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4 % de la population du Québec seraient considérés comme dépendants

Radio-Canada rapporte une nouvelle étude québécoise qui affirme que 4 % de la population de la province seraient dépendants à quelque chose, que ce soit à une substance ou à un comportement.

350 000 personnes donc, si on fait le calcul, qui seraient aux prises avec une forme ou une autre de dépendance sur le territoire québécois, notamment aux drogues ou au jeu.

Si le nombre ne semble pas si alarmant, il n’en demeure pas moins que sur ces 350 000 personnes, seulement 55 000 auraient cherché de l’aide au cours de la dernière année, des statistiques qui semblent se répéter depuis un certain moment.

L’Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), qui publie l’étude, croit que les deux tiers de la population du Québec ignorent carrément qu’il existe des organismes et un réseau de soutien qui vient en aide aux personnes dépendantes, ce qui ajoute au problème.

D’autres auront du mal à accepter qu’il existe un problème dans leur comportement, alors que plusieurs seront envahis d’un sentiment de honte et seront gênés de demander de l’aide.

Les trois phénomènes peuvent être contrés par des efforts de sensibilisation, croit l’ACRDQ, comme l’instauration de la Semaine de prévention de la toxicomanie, qui s’entame ce lundi (18 novembre).

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Reclassification d’une grossesse considérée à terme

Auparavant, les médecins considéraient qu’une grossesse était à terme entre 37 et 42 semaines. Or, les résultats d’une nouvelle étude poussent les médecins à catégoriser le 3e trimestre en 4 phases :  avant terme, à terme, à terme « tardif » et après terme.

La recherche a démontré que l’augmentation des accouchements entre 37 et 38 semaines avait grimpé de 17 % en 1983 à 27 % en 2009, parce que les femmes « prévoient » leur date d’accouchement. Elles peuvent même prendre « rendez-vous » pour une césarienne. Cette planification nuit à l’enfant plus que ce que l’on croyait.

En effet, il a été déterminé que les enfants nés entre la 37e et la 38e semaine étaient plus souvent pris en charge aux soins intensifs, ceux-ci nécessitant notamment d’être branchés sur la respiration artificielle et/ou la médication intraveineuse.

Pour minimiser ces risques, comme l’indique Science World Report, il est donc fortement recommandé d’attendre entre la 39e et 40e semaine. La 41e semaine est considérée comme tardive, et au-delà, il s’agit d’une grossesse après terme.

L’étude est publiée dans la revue Obstetrics & Gynecology.

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Ces régimes ruinés par l’alcool

Le DailyMail (UK) rapporte des statistiques intéressantes concernant les régimes et ceux qui les suivent, et les conséquences d’une consommation d’alcool simultanée.

Un sondage réalisé par la firme Forza révèle qu’une bonne proportion de ceux qui tentent de perdre du poids en se mettant au régime ruinent leurs efforts en sortant le soir et en consommant trop d’alcool.

C’est quatre individus sondés sur dix, et ayant répondu oui à la question « Suivez-vous un régime? », qui admettent continuer de boire de l’alcool.

Le problème, c’est qu’une virée dans une boîte de nuit peut se transposer en plus de 1000 calories, ce qui peut contrer les effets d’un régime en un rien de temps. Plus du quart des répondants consommerait d’ailleurs le quart de leurs calories en alcool chaque semaine, un problème souvent mésestimé par les gens qui désirent perdre du poids.

De plus, il existe une corrélation claire entre faire la fête et sombrer dans la nourriture grasse et calorique par la suite, ce qui rend la statistique alors complètement catastrophique. 

Ce sondage confirme donc la vision d’une majorité de chercheurs et de spécialistes, qui conseillent justement de d’abord couper dans l’alcool lorsqu’une personne entame un régime!

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Le bonheur des hommes passerait par leur vie sociale

Un homme heureux est celui qui voit souvent ses amis, pourrait résumer la pensée de Robin Dunbar, de l’Université d’Oxford, qui publie une étude sur le lien entre le bonheur des hommes et leur vie sociale.

Les conclusions de Dunbar, rapportées par le Daily Mail (UK), parlent d’une nécessité pour l’homme de voir ses congénères plusieurs heures par semaine pour atteindre un certain niveau de bonheur, même si ces heures sont consacrées à ne pas faire grand-chose!

