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Sport et Santé

Montrez-moi votre démarche, je vous dirai ce que vous ressentez

L’exercice a des conséquences positives, tant sur le plan physique que mental. Toutefois, la façon dont vous marchez aurait aussi son influence sur votre humeur.

Si votre démarche est assurée avec les épaules derrière, vous ajouterez une touche de gaieté à votre humeur, alors que l’affaissement des épaules vous entourera d’une aura de tristesse.

« Il n’est pas surprenant que notre humeur, la façon dont nous nous sentons, affecte la façon dont nous marchons, mais nous souhaitions voir s’il était possible de faire l’effet inverse. »

Nikolaus Troje de l’Université Queen et son équipe ont fait lire des mots positifs et négatifs aux participants de l’étude. Ils ont ensuite demandé au premier groupe de marcher les épaules voutées, notamment, puis à l’autre groupe d’adopter une démarche très assurée.

Au terme de l’exercice, ceux qui avaient une démarche « triste » se rappelaient plutôt les mots négatifs, alors que l’inverse était observable chez le groupe à la démarche « joyeuse ».

Comme le rapporte Science World Report, ce simple changement de démarche, selon les chercheurs, pourrait représenter un « outil thérapeutique efficace pour aider les patients dépressifs ».

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Quoi faire des jouets devenus inutiles?

Bien sûr, comme le rappelle Parenting Squad, ce ne sont pas que les enfants qui ont un attachement à leurs jouets. Les parents aussi, puisqu’on se rappelle qui les a offerts en cadeau et à quel point notre enfant a des souvenirs associés à ceux-ci. Mais on ne peut pas tout conserver.

À priori, si vous êtes incapable de mettre vos sentiments de côté, demandez à votre partenaire de vous aider à faire le tri. Ne conservez que les jouets qui signifient réellement quelque chose, pourvu qu’ils ne prennent pas trop d’espace.

Le tri

Faites 4 piles différentes. Celle que vous conservez (qui devrait être la plus petite), celle des dons aux enfants démunis, les jouets à vendre, et ceux à jeter (brisés ou trop de pièces manquantes).

La vente

Il n’y a plus que la vente-débarras qui fonctionne bien de nos jours. Il y a des sites en ligne, comme eBay et Kijiji qui sont très utiles pour faire des sous sans trop d’efforts.

Les dons

Pensez d’abord à vos amis et à la famille! Ils seront heureux d’avoir de nouveaux jouets, et peut-être même que vous pourrez faire des échanges, ce qui rendra votre enfant tout aussi joyeux.

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Le sentiment de contrôle pourrait bien allonger votre espérance de vie

Les gens en contrôle, ou qui ont le sentiment de contrôle, sur les événements et éléments de leur vie pourraient bien bénéficier d’une espérance de vie plus longue que les autres, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude trace en effet un parallèle entre la longévité et l’attitude affichée par un individu au cours de sa vie, un constat qui n’est pas relevé pour la toute première fois par des chercheurs et spécialistes.

« La santé et la longévité ne sont pas dues qu’à un accès aux soins de santé. L’attitude fait une différence. Comment vous construisez votre attitude et relevez les défis détermine si vous prenez action ou si vous abandonnez, et si vous vous sentez stressé ou motivé. Les personnes avec un fort ou faible sens du contrôle vont percevoir la même situation différemment, que ce soit comme un stress ou comme un défi à relever », explique Margie Lachman, professeure en psychologie.

L’étude parle cependant des personnes sans éducation postsecondaire, étrangement, qui jouiraient au départ d’une moins grande espérance de vie.

Les conclusions de ces recherches vont donc de pair avec de précédentes, qui établissaient elles aussi un lien entre l’attitude, le moral et la longévité.

Les résultats de l’étude fondée par le NIH ont été publiés dans la plus récente édition du journal Health Magazine.

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Éduquons nos enfants à grandes doses de compassion et d’empathie

Selon SheKnows, il est possible de renverser la vapeur. La bonne nouvelle, c’est que l’empathie et la compassion sont des sentiments innés, même chez les enfants d’âge préscolaire.

