Les Sénateurs d’Ottawa viennent tout juste d’octroyer un pacte d’un an et 7.35 millions de dollars à Mark Stone.
Un salaire qu’il mérite amplement, lui qui a récolté 62 points en 58 rencontres l’an dernier. Il s’impose comme le meilleur attaquant des siens depuis quatre campagnes. Donc, c’est un salaire honnête, mais un nombre d’années dérisoire. Par contre, il évite de se faire démolir lors de la séance d’arbitrage puisqu’il s’est entendu avant son rendez-vous.
Un contrat à court terme, pour un joueur qui méritait certes du long terme avec cette organisation-là. Une concession qui, d’ailleurs, en date d’aujourd’hui, n’a que trois joueurs sous contrat pour la campagne 2020-21. Parmi eux, on retrouve Bobby Ryan, Marian Gaborik et Zack Smith. Deux contrats, ceux de Ryan et Gaborik, qu’on ne veut même plus à travers la structure salariale.
Based on the current roster that we have displayed for the #Sens, the club only has three players under contract past the 2019-20 season.
F Bobby Ryan
F Marian Gaborik
F Zack SmithAs such, Ottawa only has $17,125,000 committed to the cap in 2020-21.https://t.co/xIbYAuYoMJ pic.twitter.com/bZzVMkamsg
— CapFriendly (@CapFriendly) August 3, 2018
Évidemment, les Sénateurs d’Ottawa demeurent la seule organisation à se retrouver avec seulement trois joueurs sous contrat en 2020-21. Ça démontre à quel point cette franchise est unique et particulière. Stone, Duchene et Karlsson deviendront agents libres sans compensation en 2019… s’ils ne décrochent pas un nouveau pacte d’ici là.
À titre d’exemple, le Canadien de Montréal a huit joueurs sous contrat en vue de la campagne 2020-21, ce qui n’est pas à négliger. Chez les Capitals de Washington, les derniers champions en titre de la coupe Stanley, nous retrouvons neuf joueurs avec un contrat valide pour la saison 2020-21. Même les Golden Knights de Vegas, un club d’expansion, se retrouvent devant les Sénateurs au chapitre de cette statistique, avec sept joueurs.
Un an et 7,35 M$ pour Mark Stone avec les Sénateurs https://t.co/FltzNFIlpN pic.twitter.com/kKouSeDsTa
— Radio-Canada Sports (@RC_Sports) August 3, 2018
Pierre Dorion et Eugene Melnyk forment un duo moribond, qui n’a aucune direction précise… T’sais, quand une concession doit composer avec un propriétaire comme Melnyk, ce n’est pas évident de faire avancer les choses et d’avoir une vision à moyen ou long terme.
En rafale
– Jason Botterill est en train de changer la mentalité et la culture du côté des Sabres de Buffalo.
Jeff Skinner’s willingness to waive no-trade is another sign of #sabres GM Jason Botterill’s mandate to change roster and culture of Buffalo franchise. "You want players who want to be in your city." My col: https://t.co/N0s1wiVRCP
— Mike Zeisberger (@Zeisberger) August 3, 2018
– Maudit que P.K. Subban a du plaisir dans la vie.
See what you’re doing to them @rjosi90 ?! #SubbanDefenceLeague #PKSF
– Patrice Bergeron a-t-il de trop grandes attentes?
Patrice Bergeron a de grandes attentes pour les ?@NHLBruins? la saison prochaine. On lui parle ce midi au ?@TVASports? pic.twitter.com/qNB6S5OblS
— Jean-Michel Bourque (@JMichelBourque) August 3, 2018
– Aleksander Barkov roulait trop vite…
Aleksander Barkov fined more than 46,000 euros for speeding in Finland. Not the first Finnish NHL player who has been hit with a huge fine. Leo Komarov had to pay over 35,000 euros few years ago. https://t.co/EcVaKto4Q0
— Sami Hoffrén (@shoffren) August 3, 2018
Nous avons tendance à sous-estimer la puissance de notre odorat, semble-t-il, si l’on se fie aux informations rapportées par The National Library of Medicine.
