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Test: quel est votre niveau de bonheur actuel?

Chacun a sa propre conception du bonheur, mais tout le monde aspire à être heureux. Comment allez-vous en ce moment? Quel est votre niveau de bonheur actuel?

Voici une image qui pourrait vous le dire.  Il vous suffit de la regarder un peu. Ensuite, lisez l’interprétation associée au choix de votre subconscient.

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Si vous avez vu la mouche:

On dirait que votre niveau de bonheur est élevé. Vous ressentez un certain contentement votre vie actuelle.

Vous savez que vous avez travaillé très dur pour être la personne que vous êtes aujourd’hui. Vous vous êtes donné.e corps et âme pour arriver à mener ce train de vie, et vous ne le regrettez pas. 

Vous êtes une personne  très optimiste et vous arrivez toujours à garder le sourire, peu importe les défis que vous devez traverser.

Lorsque les autres se sentent au plus bas, vous savez trouver le côté positif des choses. Selon vous,  tout arrive pour une raison. Vous voyez que si vous n’obetnez pas ce que vous désirez dans l’immédiat, c’est que quelque chose de mieux viendra pour vous. bien valable. 

Votre optimisme a un très grand impact les gens qui vous entourent. Votre belle vision de l’existence influence autrui positivement.

Votre persévérance et votre endurance inspirent les gens.

Au boulot, on vous fait totalement confiance quand vient le temps d’effectuer une tâche difficile. On sait aussi que vous faites preuve de méticulosité et que vous soignez chaque détail.  Vous mettez votre coeur dans tout ce que vous entreprenez. Ce ne sont que quelques-unes de vos qualités, mais jamais vous ne vous en vantez. 

Vous êtes humble. Pour vous, l’orgueil ne mène qu’à la chute.

Pour que votre bonheur actuel perdure, on vous conseille devons tentez d’avantage sur vous-même. Vous avez accordé beaucoup d’importance à vos aspirations professionnelles, mais il serait bon que vous donniez la même attention à vos projets personnels.

Vos rêves et vos ambitions méritent que vous vous y concentriez. Vous pouvez travailler pour les obtenir. Vous devez savourer le présent, mais ne négligez pas votre avenir.

Si vous avez vu le violon:

En ce moment, votre niveau de bonheur est assez bas… La vie que vous menez actuellement ne vous rend pas épanoui.e.

Quelque chose vous manque pour « restaurer » e stabiliser votre félicité.

Vous vous absorbez dans  votre travail et votre vie est  trop routinière. Cela vous affecte beaucoup plus que vous ne le croyez et vous perdez goût à vos passions.

Vous oubliez de vous impliquer suffisamment dans ce que vous aimez faire et vous passez moins de temps avec les êtres qui vous sont chers.

On vous suggère de reprendre contact avec ces personnes importantes dans votre vie. Car la solitude vous consume peu à peu.

Prenez une pause et passez des moments de qualités avec les gens que vous aimez. N’ayez pas peur de les déranger! Les gens qui tiennent à vous apprécieront votre présence. Certains ne font que vous attendre! Contactez-les!

 Vous pourrez ainsi vous ressourcer et retrouver, doucement mais sûrement, le goût du bonheur. 

Il serait aussi bon pour vous de voyager et de découvrir de nouveaux horizon, de vivre des expériences nouvelles. Un voyage vous aidera à sortir de votre zone de confort et à vous connaitre mieux.

Ne serait-ce qu’un week-end vous aidera à revenir transformé.e et inspiré.e!

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Quand votre mariage est viable uniquement pour vos enfants

Dre Nancy Buck, psychologue, écrivaine et enseignante spécialisée dans le développement de l’enfant et le rôle des parents, a discuté avec SheKnows.

Il va de soi qu’un couple heureux transmet des valeurs de sécurité, de protection, de stabilité et d’amour à ses enfants. Sachez que même si vous vous séparez en toute amitié, ces sentiments seront ébranlés chez les jeunes.