L’empathie, c’est la capacité à se mettre à la place de l’autre pour comprendre ce qu’il vit. Quant à la compassion, c’est une réponse émotionnelle générée par la souffrance d’autrui, et le fait de vouloir aider cette personne.

Comment y arriver?

– Donner l’exemple. Faire du bénévolat avec son enfant, afin qu’il comprenne que de nombreuses personnes sont moins bien nanties, est un excellent moyen de développer ces valeurs.

– Utiliser les passions et intérêts de l’enfant, pour développer le sens du don de soi et du partage. Par exemple, si l’enfant adore les petites voitures, expliquez-lui que les autres n’ont pas tous la chance d’en avoir et suggérez qu’il fasse don à d’autres enfants.

– Partagez des histoires vécues. Qu’elles proviennent de votre passé, vos amis, vos voisins, d’un livre, un documentaire, plutôt que de toujours raconter des contes de fées, sensibilisez votre enfant aux histoires vécues d’entraide et de partage.

– Écoutez ensuite vos enfants. Ils finiront inévitablement par suggérer d’aider un ami, un voisin, des animaux, etc. Ouvrez-vous à leurs suggestions. C’est votre implication qui fera toute la différence.

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Les parieurs sportifs misent surtout sur leur sens du contrôle

Voici une étude fort intéressante qui se penche sur le dossier des paris sportifs, mais surtout sur ceux qui alimentent cette machine de plusieurs millions, voire de milliards de dollars.

Qu’ils soient légaux ou non, les paris sportifs sont présents depuis la nuit des temps et ne risquent pas de disparaitre de sitôt. Selon les révélations proposées dans cette nouvelle étude, rapportée par The National Library of Medicine, on apprend que les parieurs ne misent peut-être pas sur la bonne notion…

En effet, selon les chercheurs de l’Université de Tel-Aviv, les parieurs croient à tort que leurs connaissances et leurs expériences dans le domaine sportif sont un gage de « contrôle ».

Ce serait d’autant plus vrai au basketball, qui vit maintenant l’une de ses grandes périodes annuelles grâce à la fameuse March Madness (folie de mars). Plusieurs parieurs, obsédés par le basketball ou ayant de l’expérience dans ce sport, croient qu’ils peuvent prédire facilement l’issue des matchs.

« Les parieurs sportifs semblent croire qu’ils sont personnellement les plus malins de tous les parieurs », lance le professeur Pinhas Dannon, participant à l’étude.

Après des analyses poussées effectuées auprès de 53 parieurs sportifs, les résultats démontrent que l’impression de « contrôle » ressentie n’est qu’une pure illusion.

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A-t-on réellement un 6e sens ?

Ce sixième sens en question nous permettrait de percevoir inconsciemment une réalité, une menace ou un danger.

L’expérience rapportée par le Current Biology montre que le sentiment de peur serait présent même s’il n’y a aucune menace consciente.

Deux visages de peur ont été montrés à 38 personnes ayant en moyenne 24 ans. Celles-ci ne voyaient les visages que d’un seul œil et parfois on leur donnait une petite décharge électrique au même moment. Mais la moitié du groupe pouvait voir des images distrayantes de leur autre œil en même temps.

Pour mesurer le sentiment de peur, les scientifiques ont mesuré la sueur au bout des doigts des participants. Le sentiment de peur était présent chaque fois qu’un des visages était montré et il se produisait la même chose avec les images distrayantes.

Ainsi, même en l’absence de décharge, donc en l’absence de menace consciente, le sentiment de peur demeurait présent. Seulement, il s’estompait plus rapidement chez les participants qui avaient aussi regardé des images plus distrayantes.

Cette découverte mène non seulement à une meilleure compréhension de nos réactions face aux dangers, mais pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements des stress post-traumatiques et des troubles anxieux.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Découverte concernant la pensée subjective

Des chercheurs américains ont découvert que la pensée subjective permet de ressentir des effets d’une chose que l’on désire, même si on ne la possède pas réellement.
 
