont nombreux et vérifiables, rapporte Top Santé

On le sait, la sédentarité (terme qui définit l’inaction, le manque d’activité physique) est blâmée et considérée comme l’un des principaux facteurs de problèmes de santé, comme l’obésité et les maladies cardiovasculaires.

Or, il n’est pas toujours facile de bouger dans un contexte de travail de bureau, par exemple, et de trouver le temps qu’il faut pour l’activité physique au fil de semaines qui s’étirent et n’en finissent plus.

Selon Buckley, la solution est toute simple et réside en partie dans le fait de se lever et de rester debout dans le plus de situations possible, ce qui permettrait à un individu de brûler 750 calories de plus par jour, et même de gagner deux ans en espérance de vie!

« Faire du sport présente de nombreux avantages pour la santé, mais cela ne pourra pas réparer les dommages causés par la position assise prolongée. Notre corps a besoin d’être stimulé et de produire une activité musculaire quotidienne », explique Buckley, qui croit qu’un minimum de trois heures passées debout par jour devrait être observé pour en retirer tous les bénéfices.

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Rester assis : un ennemi potentiellement mortel

On le sait, demeurer assis n’est pas la meilleure solution pour se donner un corps en santé. Cependant, plusieurs personnes travaillent dans cette position, et ce, durant de longues heures.

Une nouvelle étude vient démontrer les conséquences d’être assis trop longtemps quotidiennement et saura sans doute convaincre certaines personnes de commencer à bouger plus pour contrer le phénomène.

Cette étude, conduite par l’Université de Leicester, regroupe 18 autres études précédentes sur le sujet. Au total, c’est donc près de 800 000 personnes qui se retrouvent comme sujets dans cette recherche exhaustive, qualifiée de « méta-analyse », selon ce que rapporte Santelog.com.

Les conclusions ont de quoi donner un choc. On parle d’un facteur de risque doublé, donc deux fois plus de chances de développer des problèmes cardiaques ou du diabète pour ceux qui restent assis la majeure partie du temps.

On va même jusqu’à qualifier ce type de sédentarité de « cause indirecte de mortalité ».

La conclusion logique pour les gens inquiets et à risque est de simplement se lever plus souvent et d’inclure à son mode de vie quotidien des exercices physiques.

Aller simplement marcher, chaque jour, peut s’avérer bénéfique.

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La sédentarité est le plus grand problème de santé infantile aux États-Unis

En fait, les chercheurs ont sondé les Américains afin de connaître leurs dix plus grandes préoccupations concernant la santé des enfants de leur communauté.

Plus de 39 % des adultes ont avoué s’inquiéter du manque d’exercice de leurs jeunes. 38 % d’entre eux s’inquiétaient de l’obésité infantile, tandis que 34 % s’inquiétaient de leur consommation de tabac.

« L’obésité infantile demeure une préoccupation importante, et les adultes savent qu’elle est certainement liée à un manque d’exercice », explique le directeur du C.S. Mott Children’s Hospital National Poll on Children’s Health, Matthew M. Davis.

Les autres répondants ont affirmé qu’ils s’inquiétaient de la consommation de drogue, de l’intimidation, du stress, de l’abus d’alcool, de la grossesse chez les adolescentes, de la sécurité sur Internet ainsi que des sévices et de la négligence d’enfants.

M. Davis ajoute, en observant la relation entre ces principales préoccupations, qu’il est important de créer des programmes publics pour prévenir la sédentarité des jeunes.

Rappelons que les parents peuvent avoir un impact sur la vie de leurs jeunes pour faire en sorte qu’ils pratiquent plus d’activités physiques. Les enfants qui ont un suivi parental plus élevé bougent plus et passent donc moins de temps devant l’écran de télévision, d’ordinateur ou les jeux vidéo.

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Les parents peuvent combattre la sédentarité de leurs enfants

« Le soutien familial est très important pour réduire le comportement sédentaire des enfants », a déclaré Zhen Cong, professeur adjoint en développement humain et études familiales à la Texas Tech University.