Ainsi, une bière dans un pub, pratiquer un sport ou simplement discuter de tout et de rien suffirait à augmenter le taux de bonheur masculin. Mais pour y parvenir, Robin Dunbar suggère un minimum de deux fois par semaine… et de quatre amis!

Selon ses observations, les hommes qui respectent ces critères sont globalement plus heureux que leurs homologues qui se limitent à une visite par semaine ou qui ont moins de quatre amis.

Malheureusement, un tiers des hommes répondants à l’étude affirment avoir du mal à se dégager pour avoir une vie sociale épanouie, souvent à cause du travail.

Danny Wallace, un écrivain qui commente la recherche de Dunbar, déclare en conclusion : « La science nous dit d’avoir plus de plaisir ensemble et de faire plus de choses. Ce sont d’excellentes nouvelles, et nous devons obéir à la science! »

Parions qu’une bonne quantité d’hommes seront d’accord et risquent de faire imprimer cette étude en guise de « passeport de liberté ».

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Le manque de sommeil n’est pas compensé par la grasse matinée du week-end

Dormir tard le samedi et le dimanche comporte ses bienfaits, mais ne parviendrait pas à compenser le manque de sommeil accumulé au fil de la semaine par les gens qui sont débordés, selon une étude rapportée par le Telegraph (UK).

L’étude américaine, menée par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie, constate que deux bonnes nuits de sommeil ne s’avèrent pas suffisantes pour récupérer adéquatement. Conséquemment, les personnes qui se privent de sommeil en semaine pour le rattraper le week-end s’exposeraient à plusieurs problèmes de santé, cognitifs et de performance.

« Deux nuits de récupération de sommeil ne seraient peut-être pas suffisantes pour annuler les déficits d’attention résultants d’un manque de sommeil. Ce comportement peut avoir des implications importantes pour les personnes qui travaillent dans des domaines critiques comme le milieu de la santé et du transport », met en garde le Dr Alexandros Vgontzas, spécialiste du sommeil.

Il est donc conseillé de ne pas sous-estimer l’importance de bonnes nuits de sommeil tout au long de la semaine ni les impacts négatifs à long terme d’une privation de sommeil sur la santé physique et mentale.

Un récent sondage sur les habitudes de sommeil dans le monde démontrait qu’une grande proportion de la population mondiale ne dort pas suffisamment, ce qui inquiète les spécialistes. 

 

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La nutrition en prévention du diabète : quelques trucs et conseils

Top Santé profite d’une semaine thématique pour publier certains trucs nutritionnels en prévention du diabète.

La maladie fait des ravages, et le type II, notamment, serait en hausse depuis quelques années, un phénomène associé à la montée fulgurante des problèmes de poids et de l’obésité en Occident.

Pour augmenter ses chances de prévenir le diabète, on suggère donc notamment de se tourner vers les joies de la salade, spécialement en début de repas. Le vinaigre serait aussi un précieux allié contre des taux de sucre trop élevés, alors la combinaison salade-vinaigre en début de repas (exemple : avant de manger des pâtes) serait très efficace.

On conseille ensuite de boire du café sans faire de culpabilité, puisque celui-ci est reconnu pour ses vertus préventives contre le diabète de type II.

Au final, on ne réinvente pas la roue, mais on ne rappelle jamais assez l’importance d’intégrer les légumes à son alimentation. Moins de viandes, donc, et plus de légumes, afin d’afficher des taux plus réguliers de sucre et aussi faire baisser les risques de développer du diabète, peu importe sa forme.

On rappelle également l’importance de bien dormir, soit au moins six heures par nuit!

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Plus de chance de survivre à son opération lors d’un jour ouvrable?

Santé Log rapporte un phénomène aussi surprenant qu’inquiétant, alors que des chercheurs britanniques affirment avoir décelé des variations de statistiques des chances de survie selon le jour d’une intervention.

Ainsi, les chercheurs de l’Imperial College croient pouvoir affirmer qu’il est plus risqué de se faire opérer durant le week-end. On parle même d’une hausse de 9 % des risques par jour, à mesure que la fin de semaine approche.

Les conclusions des chercheurs en tête de l’étude ont été publiées dans le fameux BMJ Open et risquent de faire jaser la communauté médicale ainsi que les patients.

