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Les prothèses contrôlées par la pensée désormais sur le marché

Relevant autrefois davantage de la science-fiction, il est désormais possible pour l’homme de faire bouger une prothèse par la pensée, et il pourra bientôt ressentir des sensations à l’aide de celle-ci.

Des membres robotisés pour les individus amputés seraient intégrés aux os, muscles et nerfs. Les électrodes neuromusculaires permettent au cerveau d’adapter les mouvements de la prothèse, selon que la personne manipule des oeufs ou pousse une tondeuse, par exemple.

Science World Report mentionne qu’un homme a eu la chance d’en faire l’essai dans la vie de tous les jours en Suède. Le scientifique Max Ortiz Catalan explique que la fusion entre la robotique et le corps humain a atteint de nouveaux niveaux : « Cela crée une union intime entre le corps et la machine; entre la biologie et la mécatronique ».

La seule chose qu’il manque, à l’heure actuelle, est la sensation. « Le retour sensoriel intuitif est essentiel pour interagir avec l’environnement », ajoutent les chercheurs. « Nous y travaillons et avons bon espoir de l’intégrer d’ici peu. »

La recherche a été publiée dans la revue Science Translational Medicine, et une vidéo de la prothèse peut être visionnée ici.

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Un cannabis nouveau genre uniquement thérapeutique

La société israélienne Tikkun Olam a réussi à créer un cannabis uniquement thérapeutique.
 
Il a le même goût, la même forme, la même odeur ainsi que les mêmes effets thérapeutiques que le cannabis classique, mais les effets euphorisants ont été supprimés, indique le journal Innovation.
 
Habituellement, le cannabis est composé de deux principaux éléments, le cannabidiol (CBD) et le tétrahydrocannabinol (THC). Ces deux éléments ont des effets totalement opposés. Le premier peut soulager les symptômes de nombreuses maladies, comme le cancer, et le second provoque l’euphorie ou le calme.
 
Les chercheurs sont parvenus à réduire les effets du THC, mais à augmenter ceux du CDB.
 
Cette avancée pourrait ainsi ouvrir la voie à une utilisation plus vaste du cannabis à des fins thérapeutiques. Sans les effets euphorisants, il conviendrait à un plus grand nombre de patients, et les gouvernements seraient probablement plus enclins à permettre leur usage médical.

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L’amour chez les enfants

À quel âge un bambin peut-il tomber amoureux? Il semblerait que dès la maternelle, une sensation forte peut se produire entre deux petits êtres qui partagent la même classe ou le même autobus…

Trop jeunes, diront certains parents, perplexes devant la situation. Selon un article en ligne du journal Le Parisien, il faut savoir quand prendre les choses à la légère et au sérieux. Selon les divers âges, le quotidien donne des trucs.

Des émotions amoureuses avant l’âge de trois ans, il n’est pas rare d’en voir se traduire sous forme de bisous sur la joue et de main dans la main chez plusieurs bébés. Toutes les techniciennes en service de garde peuvent en témoigner, mais à cet âge, le geste demeure touchant et drôle.

De trois à six ans, l’amour part et revient. En une minute, si une activité plus intéressante que l’amoureux(euse) est proposée, les enfants oublient rapidement pourquoi leur cœur palpite. Toutefois, c’est à 6 ans que le tout devient plus officiel. « Julien est MON amoureux! » est crié dans la cour d’école. Les parents ne doivent pas en faire un plat.

De 6 à 8 ans, place aux larmes et au chagrin. Pour le parent, il ne faut pas se moquer ni se mêler de ce qui ne vous regarde pas. Il faut plutôt être à l’écoute sans forcer votre petit à se confier, car il s’agit peut-être là du premier grand amour. Même s’il n’y a encore rien de charnel, les déceptions et les scénarios tordus de peine d’amour se font déjà bien vivants.

De 9 à 12 ans, c’est le secret absolu. Les baisers sont rares, voire inexistants. Les filles rougissent à la vue de leur âme sœur et partagent leurs émotions dans un journal intime. Les garçons font les durs à cuire et font semblant de ne pas s’intéresser à la gent féminine.

Et arrive l’adolescence où tout rejaillit avec la puberté, les comptes Facebook et la curiosité de la sexualité.

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Pour ou contre la tétine?

Selon Le Parisien, certains spécialistes seraient inquiets quant à l’usage de la suce chez les bébés. 

Bien qu’il soit courant (7 bébés sur 10 ont une tétine), il pourrait mener à certains problèmes s’il est prolongé.

Il faut dire que de nombreux enfants ont une suce jusqu’à trois ou quatre ans. Pourtant, passé six ou sept mois, celle-ci ne devrait servir qu’à endormir le tout-petit.

Un emploi trop long et excessif pourrait entraîner un mauvais développement de la mâchoire.

Des problèmes de diction pourraient aussi être encourus. La raison en est que l’enfant s’habituerait à parler avec un objet en caoutchouc dans la bouche.

Finalement, la suce renverrait continuellement l’enfant de trois ans à des sensations liées au moment où il était un bébé, alors qu’on l’encourage le plus souvent à agir comme un grand, rendu à cet âge.

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Les boissons gazeuses provoquent des sensations douloureuses

Alors que des recherches datant de 1885 affirmaient que les bulles des boissons gazeuses aidaient à freiner la croissance des bactéries, une nouvelle étude démontre qu’elles provoquent aussi des sensations douloureuses.
 
Le Journal of Neuroscience rapporte une étude, dirigée par Emily Liman de l’Université Southern California, qui mentionne que les bulles de ces boissons peuvent provoquer des douleurs corporelles comme le font la moutarde et le raifort.
 
Apparemment, le corps traite les boissons gazeuses comme il le fait avec le wasabi, fréquemment offert avec les sushis.
 
« La carbonisation évoque deux sensations distinctes. Cela rend les choses amères et brûlantes. Nous avons tous ressenti une sensation de picotement lorsqu’on avale un soda trop rapidement. Mais nous ne savions pas quelles cellules et quelles molécules dans ces cellules étaient responsables de la sensation de douleur que l’on ressent lorsqu’on boit un soda. La sensation de brûlure vient d’un système de nerfs répondant aux sensations de douleur dans le nez et la bouche », explique Emily Liman.