L’auteur de l’étude, parue dans l’American Journal of Health Promotion, a démontré que les enfants qui avaient un soutien et un suivi parental plus élevé étaient ceux qui bougeaient le plus, donc ceux qui passaient moins de temps devant l’écran de télévision, d’ordinateur ou les jeux vidéos, soit les principaux comportements sédentaires des enfants de 5 à 9 ans.

Il a également été démontré que bien que les enfants de race blanche soient susceptibles de développer un surpoids ou un embonpoint avec un comportement sédentaire, les enfants hispaniques sont plus vulnérables.

De plus, même si les filles ont l’habitude d’être moins rivées devant un écran, il a été prouvé qu’avec un soutien parental et des encouragements, ce sont les petits garçons qui sont portés à modifier le plus leur comportement et ainsi passer de la sédentarité à l’activité.

Pour arriver à la conclusion que les encouragements à l’exercice, la participation et le soutien parental ainsi que l’éducation nutritionnelle peuvent avoir un impact positif sur le comportement de l’enfant quant à l’activité physique, les chercheurs ont interrogé et suivi plus de 418 couples mère-enfant pendant deux ans, dans le cadre du programme intitulé Transformación Para Salud (Changements pour la santé).

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Moins de sédentarité, plus d’action!

Qu’elle soit modérée ou intense, l’action chez les jeunes âgés de 4 à 18 ans permet d’améliorer de beaucoup leur tour de taille, leur pression artérielle systolique, leur taux de triglycérides, de cholestérol HDL et d’insuline.

Une différence remarquable de tous ces bienfaits a d’ailleurs été remarquée entre les jeunes qui bougent et ceux qui sont sédentaires.

Selon une étude de l’Hôpital Adenbrookes à Cambridge, en Angleterre, parue dans la revue American Medical Association, peu importe combien de temps les enfants font de l’exercice, ces derniers devraient être encouragés à être actifs, car cela améliore leur profil de risque cardiométabolique.

Ces résultats ont été confirmés par le regroupement de 14 études où des données ont été inscrites après qu’un accéléromètre ait mesuré objectivement le temps d’activité physique et le temps de sédentarité chez les enfants. Les études ont inclus un total de 20 871 participants en provenance de l’Australie, du Brésil, de l’Europe et des États-Unis.

Environ les trois quarts des enfants et les adolescents avaient de poids normal, 18 % étaient en surpoids, et 7 % étaient obèses.

Le temps moyen passé à pratiquer de l’activité physique de manière modérée à intense chaque jour était de 30 minutes, tandis que la moyenne du temps de sédentarité était estimée à près de six heures chaque jour.

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La télévision est la grande coupable

Chez les enfants, la sédentarité est une grande cause de prévalence de problèmes de santé comme les maladies cardiovasculaires. Toutefois, selon une étude de la Queen’s University, le manque d’activité physique n’en augmenterait pas nécessairement les risques, lit-on sur Medical News Today.

En fait, en s’attardant aux types d’activités sédentaires adoptées par les enfants, les chercheurs ont remarqué que certaines sont plus problématiques que d’autres.

La télévision ressort donc comme la grande coupable. Passer du temps à regarder la télévision prédit un plus fort risque de maladie cardiovasculaire, alors que l’ordinateur, par exemple, ne le fait pas.

On pourrait expliquer ce lien par le fait qu’en passant du temps devant la télévision, la dépense énergétique chute considérablement. De plus, les collations entre les repas vont plus souvent de pair avec cette activité.

Les chercheurs soulignent donc qu’il ne faudrait pas seulement encourager nos enfants à pratiquer des activités physiques. On devrait aussi être attentif à ce qu’ils font le reste du temps. Encore une fois, on recommande de limiter le plus possible leur temps passé devant la télévision.

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Une autre étude confirme les effets néfastes de la télévision

Dès l’âge de 25 ans, chaque heure passée devant la télévision réduit l’espérance de vie de 20 minutes. C’est ce que dévoile une étude australienne publiée dans le British Journal of Sports Medicine.
 
Dans les faits, un adulte qui regarde la télévision environ six heures par semaine réduirait son espérance de vie de cinq ans, comparativement aux personnes qui ne regardent pas la télévision.
 