Une nouvelle étude contredit de précédentes recherches qui ont estimé que l’odorat humain pouvait discerner jusqu’à 10 000 odeurs différentes, concluant plutôt que nos capacités olfactives pouvaient plutôt s’étendre jusqu’à un trillion de possibilités.
« Il a souvent été dit que les humains ne pouvaient distinguer que 10 000 différentes odeurs », confirme le coauteur de l’étude, M. Andreas Keller, de l’Université Rockefeller de New York.
Or, si l’étude de Keller est juste et que nous sommes en mesure de discerner un trillion de variantes, il faudra alors considérer que l’odorat est un sens plus puissant que notre ouïe ou encore notre vue.
Pourtant, l’humain semble résolu à considérer son odorat moindre et à sous-estimer ce sens, souvent en se comparant aux capacités de certains animaux, par exemple.
« On a tendance à ne pas faire confiance à notre odorat parce qu’on est mauvais pour identifier et nommer des odeurs. Mais nommer et identifier ne sont pas les raisons pour lesquelles notre système olfactif a évolué. Au lieu de cela, il évolue pour nous permettre de discriminer des odeurs très différentes, comme le moindre indice qu’un aliment est périmé. Notre étude montre que nous sommes excellents à cette tâche », résume Andreas Keller.
Les résultats de cette étude sur l’odorat humain sont présentés dans le magazine Science.
L’histoire fait le tour du monde, alors qu’un amputé serait parvenu à retrouver le sens du toucher grâce à une nouvelle prothèse à la fine pointe de la technologie, rapporte The National Library of Medicine.
Il s’agit d’un Danois, Dennis Aabo Sorensen, qui avait perdu sa main gauche lors d’un accident survenu il y a près de dix ans. Sorensen aurait confirmé être en mesure de « ressentir » l’effet des objets placés devant lui, lors d’essais expérimentaux.
Le Danois devient donc le tout premier amputé au monde à profiter d’une telle « information sensorielle », croient les chercheurs qui dirigent ces recherches.
« Je pouvais ressentir les choses rondes, les choses dures et les choses molles. C’était vraiment génial, parce que je pouvais soudainement ressentir quelque chose que je n’avais pas ressenti depuis les neuf dernières années », lance Dennis Aabo Sorensen, visiblement ravi.
Pour parvenir à leurs fins, les chercheurs ont placé une électrode dans le bras du sujet, reliée à la main « bionique » installée. Il s’agit également d’une première, puisqu’aucune électrode n’avait jamais été implantée directement dans le corps d’un sujet pour stimuler son système nerveux.
Les observations et conclusions de ces essais ont été publiées dans le magazine Science Translational Medicine.
Le chanteur country Keith Urban, qui était aux prises avec des problèmes d’alcool et de drogue par le passé, a croisé le chemin de Nicole Kidman au bon moment. Dès son premier contact, en 2005, sa vie a été transformée.
Le juge d’American Idol a dévoilé au Daily Mirror : « Je ne dirai pas que c’est seulement un moment de changement dans ma vie. C’est plus que ça. C’est à ce moment que ma vie a commencé. C’est la seule façon dont je peux le décrire. Rencontrer Nicole a été aussi profond que ça pour moi ».
En fait, dès 2006, Urban est entré en centre de désintoxication et il a toujours dit que sans le soutien de Kidman, il ne serait jamais passé à travers. « Je me sens vraiment, vraiment choyé d’avoir rencontré quelqu’un d’aussi incroyable que Nicole », a mentionné l’artiste de 45 ans.
