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Des mammographies 3D plus efficaces et sécuritaires

Des scientifiques ont trouvé une technique plus efficace en matière de dépistage du cancer du sein, rapporte www.nlm.nih.gov.

Il s’agit d’une mammographie 3D, plus précise, qui permet aux praticiens d’obtenir des images en trois dimensions et, donc, une meilleure analyse des résultats.

Ce système serait deux à trois fois plus efficace que son prédécesseur, et la dose de radiation dégagée serait moins élevée.

Le professeur Jianwei Miao, de l’Université de Californie à Los Angeles, explique : « Les mammographies comptent en ce moment sur des images en deux dimensions. Cela pourrait expliquer pourquoi 10 à 20 % des tumeurs passent inaperçues lors des tests. Les scans actuels peuvent aussi voir en 3D, mais ne sont pas considérés utiles ou plus efficaces pour détecter les tumeurs. De plus, les praticiens sont inquiets de la dose massive de radiation que le système actuel engrange ».

« Pour améliorer le système de détection du cancer du sein, nous avons développé une nouvelle façon de visualiser la maladie en trois dimensions, avec un taux de radiation moins élevé que la mammographie traditionnelle utilisée aujourd’hui. »

Voilà des propos rassurants et intéressants pour tous les praticiens, oncologues et femmes à travers le monde, alors que le cancer du sein fait toujours des ravages.

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Nouvelle preuve que l’allaitement réduit le risque de cancer du sein

La conclusion de cette recherche revêt une grande importance, puisqu’à ce jour, aucun facteur modifiable n’avait été trouvé. L’allaitement est donc le premier facteur prouvé qui élimine complètement la présence de récepteurs hormonaux négatifs menant au cancer du sein.

Eurekalert.org rapporte que l’étude a été menée à la Columbia University’s Mailman School of Public Health. Les chercheurs ont analysé la corrélation entre le nombre d’enfants de la mère, l’allaitement et la prise de contraceptifs oraux.

La résultante démontre clairement que les contraceptifs oraux n’ont aucune incidence sur la présence des ER/PR-négatifs. Quant à l’allaitement, il était directement relié à l’absence de ces récepteurs. Le cancer développé lors du dépistage des ER/PR atteint normalement les femmes plus jeunes.

Plusieurs pays se sont concertés pour cette étude, notamment le Canada, les États-Unis et l’Australie. Plus de 4000 femmes atteintes du cancer du sein ont participé au programme de recherche.

Selon la Dre Meghan Work, auteure principale et étudiante au doctorat au département d’épidémiologie, « les femmes ayant des enfants, mais n’ayant pas allaité ont 1,5 fois plus de risque de développer le cancer du sein ER/PR négatif ».

Une fois de plus, les spécialistes du domaine médical et scientifique recommandent fortement que l’allaitement fasse partie de la réglementation de la santé.

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Un soutien-gorge dépisteur de cancer

Topsante.com rapporte la création d’un soutien-gorge « dépisteur de cancer », par une compagnie américaine.

Il s’agit d’un soutien-gorge de type sport, tout ce qu’il y a de plus commun, mais qui contient un système peu banal. L’objet serait en mesure de détecter les signes précoces d’un cancer du sein, jusqu’à six ans avant qu’une mammographie puisse y parvenir!

C’est énorme, si l’on prend en considération que le dépistage sauve des vies, et que plus le diagnostic de cancer est fait tôt, plus les chances de survie sont excellentes.

Portant le nom de Breast Self Exam, le soutien-gorge est muni d’un système de capteurs qui peut analyser les changements de température des seins, indicateurs de la création de nouveaux vaisseaux sanguins, utiles à la prolifération de tissus cancéreux.

Tout un concept, qui semble futuriste, mais qui s’avère génial dans son intention. Des essais cliniques ont conclu à un taux d’efficacité de 90 %, mais plusieurs autres sont à venir pour assurer le fonctionnement total de l’appareil.

