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Réduction majeure des risques de décès dus au cancer d’ici 2020

Il est rare de recevoir une bonne nouvelle, ou à tout le moins une encourageante, lorsqu’il est question de la terrible maladie qu’est le cancer, mais en voici une rapportée par le Daily Mail (UK) qui permet d’entrevoir une lueur d’espoir.

C’est que selon des statistiques et analyses proposées le Centre de Recherche en Cancer Macmillan, les risques de décès dus au cancer auront chuté de près de la moitié d’ici l’an 2020, soit une baisse de 44 % depuis 1990, au total.

D’ici la fin de la décennie, croient les chercheurs, 65 % des femmes qui recevront un diagnostic de cancer du sein survivront à la maladie. 65 % des hommes souffrant d’un cancer de la prostate auront droit au même sort, une statistique qui s’arrête à 61 % pour les patients atteints du cancer du côlon.

Malheureusement, ces hausses statistiques ne semblent pas s’appliquer en ce qui concerne le cancer du poumon, qui semble déterminer à demeurer aussi meurtrier.

Bien que la victoire définitive dans la lutte au cancer ne soit pas encore à notre portée, ces baisses statistiques des taux de mortalité dus au cancer semblent en progression constante et s’avèrent une excellente nouvelle.

On explique le phénomène par une meilleure compréhension de la maladie, des méthodes de traitement, des nouvelles technologies, et par un dépistage plus agressif. Les chercheurs rappellent d’ailleurs l’importance de subir des tests de dépistage à différents stades de la vie, afin de continuer à améliorer les chances de survie en matière de cancer.

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Régime riche en gras à l’adolescence relié au risque élevé du cancer du sein

Une récente étude pointe du doigt les aliments gras consommés par les adolescentes. Ceux-ci s’avèrent dangereux à long terme, puisqu’ils augmentent considérablement les risques de cancer du sein, et ce, même si elles s’alimentent sainement dans leur vie adulte.

Selon ce que rapporte Science World Report, les chercheurs de l’organisme Breast Cancer and Environment Research Program à l’Université de l’État du Michigan en sont venus à une conclusion de grande importance.

Un régime alimentaire élevé en graisses chez les jeunes femmes pourrait augmenter la croissance cellulaire et altérer les cellules immunitaires des tissus du sein. Ces modifications, ont-ils constaté, persistent souvent durant la vie adulte, ce qui engendrerait le développement rapide de lésions précancéreuses. Ultimement, celles-ci mèneraient vers un cancer du sein.

« Il est important de noter que notre expérience se base sur l’alimentation riche en gras et n’inclut pas de facteur d’obésité, ce qui signifie que les résultats s’appliquent à un segment beaucoup plus important de la population », a révélé le microbiologiste Richard Schwartz, coauteur de l’étude.

Vous pouvez trouver plus de détails sur l’étude sur le site de l’Université de l’État du Michigan.

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Le pain hausserait les risques de cancer du sein chez les femmes en ménopause

Une alimentation comprenant beaucoup de pain serait nuisible à la santé des femmes qui sont en ménopause ou qui s’en approchent, selon une étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université de Toronto et de Milan qui travaillent conjointement à cette recherche affirment que la consommation de pain lors de cette période peut augmenter les risques de cancer du sein de 60 %, une statistique qui ne peut être négligée.

Ainsi, on suggère plutôt à ces femmes de troquer le pain pour les pâtes, afin d’éviter cette hausse de risque, qui s’avère tout aussi exacte pour d’autres types de cancer et d’autres maladies.

Comme l’expliquent les chercheurs impliqués, les pâtes sont à l’opposé du pain en matière d’effets sur la glycémie, un facteur reconnu du développement du cancer du sein.

À noter, l’effet du pain serait également vérifiable chez les hommes en ce qui concerne le cancer colorectal, avec une hausse moyenne des risques de 22 %.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, conclut l’équipe de spécialistes. 

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Le beurre d’arachides ferait baisser les risques de développer un cancer du sein

Stupéfiante étude que celle rapportée par MedicalNewsToday, qui fait état d’une baisse significative des risques de développement du cancer du sein grâce… au beurre d’arachides.

L’étude américaine constate en effet que les filles et adolescentes qui consomment du beurre d’arachides entre l’âge de 9 et 15 ans voient les risques de cancer du sein diminuer de près de 40 %! Une statistique éloquente, qui ne peut être expliquée que par le facteur chance ou diminuée par un pourcentage d’erreur.

« Ces résultats suggèrent que le beurre d’arachides peut contribuer à abaisser les risques de cancer du sein chez la femme », confirme le Dr Graham Colditz, de la Washington University School Medicine basée à St. Louis.

Dr Colditz et son équipe croient par ailleurs que les données ne s’arrêtent pas là et prétendent que la consommation de protéines végétales, de noix et de beurre d’arachides pourrait aussi aider les femmes de tous âges.

Ce n’est pas la première étude qui vante les mérites des noix en prévention du cancer et des maladies cardiovasculaires, mais c’est la première du genre à établir un lien direct de prévention du cancer du sein chez la femme, à tout le moins grâce au beurre d’arachides de façon spécifique.