Les raisons avancées pour expliquer « l’effet week-end » sont la réduction du personnel lors des fins de semaine en centre hospitalier, la baisse d’énergie et de concentration des médecins sur place, qui sont de surcroît souvent des praticiens avec moins d’expérience…

On croit donc que le lundi serait la journée idéale pour se faire opérer, alors que les chances de survie diminueraient à mesure qu’approche le vendredi.

Une équipe de médecins canadiens, basés à Toronto, vient de confirmer l’existence d’un « effet week-end », comme quoi le phénomène ne se limite pas à l’Angleterre.

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C’est la semaine nationale de la sensibilisation à l’infertilité

L’infertilité est un sujet que l’on devrait encourager dans les conversations. Trop peu de gens, encore aujourd’hui, comprennent à quel point cela affecte les individus, mais les couples et la famille également.

Comme le suggère She Knows, cette semaine, offrez un câlin à cette amie qui ne peut pas avoir une ribambelle d’enfants. Encouragez-la à partager ses sentiments. S’il le faut, rassemblez-vous, entre amies, et pleurez en partageant vos expériences si vous êtes plusieurs à souffrir de cette épreuve.

La semaine nationale de la sensibilisation à l’infertilité a commencé en 1989. Elle vise à encourager les gens à en parler, à comprendre les solutions offertes ou à simplement vivre avec leur condition.

Mais également, elle confronte les professionnels de la santé, le gouvernement, les compagnies d’assurance et les médias à faire face à l’infertilité. À considérer qu’il s’agit d’une grave condition qu’il ne faut pas ignorer.

D’autre part, RESOLVE, l’association nationale de l’infertilité, fondatrice de cette semaine, s’assure aussi d’apporter les outils et guides nécessaires aux gens infertiles.

Sachez que les données actuelles sont réellement alarmantes. C’est désormais 1 couple sur 6 qui est aux prises avec les problèmes d’infertilité… mais ces données n’incluent même pas ceux qui souffrent en silence et qui n’ont encore jamais osé en parler.

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Potins

Le fils d’Alicia Keys agace Jay-Z

C’est une histoire hilarante que celle de la rencontre des deux bambins respectifs d’Alicia Keys et de Jay-Z, alors que le premier semble déjà affectueux pour son âge, rapporte Music-News.

Lors du dernier week-end des étoiles de la NBA, à Houston, Keys et Jay-Z étaient tous deux invités avec leur progéniture. Alicia Keys devait interpréter l’hymne national, et le célèbre rappeur est un fan invétéré de basketball.

Lorsque les deux familles se sont finalement retrouvées côte à côte, le fils de Keys, Egypt, 2 ans, s’est permis de voler un baiser à la fille de Jay-Z, Blue Ivy, 1 an.

Un geste qui n’a pas plus à papa Jay-Z, qui n’a pas tardé à laisser savoir son opinion à son homologue, en lui disant de « surveiller son fils ».

Une scène somme toute plutôt drôle, croquée lors d’un week-end réussi pour la NBA.

Alicia Keys a par ailleurs déclaré qu’elle souhaite avoir d’autres enfants.

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Réduction du sel dans votre alimentation : le défi est lancé!

L’American Heart Association/American Stroke Association lance un défi aux Nord-Américains qui aimeraient tenter de réduire leur consommation de sel quotidienne.

On en parlait récemment, les études alarmistes concernant les quantités astronomiques de sel dans notre alimentation déferlent et nous lancent des signaux inquiétants.

Au lieu de poursuivre dans la même veine et de s’en tenir aux études et sermons, l’association américaine décide d’emprunter la voie de la proactivité, rapporte www.nlm.nih.gov.

Ainsi, elle lance le défi Sodium Swap Challenge, qui invite depuis hier (7 janvier) les Nord-Américains à traquer les aliments qui contiennent le plus de sel, ce que l’association appelle The Salty Six (Les Six Salés).

Ce dangereux sextuor comprend notamment les charcuteries, les pains, les pizzas, les frites et les aliments fabriqués en usine.

Le défi est simple : réduire à 1500 milligrammes maximum votre consommation de sel par jour. L’événement dure trois semaines, et il est possible d’échanger sur le Web vos impressions et anecdotes avec les autres participants au défi.

Le sel est défini comme l’un des principaux ennemis de la santé en Amérique, et les autorités en la matière urgent les citoyens à prendre des actions au quotidien.