En attendant, les spécialistes conseillent vivement aux femmes de subir des tests de dépistage pour le cancer du sein dès 50 ans, mais plusieurs suggèrent maintenant de le faire dès la quarantaine.

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Une étude des gènes apporte de nouveaux indices sur le cancer du sein

Un nouveau regard sur l’empreinte génétique du cancer du sein a révélé de nouvelles informations sur cette maladie dévastatrice, incluant le fait que certains cancers du sein sont reliés de près à certains cancers ovariens.

Le cancer du sein de type basal, l’une des plus mortelles sous-catégories existantes, se rapprocherait génétiquement du cancer ovarien, rapporte nlm.nih.gov.

Dans cette étude, les scientifiques ont utilisé six différentes technologies pour analyser 348 tumeurs chez des femmes aux prises avec le cancer du sein. Ils ont étudié de possibles failles dans l’ADN et l’ARN des tumeurs, ainsi que dans ses protéines.

Ils ont ainsi pu confirmer l’existence de quatre sous-types de cancer du sein, ce qui vient ajouter aux théories grandissantes qui suggèrent que les tumeurs devraient être cataloguées et traitées selon le type de gènes qui est altéré, et non selon la location de la maladie sur le corps.

« Avec cette étude, nous avons fait un autre bond de géant vers la compréhension des origines génétiques des quatre sous-catégories principales de cancer du sein », explique le Dr Matthew Ellis, chef de l’institut d’oncologie de la Washington University School of Medicine.

Dr Ellis poursuit en avançant que l’étude suggère également que la plupart des cancers de types basaux et ovariens ont des origines génétiques similaires et pourraient être traités avec les mêmes médicaments.

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Cancer du sein, risque accru sur 3 générations pendant la grossesse

C’est ce que déclarent les chercheurs du Georgetown Lombardi Comprehensive Cancer Centre. L’étude a été publiée dans la revue Nature Communication (11 septembre).

Selon santelog.com, le régime alimentaire affecte ainsi non seulement le fœtus, mais aussi les cellules germinales fœtales. Celles-ci se transfèrent génétiquement à au moins deux autres générations de filles. Dans ce cas, on parle de multihérédité.

Les recherches ont été effectuées sur des rats. Les groupes de femelles ayant été nourries d’aliments riches en graisses élevaient les risques de cancer du sein jusqu’à 60 % pour les deux générations suivantes. Quant aux femelles ayant reçu une dose supplémentaire d’oestrogènes, le risque de tumeurs mammaires était accru de 50 %.

L’auteure principale de l’étude, Leena Hilakivi-Clarke, professeure d’oncologie, explique les résultats : « Nous savons que le régime alimentaire de la mère peut avoir des effets à long terme sur la santé de sa progéniture, mais cette étude montre, sur le rat, pour la première fois, que ce facteur peut affecter trois3 générations de descendants ».

Ces résultats mènent les spécialistes vers un concept d’hérédité épigénétique. On souhaite que le processus soit réversible, mais rien n’a été étudié à ce propos à ce jour.

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Les risques d’un deuxième cancer sont plus élevés chez les femmes obèses

Déjà, le surpoids était associé à un risque accru de développer certains types de cancers, dont le cancer du sein. Maintenant, une étude parue dans le Breast Cancer Research and Treatment révèle que le surpoids accroît les risques de récidives du cancer dans le même sein ou de développer un nouveau cancer dans l’autre sein.

En plus, il y a des risques également associés à un cancer de l’endomètre ou colorectal.

Après une méta-analyse de plusieurs études prospectives, l’obésité lors d’un premier cancer du sein accentue de 37 % les risques de développer un cancer du sein controlatéral, ainsi que de 40 % les risques d’avoir un autre cancer dans le même sein.

Cependant, le risque s’élève à 96 % quant au cancer de l’endomètre ou le cancer colorectal.

Voilà donc d’autres bons arguments dans la lutte contre l’obésité.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Cancer du sein : les traitements de l’infertilité dans le collimateur

Rassurez-vous, selon une nouvelle étude publiée dans le Journal of The National Cancer Institute, globalement, les traitements de l’infertilité n’augmenteraient pas les risques de développer un cancer du sein.