Regarder la télévision est une activité sédentaire qui est considérée comme un facteur de risque aux accidents cardiovasculaires, au même titre que le tabagisme et le manque d’activité physique. Cela accentue les risques de décès liés aux troubles cardiovasculaires.
 
Ces résultats ont été obtenus après avoir analysé les données sur le diabète, l’obésité et les habitudes de vie, récoltées lors d’une vaste enquête nationale.
 
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Un composant du vin rouge pourrait compenser une vie sédentaire

Selon le Federation of American Societies for Experimental Biology Journal, l’antioxydant vedette du vin rouge, le resvératrol, pourrait grandement aider les personnes sédentaires à avoir une meilleure santé et ainsi réduire les risques de résistance à l’insuline et l’ostéoporose.
 
Pour en arriver à ces résultats, les chercheurs ont étudié pendant un long moment les effets des voyages dans l’espace des astronautes, là où les exercices physiques deviennent impossibles en raison de l’absence de gravité.
 
Un groupe a reçu une dose quotidienne de resvératrol et le groupe témoin n’a rien reçu. Chez le groupe témoin, on a noté une diminution de la masse musculaire, de la force et de la densité osseuse, de même qu’une augmentation de la résistance à l’insuline, alors que le groupe ayant eu du resvératrol n’a pas eu ces effets.
 
« Un environnement sans gravité rend l’exercice presque impossible dans l’espace. Sur terre, les entraves à l’activité physique sont tout aussi nombreuses : maladie, blessure ou travail de bureau. Le resvératrol pourrait représenter une bonne alternative au sport, en attendant que la personne puisse retrouver une activité physique », explique le rédacteur en chef du journal, Gerald Weissmann.
 
En Allemagne, une autre recherche a découvert que chez les hommes, le resvératrol pouvait inhiber les cellules graisseuses et même freiner le stockage des graisses.
 
Si vous n’aimez pas l’alcool, sachez qu’il est possible malgré tout de consommer du resvératrol en mangeant des raisins rouges avec leur peau.

Pour le moment, on ignore encore quelle quantité exacte de resvératrol est nécessaire pour bénéficier de ces bienfaits.

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Risque accru d’embolie pulmonaire chez les femmes inactives

Les femmes sédentaires doublent leur risque de faire une embolie pulmonaire, selon ce que rapporte le British Medical Journal.
 
Depuis longtemps, le manque d’activité physique est lié à des problèmes de santé supplémentaire, mais c’est la première fois que l’on démontre un risque multiplié pour une embolie pulmonaire causée par un caillot de sang dans les poumons.
 
Ceci peut entraîner la mort. Les symptômes vont de la difficulté à respirer à un mal à la poitrine et parfois une toux.
 
Une équipe de Boston a rassemblé les données de vie sur 69 950 infirmières pendant 18 ans. On constate effectivement que les femmes qui, en dehors de leur travail, passent plus de 41 heures assises hebdomadairement ont le double de risque de développer une embolie pulmonaire que les femmes qui passent moins de 10 h en sédentarité.

Maintenant, les chercheurs souhaitent approfondir leur étude pour voir si les résultats seront les mêmes chez les hommes.

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À propos de la santé des enfants défavorisés

Une étude controversée menée en Espagne fait un lien entre la sédentarité des enfants et la situation socioéconomique de leur famille. Publiée dans l’European Journal of Public Health, elle confirme que les jeunes défavorisés étaient moins enclins à être actifs.

Elle soutient aussi que la sorte d’emploi que le parent occupe a une plus forte influence que l’éducation sur le temps passé par l’enfant à faire des activités sédentaires. Cela confirme, de plus, l’hypothèse selon laquelle les enfants dont la mère est à la maison sont plus sédentaires.
 
Des modèles comportementaux s’installeraient donc dès l’enfance et l’habitude de regarder la télévision ou jouer à des jeux vidéo demeurerait. Cela a des impacts sur le développement et sur la santé en général d’une personne.

L’étude en question a consisté en l’analyse des activités sédentaires que faisaient des jeunes, puis celles-ci ont été mises en corrélation avec le statut économique de leurs parents.