C’est dans le cadre d’un Q&A réalisé sur son Instagram qu’Alicia Moffet s’est ouverte sur sa décision de retourner sous le bistouri.
Après avoir subi une réduction mammaire suite à la naissance de la petite Billie, la chanteuse revenait sur son mécontentement quant aux cicatrices résultant de cette opération. Elle révèle maintenant qu’elle prévoit bientôt corriger cette situation.
«(…) J’ai eu une réduction mammaire en 2020 parce que j’avais les seins les plus gros de l’est* de planète terre (rires) suite à ma grossesse évidemment, en fait, j’ai toujours eu une bonne poitrine. Ça ma toujours dérangé quand j’étais plus jeune, j’ai fait des consultations pour réduction mammaire vraiment longtemps avant d’avoir ma réduction (…) ça a bien été dans le sens que j’ai aimé le résultat, mais j’ai vraiment eu de la difficulté avec mes cicatrices (…) ma cicatrice a comme ouvert après un mois, ça a fait des vraiment, vraiment pas belles cicatrices, ça m’a dérangé pendant deux ans. Mais, là, mes cicatrices se sont atténuées c’est comme moins pire, mais…», lançait-elle dans un premier temps.
«L’update c’est que (…) ça fait quatre ans que j’ai eu ma réduction mammaire et ma poitrine en ce moment est la même grosseur que ce qu’elle était avant que j’aie ma fille, mieux shapée, parce que j’ai eu un redrapage en même temps! Mais, c’est quand même pas le résultat que j’aurais voulu (…)» expliquait-elle ensuite.
Pour ces raisons, depuis un an et demi, Alicia rend visite au premier spécialiste qu’elle avait consulté pour ce projet, à un jeune âge. C’est après plusieurs rendez-vous, et une mûre réflexion, qu’elle a décidé de passer à l’action et de corriger ce qu’elle n’aime pas!
Donc, dans les trois prochaines semaines, en début mars, elle subira une légère réduction et un léger redrapage, confie-t-elle.
À la toute fin de sa réponse, l’animatrice et chanteuse a tenu à expliquer que depuis sa première chirurgie, sa communauté était très intriguée par le sujet et que c’est pour cette raison qu’elle a pris la décision de parler de ce nouveau projet.
De plus, elle se dit stressée par le processus, mais se réconforte en se disant que ça ne peut pas être pire… qu’accoucher!