Cependant, les chercheurs ont remarqué que les femmes ayant suivi un traitement contre l’infertilité, qui n’a pas marché, auraient un risque réduit de cancer du sein par rapport à celles non traitées.

Les scientifiques ont également soulevé que les femmes pour qui le traitement a fonctionné ont un risque élevé de cancer du sein, comparativement aux femmes traitées sans succès, et un risque proche à celles non traitées.

Qui est le grand responsable de ce risque de développer un cancer du sein? Il s’agit de l’œstrogène, hormone qui est connue pour son rôle dans le développement de cette maladie. Les traitements, qui stimulent sur une courte durée l’ovulation, élèvent les niveaux d’oestrogène chez les femmes.

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Cancer du sein : risques plus élevés pour les fortes poitrines

Une récente étude démontre que les femmes avec des seins imposants ont plus de chances de développer un cancer du sein, selon les scientifiques.

L’étude, qui a porté sur 16 000 femmes, montre qu’il y a un lien entre le tour de poitrine et la maladie. Le grand responsable serait l’oestrogène, une hormone sexuelle qui peut déclencher la croissance des glandes mammaires et des tumeurs.

Cette étude est la première qui montre qu’il existe un lien substantiel entre la taille des seins et le cancer. Les chercheurs ont toutefois ajouté que d’autres recherches étaient nécessaires avant que ces résultats soient considérés comme du béton.

« Nos résultats mettent en évidence des variantes génétiques qui ont un effet sur le cancer du sein et la variation naturelle du volume des seins », a expliqué l’équipe.

Le cancer du sein est la forme la plus courante de la maladie en Grande-Bretagne, avec 50 000 nouveaux cas par an. Une femme sur huit sera touchée au cours de sa vie.

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Oui à l’allaitement au sein à la demande de bébé

L’allaitement au sein à la demande de bébé faciliterait non seulement la poursuite de cette méthode, mais serait également avantageuse pour la santé de l’enfant et de la maman, selon la revue Prescrire.

Les règles trop rigides concernant l’allaitement sont plus néfastes qu’utiles, souligne d’ailleurs la publication. Le sein à la demande permet notamment de diminuer la prise de compléments artificiels et réduit le risque d’engorgement des seins.

Il n’est pas obligatoire de suivre un rythme particulier pour l’allaitement. Cependant, il est préférable de le commencer dès la naissance et de le poursuivre jusqu’aux six mois de l’enfant.

Durant l’allaitement, vous pouvez donner un sein ou deux. La consigne à suivre est de laisser l’enfant vider entièrement le sein avant de passer au second. Vous éviterez ainsi les engorgements.

Les médicaments pour produire davantage de lait ne sont pas nécessaires. L’année dernière, l’Agence du médicament a d’ailleurs lancé une mise en garde contre la prise de ces produits.

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La radiothérapie pourrait causer le cancer du sein

C’est ce que de nouvelles données du Memorial Sloan-Kettering Cancer Center de New York ont révélé.

Les experts incitent donc les jeunes femmes ayant subi un cancer dans leur enfance et un traitement de radiothérapie du thorax à passer un test de dépistage du cancer du sein dès 25 ans.

En fait, à l’issue d’une étude, les spécialistes ont découvert que l’incidence du cancer du sein atteignait 24 % avant que ces femmes aient 50 ans.

Parmi les survivantes d’un lymphome de Hodgkin, ce chiffre grimpe jusqu’à 30 %.

« Il ne s’agit pas seulement des survivantes de la maladie de Hodgkin qui sont à risque de développer un cancer du sein, mais de tous les cancers pédiatriques, même traités par doses de rayonnement modérées », peut-on lire dans la recherche.

Rappelons que le cancer du sein est l’un de ceux dont le nombre de cas augmentera d’ici 2030. De pus, le nombre de cas de cancer, toutes parties du corps confondues, pourrait augmenter jusqu’à 75 % d’ici moins de vingt ans.