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Une nouvelle mutation génétique dangereuse responsable du cancer du sein

NBC News informe de cette mutation génétique désormais connue du corps médical. Cette découverte est aussi importante que celle du gène défectueux BRCA. En effet, les gènes BRCA1 et BRCA2 sont à l’origine de 5 à 10 % des cancers du sein et préoccupent depuis longtemps les médecins.

Les spécialistes ont nommé cette nouvelle mutation PALB2. Ils sont inquiets. « Celui-là est dangereux », avertit le Dr Jeffrey Weitzel, expert en génétique au City of Hope Cancer Center de Duarte en Californie.

Le PALB2 serait aussi dommageable que le BRCA. 1 femme sur 3 porteuse de cette mutation risque le cancer du sein d’ici ses 70 ans. Le risque est encore plus élevé si l’historique familial présente ce type de cancer.

Le détail sur la recherche a été publié dans l’édition de cette semaine du Journal of Medicine de la Nouvelle-Angleterre.

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Cancer du sein : un gel non invasif pourrait remplacer la médication

Son avantage : les effets secondaires, tels que la formation de caillots sanguins seraient moindre.

L’application du gel à base de tamoxifène, pendant 6 à 10 semaines, a réduit la croissance des cellules cancéreuses autant que le médicament par voie orale. C’est ce qu’ont démontré les résultats de cette recherche de Northwestern, parue dans la revue Clinical Cancer Research.
 
Le gel a été appliqué directement sur les seins des femmes atteintes d’une ou de plusieurs tumeurs cancéreuses. Absorbé à travers la peau et directement par le tissu du sein, le gel implique des niveaux moins élevés de médication dans le sang et diminue les risques de formation de caillots sanguins.
 
« Le gel minimise l’exposition du reste du corps et permet une concentration du médicament in situ, en évitant le risque de formation de caillots ou de développement de cancer de l’utérus », précise le Pr Khan de l’Université Northwestern Feinberg School of Medicine. 
 
Le nouveau gel pourrait dorénavant faire compétition à la médication orale et encourager les femmes effrayées par les effets secondaires incommodants à poursuivre leurs traitements, explique le site Santé Log.
 
Crédit photo : Monkeybusinessimages/Bigstock.com
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Et si vous pouviez produire plus de lait pour donner le sein?

SheKnows informe que les experts recommandent des aliments contenant naturellement de la prolactine (galactagogue).

L’avoine : Elle est déjà recommandée par les médecins parce qu’elle stimule les hormones responsables de la lactation. Vous pouvez consommer des biscuits ou mettre de l’avoine dans votre pain de viande, mais la meilleure façon reste un bon bol de gruau.

Les graines de lin : Les graines de lin contiennent des phytoestrogènes, un composé à base de plantes qui imite l’œstrogène. Elles contribuent à la stimulation du lait maternel. Ajoutez-les moulues à votre gruau, un smoothie ou un mélange à biscuits.

La levure de bière : Elle est gorgée de suppléments nutritionnels (vitamine B, fer, protéines et plusieurs minéraux). Vous pouvez la saupoudrer sur des pâtes, des œufs ou dans des tacos, par exemple.

Les pois chiches : Il semble que les pois chiches soient utilisés comme galactagogue depuis des milliers d’années. Cuits ou crus dans une salade, une soupe ou en houmous, ils représentent une excellente source de fibres et de protéines.

Les amandes : Un gras bon pour la santé et une source rapide de protéines et de calcium. Vous pouvez même consommer du lait d’amandes si vous préférez.

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Kylie Minogue rêve encore de fonder une famille

La chanteuse australienne Kylie Minogue semble encore caresser le rêve de fonder une famille et d’élever des enfants, selon des propos rapportés par ELLE Canada.

Malgré ses 46 ans bien sonnés, la chanteuse ne semble ni ralentir ni perdre de sa beauté et de son charme. Après avoir combattu avec succès un cancer du sein en 2005, Kylie Minogue souhaite avoir des enfants, même si elle demeure réaliste.