Cependant, si votre couple ne va pas bien, malgré tous vos efforts, vos enfants peuvent ressentir d’autres tourments.

– Ils ressentiront que vous « jouez » au couple heureux et éprouveront souvent une grande détresse intérieure.

– Ils peuvent tenter de prendre le rôle du parent et essayer de sauver le mariage en étant sensibles à vos émotions. Ce comportement nuira à leurs relations futures.

– Il peut se développer un sentiment de malhonnêteté, de trahison, parce que les parents disent que les choses vont bien, alors que c’est tout le contraire.

– Les enfants perçoivent leurs parents comme des modèles à suivre. Une relation malsaine renvoie le mauvais message et peut troubler les futures relations amoureuses des enfants.

N’hésitez surtout pas à demander l’avis d’une personne extérieure à votre situation, de préférence un spécialiste.

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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Aidez vos enfants à passer au travers de l’anxiété lors d’un divorce

Le terme médical exact est le trouble d’anxiété de séparation. Il s’agit d’une détresse extrême ressentie par l’enfant lorsqu’il est séparé de quelqu’un qui lui est cher, notamment le père ou la mère.

Tous les enfants ressentent à un moment ou un autre de l’anxiété. Cependant, dans ce cas-ci, on parle de cas extrêmes. L’enfant refuse de dormir seul, de ne pas être à la vue de ses parents, ou pire, refuse catégoriquement d’aller à l’école.

Avant de sauter aux conclusions, lorsque des symptômes de stress élevé se manifestent, intégrez ces conseils, indiqués sur Psychology Today :

– Conservez une routine, c’est crucial.

– Respectez les sentiments, même exagérés, de vos enfants.

– Essayez de découvrir le catalyseur de son anxiété.

– N’attendez pas trop longtemps avant de demande de l’aide. Soyez humble.

– Demeurez calme lorsque vous dites au revoir pour le weekend. Votre état d’âme est important pour le réconfort de votre enfant.

– N’hésitez pas à faire usage de médication. Elles sont efficaces, et considérez que c’est temporaire.

– Chaque fois qu’un épisode de séparation se passe bien (école, weekend, etc.), utilisez le renforcement positif.

– Éliminez les films ou séries télévisées effrayantes. Votre enfant est déjà fragile. Ces images pourraient accentuer ses cauchemars.

Finalement, n’oubliez pas de demander de l’aide ou du soutien pour vous-même. Il ne faut pas oublier que vous vivez aussi un stress considérable.

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Les pas à franchir pour accepter l’infertilité

Plurielles nous informe du cheminement à parcourir pour franchir l’étape ultime d’acceptation de l’infertilité. Parce qu’elle nous touche en tant que couple, mais également en tant qu’individu.

La prise de conscience – Ainsi, la femme infertile se sent incomplète si elle ne peut procréer, alors que l’homme remet sa masculinité, sa virilité et sa puissance sexuelle en question. C’est une étape qui, bien souvent, mène à la rupture du couple.

Des montagnes russes émotionnelles – La femme vit l’infertilité comme une trahison de son corps. Entre la colère, la culpabilité, le sentiment de révolte ou d’impuissance et la jalousie face aux femmes qui sont mères, il faut savoir consulter avant de sombrer dans la dépression.

L’annoncer à nos proches – Préparez-vous à une empathie qui peut vous rendre mal à l’aise et des conseils que vous ne souhaitez pas avoir. Mais malgré tous les jugements, il s’agit d’une étape supplémentaire vers l’acceptation.

Alternatives – Vous tournerez-vous vers l’adoption ou un traitement médical assisté? Abandonnerez-vous simplement? L’important, c’est que la décision soit prise par les deux partenaires. Sachez d’autre part que peu importe l’alternative, c’est un processus très exigeant.

Dans le cas du renoncement – C’est une décision qui peut être très longue. Quoi qu’il en soit, elle doit être bien claire, exprimée tant par l’un que l’autre partenaire, et bien souvent, assistée en thérapie. L’important, c’est de ne pas avoir de regret.