Selon le Psychological Science, penser à une chose ou une situation précise nous permet d’en ressentir les effets.
 
« Nous nous sommes rendu compte que les effets de la suggestion étaient beaucoup plus surprenants que nous le pensions », mentionne la chercheuse Maryanne Garry.
 
Ce mécanisme est appelé celui de la « réponse attendue ». En termes clairs, lorsque nous nous attendons à un résultat en agissant d’une façon, ce résultat se produit.
 
« Si nous pouvons exploiter le pouvoir de la suggestion, nous pourrons améliorer la vie des gens », ajoute-t-elle.
 
De nombreuses études demeurent à être effectuées sur le sujet pour tenter de mieux comprendre ce phénomène qui s’apparente un peu à l’effet placebo.
 
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Les bébés éveillent des sentiments insoupçonnés chez les hommes

Pour les hommes, l’amour donne l’envie d’avoir un enfant. Des chercheurs de l’Université Bar-Ilan, en Israël, ont publié dans la revue Biological Psychiatry des résultats surprenants au sujet de la réaction de certaines régions du cerveau lorsqu’il est question de parentalité.
 
Il semblerait qu’à la vue d’un bébé, certaines zones soient davantage activées chez les hommes récemment amoureux plutôt que chez les célibataires et les femmes.
 
On a compté 65 personnes qui ont participé aux tests. Parmi eux, des couples de jeunes parents, des amoureux et des célibataires ont été soumis à l’électroencéphalographie (une technique permettant de mesurer l’activité électrique du cerveau) pendant qu’on leur montrait des photos d’enfants. Les bébés des couples de parents y figuraient également, décrit le site Futura-sciences.
 
Les chercheurs ont noté que les amoureux et les couples ont réagi davantage que les célibataires à la vue des nourrissons inconnus, puisque les électroencéphalogrammes montraient que les régions du cerveau impliquées dans la parentalité (noyau accumbens, cortex cingulaire antérieur ou amygdale) avaient une activité électrique plus intense.
 
Sans l’ombre d’un doute, cette activité s’accentuait plus encore lorsque les parents étaient devant une photo de leur nouveau-né.
Une étude plus globale exécutée sur un plus grand nombre de personnes permettrait de confirmer ou d’infirmer ces données.
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Jouer de la musique pour vaincre la dépression

Les bienfaits de la musicothérapie se confirment une fois de plus avec cette nouvelle étude parue dans le British Journal of Psychiatry.

 

Cette fois, on remarque que les personnes qui ont joué de la musique parviennent mieux à surmonter leur dépression.

 

79 personnes âgées entre 18 et 50 ans et souffrant de dépression ont participé à cette recherche.

 

46 candidats ont reçu des antidépresseurs et des séances de psychothérapies usuels, alors que 33 d’entre eux ont eu 20 séances de musicothérapies. Durant ces séances, ils étaient invités à jouer du tambour ou autres instruments comme le xylophone.

 

Les personnes qui se sont adonnées à la musique avaient moins de symptômes de dépression et moins d’anxiété que celles qui ont reçu la thérapie traditionnelle.

 

On croit que jouer d’un instrument aide à exprimer ses émotions, tout en demeurant une activité agréable.

 

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Comment les aliments gras agissent-ils sur le cerveau?

C’est prouvé depuis longtemps qu’il existe un lien entre l’état émotionnel d’une personne et sa consommation d’aliments. En effet, lorsque nous nous sentons surmenés et stressés, nous avons plus tendance à opter pour du chocolat que pour une pomme. Ces aliments nous réconfortent.
 
Selon les chercheurs de l’Université Louvain en Belgique, ces aliments agissent en effet comme réconfortants.
 
Ils ont mesuré les changements produits dans le cerveau quand une personne est triste. Lorsqu’ils ajoutaient des matières grasses dans l’estomac de la personne, cela diminuait la réponse des cellules nerveuses du comportement et des émotions tristes.
 
Ce processus a donc une implication importante dans un large éventail de problèmes, dont au niveau de l’obésité, des troubles alimentaires et de la dépression, rapporte le Journal of Clinical Investigation.