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Le taux de survie au cancer directement lié au PIB?

C’est une constatation aussi horrible que triste à laquelle arrive une équipe de chercheurs belges, alors que le PIB d’un pays aurait une incidence directe sur les chances de survie à un cancer de ses citoyens.

Une inégalité scandaleuse, mais qui s’avère malheureusement vérifiable, selon le Dr Ades qui commente l’étude dans un communiqué. Il s’agirait d’une réalité encore plus grave en ce qui a trait au cancer du sein.

« Le cancer du sein est le meilleur exemple des avantages du dépistage du cancer. Ainsi, il a été prouvé que le dépistage réduit la mortalité. Nous avons vu que le lien entre le niveau de vie et les dépenses de santé avec le taux de mortalité du cancer du sein était bien plus élevé que pour les autres cancers (…) Par ailleurs le ratio décès sur cas diagnostiqués de cancers du sein reste plus faible dans les pays d’Europe de l’Ouest que dans les pays d’Europe de l’Est », résume le Dr Ades.

Top Santé dévoile d’autres chiffres qui reflètent cette triste cause à effet partout dans le monde, et on constate l’impact direct de l’argent investi en santé par habitant sur les chances de survie de celui-ci, à la suite d’un diagnostic de cancer.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente parution du Annals of Oncology.

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Ces mamans qui cessent l’allaitement à cause du stress

Les craintes des nouvelles mamans sont nombreuses. Que ce soit par conviction, par pression des proches ou parce qu’on a peur du jugement, à priori, si notre choix d’allaiter n’est pas totalement volontaire ou que l’on manque de soutien, il se peut que le stress prenne rapidement le dessus.

Une recherche publiée dans la revue Pediatrics explique les principales raisons qui poussent les nouvelles mères à abandonner l’allaitement au profit du biberon. Plus de 2700 femmes ont répondu au sondage et sur ce nombre, 532 allaitaient pour la première fois.

Après seulement 3 jours d’allaitement, sur ces 532 femmes, plus de la moitié étaient inquiètes parce que leur enfant arrivait difficilement à prendre le sein. Plus de 44 % soulevaient la douleur associée à l’allaitement, et 40 % craignaient de ne pas fournir suffisamment de lait. De plus, la peur de devoir allaiter dans un endroit public semblait s’ajouter au stress.

Les chercheurs ont noté que la combinaison de ces facteurs apportait un stress énorme, qui se mutait rapidement en anxiété et poussait les femmes à opter pour le biberon après seulement quelques jours.

Bien entendu, la remise en question qui en a résulté tenait compte du manque de soutien apporté aux femmes qui allaitent pour la première fois.

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Angelina Jolie fait-elle augmenter les requêtes de mastectomie?

Le Daily Mail (UK) rapporte une hausse des demandes de mastectomie, un phénomène que le journal n’hésite pas à lier à l’histoire d’Angelina Jolie, le baptisant même « l’effet Jolie ».

Les données britanniques rapportées semblent en effet confirmer une hausse spectaculaire des requêtes pour une mastectomie de la part des femmes à risque de développer un cancer du sein.

Un risque que les spécialistes sont maintenant capables de chiffrer, en analysant le bagage génétique d’une patiente. C’est précisément l’histoire d’Angelina Jolie, qui avait décidé d’opter pour une mastectomie complète après avoir reçu confirmation qu’elle portait le gène BRCA1, portant ses chances de développer un cancer du sein à 87 %.

Il semble que le choix de l’actrice ait influencé toute une génération de femmes, qui ont alors pris d’assaut le web afin de s’informer. Le phénomène s’est ensuite traduit par une hausse de telles demandes dans les cliniques et centres en oncologie, confirment plusieurs spécialistes.

Alors que plusieurs observateurs saluent le courage d’Angelina Jolie, d’autres croient plutôt qu’il faut être très prudent avec ce genre d’intervention, extrême s’il en est une, et rappellent qu’il existe d’autres alternatives pour faire baisser les risques de développer un cancer du sein.

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Les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein

Il s’agit d’un lien ou d’une cause à effet des plus surprenants et difficile à comprendre, mais il appert que les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein, selon Santé Log.

C’est précisément ce qui ressort d’une étude canadienne sur le sujet, effectuée auprès de près de 3000 femmes possédant différents bilans et statuts de santé.

Pour les chercheurs du Queen’s Cancer Research Institute et de l’Université de Colombie-Britannique en tête de l’étude, le fait de travailler un quart de nuit sur une longue période de temps « brise » ce qu’on appelle maintenant le rythme ou le cycle circadien.

Ce dernier, basé sur les périodes de la journée, commence de plus en plus à être pointé du doigt pour son importance dans l’évolution d’une personne et des événements qui ponctueront sa vie.

Dans le cas qui nous concerne, le fait pour une femme d’être à contresens de ce qui se veut « normal » en termes d’heures de travail, soit de nuit plutôt que de jour, signifierait un risque accru de cancer du sein.

Une partie de l’explication résiderait dans les changements hormonaux observables chez les femmes qui travaillent dans un quart de 3 h à 8 h, par exemple.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.