« J’ai encore de l’espoir d’avoir une famille. Mais en étant une femme un peu plus âgée, je demeure réaliste. Tu dois y penser, et tu ne peux pas toujours dire que tu vas le faire ou pas, car ce n’est pas entièrement sous ton contrôle », lance Minogue au magazine OK!

La chanteuse croit que si elle ne réalise pas son rêve, elle pourra toujours offrir tout cet amour à ses filleuls, qu’elle adore et avec lesquels elle entretient une belle relation.

Kylie Minogue effectue un retour ces temps-ci avec l’album Kiss Me Once.

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Des doubles mastectomies souvent inutiles

Il y a déjà un an, l’actrice Angelina Jolie annonçait sa décision de subir une double mastectomie pour contrer de sombres statistiques en matière de cancer du sein. Voilà qu’une nouvelle étude vient jeter une douche froide aux partisans de la manœuvre.

Angelina Jolie avait non seulement stupéfait l’industrie et ses fans avec une telle annonce (ses médecins estimaient ses chances de développer un cancer du sein à près de 90 %), mais avait aussi par le fait même lancé un profond débat sur le sujet.

Beaucoup de femmes ont suivi son exemple, et l’opération a gagné en visibilité.

Or, selon une étude de l’Université du Michigan, plusieurs doubles mastectomies seraient pratiquées inutilement. Le problème, c’est que 70 % des femmes qui prennent cette décision n’auraient pas besoin de le faire, même après un diagnostic de cancer du sein qui n’en touche qu’un seul, rapporte Radio-Canada.

« Chez les femmes, c’est apparemment la crainte d’une résurgence de leur cancer qui les conduites à décider d’une mastectomie prophylactique, ce qui est absurde, car le fait d’enlever le sein non malade ne réduit en rien le risque de réapparition de la tumeur dans le sein touché », explique la Dre Sarah Hawley, qui dirige l’étude.

Cette dernière a analysé les dossiers de près de 1500 femmes.

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L’allaitement à long terme : cause du manque de diversification de l’alimentation du bébé

L’étude du Centre médical pour enfants de Cincinnati avait pour objectif de mesurer la nécessité de mieux informer les mères quant à l’importance d’introduire les 4 groupes alimentaires chez l’enfant dès 6 mois, et surtout avant l’âge de 2 ans.

La spécialiste Jessica G.Woo explique que toutes les précédentes recherches ont priorisé les nations sous-développées, celles qui n’ont pas accès aux aliments, rapporte Medical News Today.

« Ces recherches nous ont portés à nous questionner à propos des nourrissons des nations développées, particulièrement aux États-Unis », mentionne Woo. Par contre, l’étude ne comporte aucune donnée quant aux conséquences attribuables au manque de diversification alimentaire et à la croissance des enfants.

En évaluant les aliments que consommaient 365 bébés nourris au sein après 6 mois à Cincinnati, Shanghai et Mexico, les chercheurs ont réalisé que Cincinnati traînait de la patte. Seulement 28 % des nourrissons de 6 à 12 mois consommaient des aliments diversifiés.

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Soutien pour allaitement à l’aide d’une nouvelle technologie de Google

Les lunettes Google, rapporte She Knows, sont une nouvelle technologie à travers laquelle on peut voir et entendre l’intervenant qui nous aide. En retour, le dispositif permet au coach d’allaitement de voir ce que vous faites et de corriger si nécessaire. Les échanges sont sécurisés et cryptés.

Selon l’UC Davis Medical Center, 92 % des nouvelles mamans ont des problèmes avec l’allaitement. Sur les 418 femmes interrogées, seulement 13 % ont été en mesure de nourrir leur bébé au sein exclusivement pendant les 6 mois recommandés.

De la collaboration de Small World Social à Melbourne et l’Australian Breastfeeding Association (ABA), en partenariat avec cette nouvelle technologie Google Glass, est né un site d’assistance à l’allaitement.

En tout, 5 femmes ont testé le dispositif et l’aide en ligne. On leur procurait une paire de lunettes Google, puis elles étaient guidées par le tutoriel en ligne, ainsi que par les consultants, au besoin.

Une vidéo de présentation a été mise en ligne ici pour démontrer l’utilité de ce projet. Madeline Sands, à la tête de ce projet, espère qu’il sera mis en place partout à travers l’Australie.