Le couple est en parfaite symbiose, comme le prouve Urban en parlant de leur relation, qu’ils ont bâtie ensemble, étape par étape. « Nous connaissons chaque partie de notre relation. C’est merveilleux. Nicole a écouté son cœur et a fait ce qu’elle croyait être le mieux. De voir ce genre d’amour en action constante, ça me donne envie d’être un homme meilleur. »
Keith Urban et Nicole Kidman vivent en ce moment à Nashville, au Tennessee, avec leurs deux charmantes petites filles, Sunday Rose, âgée de 4 ans, et la petite dernière nommée Faith, qui a 2 ans.
Un bébé qui pleure sans arrêt et qui devient rigide dès qu’on le prend, un enfant qui pique une crise parce qu’il porte un chandail de laine ou un adolescent qui se renferme et devient incapable de participer à un sport quelconque… Il se peut que ces crises soient le reflet de préférences personnelles, mais il peut être utile de pousser la réflexion plus loin. Il se pourrait qu’il s’agisse d’un désordre du système d’intégration sensoriel.
Nos 5 sens, qui agissent à priori pour nous prévenir d’un danger potentiel (odeur de fumée, frisson, chaleur trop intense), peuvent être dysfonctionnels et puissants. C’est encore plus vrai lorsque nos périodes aux aguets se prolongent, créant une anxiété injustifiée et le retrait de tout contact avec les situations qui déclenchent ces crises sensorielles.Selon independent.ie, cette théorie est de plus en plus répandue depuis son avènement, proposé par Jean Ayres dans les années 1960. Le désordre d’intégration sensorielle se manifeste dès la jeune enfance et peut s’accroître avec les années. Une technique de « pressothérapie » a été développée depuis, mais nécessite une application rigoureuse (chaque 2 heures) pendant une période déterminée.Bien que des recherches scientifiques n’aient pas encore prouvé le fondement et l’existence réelle de ce désordre, de plus en plus de thérapeutes s’entendent pour dire qu’il est à l’origine de plusieurs comportements dépressifs.Le festival Sennheiser Soundfest, mis sur pied l’an dernier, avait connu un tel succès que son retour était déjà assuré.
Pour son édition 2009, le Sennheiser Soundfest accueillera le Pascale Picard Band, Les Trois Accords, Lulu Hugues Big Band, The New Cities, SENS, Grand Life, Everything After Zero, Les Porn Flakes et leurs invités : Marie-Chantal Toupin, Andrée Watters, France D’Amour, Stefie Shock et Anik Jean.
Présenté ce soir (14 septembre) au Métropolis de Montréal, le festival sera animé par le coureur automobile Alexandre Tagliani, la recrue par excellence de la dernière édition de l’Indianapolis 500, l’une des courses les plus prestigieuses de la planète.
On y annoncera également le gagnant du concours GARAGE BAND qui récompense un artiste ou un groupe inconnu des réseaux de distribution conventionnels. Cette portion du festival est parrainée par Jeff Stinco de Simple Plan.
Le tout commencera à 18 h alors que seront annoncés les gagnants du Sennheiser Soundtour, une webréalité opposant 2 équipes qui ont parcouru le Canada et les États-Unis afin de faire découvrir la marque Sennheiser.
CatégoriesToucher pour mieux apprendre
Selon une équipe de chercheurs associés au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), apprendre à lire serait plus facile lorsque l’on combine les sens de la vue, de l’audition et du toucher.
L’étude a été menée auprès de 30 adultes, chez qui on a mesuré la capacité d’apprentissage en fonction de deux méthodes, soit celle où seuls les yeux étaient sollicités et l’autre, appelée multisensorielle, qui fait appel au toucher et à la vision.
L’auteur derrière ces résultats, le chercheur Édouard Gentaz, souhaite maintenant effectuer des recherches avec imagerie par résonance magnétique afin de vérifier quelles zones du cerveau sont stimulées lorsqu’il y a lecture multisensorielle. Selon lui, cette nouvelle méthode pourrait faciliter aussi l’apprentissage d’une nouvelle langue.