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Devez-vous vous inquiéter de la constipation de bébé?

À priori, SheKnows a communiqué avec différents spécialistes, notamment Ashanti Woods et Michelle Bennett, tous deux pédiatres. Ils s’entendent pour dire qu’avant de paniquer avec les selles de son bébé, il faut « définir » la constipation.

« La meilleure définition selon la plupart des médecins, c’est que la constipation survient lorsqu’il y a changement dans les selles ou la routine à laquelle nous sommes habitués ». Fréquence et texture n’ont donc pas le même impact si ces facteurs ne sont pas inhabituels.

Les causes fréquentes sont entre autres le lait préparé, l’introduction de nouveaux aliments ou le début de la consommation des aliments solides.

Avant de vous alarmer, effectuez un massage du ventre dans le sens horaire si votre petit a de la difficulté. Essayez aussi le bain chaud. Attention cependant, certaines mamans affirment que le résultat peut arriver « plus vite que prévu ».

Dr Bennett indique qu’il faut consulter votre médecin dans les cas où « bébé a souvent des selles très dures, développe des hémorroïdes, si ses selles contiennent du sang, s’il semble très inconfortable ou a régulièrement besoin d’une intervention contre la constipation ».

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Recette maison pour enfant constipé

Rares sont les enfants, et ce, peu importe l’âge, qui sautent de joie lorsqu’on leur annonce que papa ou maman devra utiliser un suppositoire pour leur permettre de ramollir leurs selles. Qui plus est, cela ne fonctionne pas toujours, puisque le simple fait de garder le suppositoire en place représente à lui seul un défi.

TopSanté propose une recette maison pour y aller tout en douceur. Premièrement, sachez que la cause majeure tourne toujours autour du manque d’hydratation (boire de l’eau) et de la consommation d’aliments riches en fibres.

Voici donc les ingrédients dont vous aurez besoin : pruneaux réhydratés (1 à 2), de la mauve (Malva Silvestris L.) et de la mélisse (Melissa Officinalis L.), 1 cuillère à thé de chacune, et de l’eau pour l’infusion.

Vous devez faire infuser la mauve et la mélisse pendant 10 minutes dans 2 tasses d’eau bouillante. Vous donnez une première tasse à l’enfant, puis réhydratez les pruneaux dans la seconde tasse, pendant 10 minutes.

Pour éviter que l’enfant refuse de manger les pruneaux réhydratés, TopSanté propose de les mélanger à de la purée d’amandes (ou du beurre d’arachides) et de tartiner le tout sur du pain grillé.

Ne dépassez pas 1 semaine d’utilisation de cette solution, et cessez dès que les selles recommencent à s’éliminer.

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Obésité infantile : des bactéries intestinales en cause?

Il semblerait que les enfants en surpoids ou obèses ont une plus faible concentration de bactéries du groupe des Bacteroides fragilis, des germes fécaux qui constituent une partie importante de la flore intestinale.

De plus, ces bambins ne consommeraient pas beaucoup de protéines, avancent des chercheurs des universités de Hasselt et d’Anvers en Belgique.

Pour arriver à ces conclusions, les selles de 26 enfants (6 à 16 ans) obèses et 27 de poids normal ont été analysées pour évaluer la présence de différents types de bactéries dans l’intestin.

Présentée à Lyon en France lors d’un congrès européen sur l’obésité, la nouvelle étude n’a révélé aucun lien significatif entre les bactéries intestinales et les niveaux d’activité physique. Toutefois, les chercheurs ont prouvé une association entre l’alimentation et les bactéries intestinales.

En effet, certains aliments contenant des prébiotiques ou probiotiques peuvent aider à prévenir l’obésité, car ces derniers peuvent stimuler la croissance des bactéries utiles dans le tractus digestif et ainsi combattre le gain de poids.

Les chercheurs croient que certaines lignes directrices existantes sur la consommation de protéines auraient besoin d’être révisées.

Les données et les conclusions de cette recherche doivent être considérées comme provisoires jusqu’à une publication dans une revue médicale.

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Pipi au lit : la constipation est souvent la coupable

Selon une étude du Wake Forest Baptist Medical Center, si la constipation n’est pas diagnostiquée, les enfants et leurs parents doivent supporter une quête inutilement longue, coûteuse et difficile à guérir.

« Avoir trop de selles dans le rectum réduit la capacité de la vessie », a déclaré l’auteur principal de l’étude, Steve J. Hodges, professeur adjoint d’urologie au centre.

30 enfants et adolescents qui cherchaient un traitement pour l’énurésie ont été examinés par les chercheurs avec des rayons X. Tous avaient de grandes quantités de selles dans le rectum, plus que la majorité des autres jeunes ayant des habitudes intestinales normales.

En trois mois, grâce à un traitement laxatif, 25 des 30 enfants (83 %) ont été guéris de l’énurésie nocturne.

Selon les spécialistes, l’un des problèmes majeurs est que les enfants ne sont souvent pas capables de décrire ou de cerner des habitudes intestinales compatibles avec la constipation (selles non quotidiennes et consistance dure).

Les chercheurs avertissent que tout traitement médical pour l’énurésie doit être supervisé par un médecin.

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Les selles de vélo peuvent causer des dysfonctionnements érectiles

Le professeur Steven Schrader, un expert américain du National Institute of Occupational Safety and Health et auteur d’une étude sur le dysfonctionnement érectile, affirme que les cyclistes deviendront impuissants à cause de leur selle de vélo.

Pour lui, il n’est pas question de se demander si les hommes deviendront impuissants, mais bien quand ils le deviendront.

Le problème serait dû au siège des bicyclettes qui représenterait une torture pour le périnée. Le canal pudendal qui alimente le pénis en sang serait compressé au point de perdre de son élasticité naturelle.

La pression exercée sur les parties génitales lorsque les gens font du vélo est supérieure de sept fois à celle exercée par un tabouret de bar.

Par contre, ceci n’affecterait que les cyclistes qui arpentent les pistes plusieurs heures par semaine. Les randonnées de montagne seraient encore plus dommageables.

Toutefois, certains confrères du professeur Schrader mentionnent que ce n’est que 5 % des cyclistes acharnés qui ont des risques de devenir impuissants avec le temps.