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Une diète à forte teneur en gras augmente les risques de cancer du sein

Les femmes qui observent des régimes à forte teneur en gras saturé sont plus à risque de développer un cancer du sein que les autres, nous dévoile une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des régimes comme la diète Atkins, par exemple, seraient possiblement des facteurs de risques supplémentaires à l’apparition éventuelle d’un cancer du sein chez la femme, conclut l’étude.

On évalue la hausse de ces risques à 28 %, selon les résultats proposés par les chercheurs du National Tumour Institute de Milan, en Italie.

« Les résultats de cette étude prospective sur une large population de femmes européennes indiquent que les diètes fortes en gras et gras saturés augmentent les risques du cancer du sein », mentionne la Dre Sabina Sieri, coauteure principale de l’étude.

L’étude tire ses conclusions de plus de 300 000 dossiers de femmes analysés au cours d’une période donnée, répartis dans 10 pays de l’Europe.

Les résultats de la Dre Sieri et de son équipe ont été publiés dans le Journal Of The National Cancer Institute.

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La mammographie démontre certaines lacunes

Les campagnes de prévention du cancer du sein et de sensibilisation à l’importance de la mammographie chez les femmes abondent depuis quelques années, et le test de dépistage gagne en popularité.

Sans complètement discréditer l’affaire, une nouvelle étude américaine place cependant un bémol et estime que la mammographie démontre certaines lacunes, rapporte par Top Santé. Selon les chercheurs de Harvard qui dirigent cette nouvelle étude, les médecins surestiment le pouvoir de la mammographie, qui ne serait pas aussi précise qu’on voudrait le croire.

Les chercheurs croient plutôt que la mammographie permet de réduire les risques de mortalité due au cancer du sein d’environ 20 %, sans plus. La diminution du risque augmente toutefois à mesure que l’âge d’une femme progresse, dépassant les 30 % après 60 ans.

« Il y a eu récemment beaucoup de confusion autour du dépistage du cancer du sein, et nous avons souhaité mettre tout cela à plat, à l’attention des médecins. Au cours de nos recherches, nous nous sommes rendu compte que les bénéfices des mammographies sont plus petits qu’on le pensait, et que leurs dangers, comme des radiographies à répétition ou des biopsies pour des tumeurs qui s’avèrent non cancéreuses, sont vraiment sous-estimés », précise la Dre Nancy Keating.

L’étude conclut également que certaines femmes seront diagnostiquées et traitées pour une tumeur qui ne serait jamais devenue maligne ou mortelle, une donnée étonnante qui fait réfléchir.

Les conclusions de l’étude de Harvard ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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Des chercheurs affirment détenir la clé du traitement contre le cancer du pancréas

Le Daily Mail (UK) rapporte les propos et conclusions d’une équipe de chercheurs de la réputée Université Cambridge, qui laissent croire que celle-ci détiendrait la clé d’un éventuel traitement pour venir à bout du cancer du pancréas.

Les chercheurs en question, dont le Dr Douglas Fearon, auraient en effet découvert un procédé et mis au point un médicament répondant au nom d’AMD3100, qui permettrait à l’organisme d’un patient de renforcer le système immunitaire et de placer ce dernier en position d’attaquer la tumeur.

Les essais effectués jusqu’à maintenant sur des souris semblent probants, alors que plusieurs de ces rongeurs-tests auraient été complètement guéris. L’ADM3100 devra maintenant passer les étapes des essais cliniques sur des humains, et l’équipe de Cambridge a bon espoir de réussir une seconde fois.

Si tout se passe bien, le Dr Fearon et ses collègues prévoient que cette percée permettrait de traiter adéquatement les patients atteints du cancer du pancréas d’ici les dix prochaines années.

Le principe démontré par ces chercheurs est le même que celui proposé par plusieurs homologues depuis quelques années, soit celui des fameuses cellules T et de l’immunothérapie.

L’équipe de Cambridge confirme qu’il s’agit d’une avancée et d’une méthode qui pourraient s’appliquer à plusieurs types de cancer, dont ceux des ovaires et du sein, par exemple.