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Roch Voisine aborde ses sérieux problèmes de santé

Roch Voisine était invité sur le talk-show Ça finit bien la semaine pour parler de sa tournée Hélène 35. Bien que ce spectacle ait suscité beaucoup d’attente, il a dû être reporté en raison d’une grave infection à l’oreille dont souffrait le chanteur.

Sur le plateau, Roch Voisine est revenu sur son intervention d’urgence, dû à ce problème qui était plus grave et potentiellement bien plus dangereux que ce que la star et ses médecins le croyaient.

« J’ai eu une infection à l’oreille, ils ont été obligés de m’opérer. Un streptocoque A à l’oreille et puis quand ils sont allés voir à l’intérieur, j’avais un autre problème potentiellement très dangereux. C’est que j’avais une fissure au niveau du cerveau. Donc ça aurait pu monter… j’ai été vraiment chanceux (…)», témoigne Roch.

Capture TVA

C’est par la suite qu’il a révélé devoir composer avec des séquelles, pas seulement dues à ce problème de santé, mais aussi à sa longue carrière.

«Mais, as-tu eu peur que ça affecte…?», voulait alors savoir la coanimatrice Julie Bélanger.

Caoture TVA

« Bien, j’ai eu peur. Honnêtement, j’entends moins bien de l’oreille gauche. Je suis déjà un peu malentendant, parce qu’on a tellement fait de musique avec ce qu’on appelait à l’époque les wedges (…) Ça, ça nous pétait les oreilles pas à peu près quand le monde criait (…) Moi, j’ai des appareils, mais je peux faire des concerts, j’entends le monde, j’entends la musique pareil. C’est juste gossant, pour l’instant. J’espère que ça va s’améliorer», termine le chanteur sur ces problèmes qui persistent.

Capture TVA

Nous lui souhaitons le meilleur pour la suite!

Pour vous procurer des billets du spectacle Hélène 35, rendez-vous sur le site officiel de Roch Voisine.

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Les séquelles psychologiques chez les survivants de cancers pédiatriques

Des chercheurs de Hong Kong ont analysé les données provenant de 137 enfants et jeunes âgés de 9 à 16 ans, qui avaient reçu un traitement pour un cancer au moins six mois auparavant (la leucémie dans 79 % des cas).

Des enfants en santé ont également été recrutés pour former un groupe de contrôle. Tous ces enfants ont complété des auto-évaluations concernant la dépression et l’estime de soi.

Plus de la moitié (52,6 %) des enfants ayant eu un cancer rapportaient un niveau de dépression qui dépassait le seuil clinique et qui était beaucoup plus élevé que celui des enfants en santé. La dépression semblait plus élevée chez les enfants plus jeunes, que chez les adolescents. Le niveau d’estime de soi des enfants survivants était aussi plus bas que celui des individus du groupe de contrôle.

Parmi les symptômes problématiques rapportés par les survivants au cancer, beaucoup d’enfants ont dit souffrir de fatigue, de pertes de mémoire, de mauvaise concentration, d’absence de bien-être et d’intolérance à des activités. Les enfants ont aussi affirmé qu’ils éprouvaient beaucoup d’incertitudes et de craintes, rapporte Medscape.

 

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Morgan Freeman conserve des séquelles de son accident

Morgan Freeman n’a jamais guéri complètement après son accident de voiture survenu en août 2008.

 

L’acteur, oscarisé et de nouveau mis en nomination cette année pour avoir incarné Nelson Mandela dans le film Invictus, demeure paralysé de la main gauche.

 

« J’ai subi des lésions nerveuses et ça ne s’est pas amélioré. Je ne peux pas la bouger », a-t-il déclaré à People lors de la présentation d’un documentaire sur son ami Clint Eastwood à Los Angeles.

 

« Si vous ne bougez pas votre main, elle enflera. Saviez-vous que vous bougez votre main un million de fois par jour? », ajoute l’acteur de 72 ans.

 

Morgan Freeman avait perdu le contrôle de son véhicule, qui avait dévié de sa route en fin de soirée dans le Mississippi. La voiture avait fait plusieurs tonneaux. Les secouristes avaient dû avoir recours aux pinces de survie pour sortir l’acteur de sa fâcheuse position. Il avait ensuite été transporté à l’hôpital le plus proche par hélicoptère. Morgan Freeman était demeuré quelques jours hospitalisé dans un état grave.

 

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Séquelles permanentes après un traumatisme crânien

Des chercheurs québécois affirment que les conséquences d’un traumatisme crânien sont toujours présentes chez certaines personnes, même après une guérison que l’on croyait complète.

Selon l’étude publiée dans les Archives of Physical Medicine and Rehabilitation, le professeur Bradford McFadyen et ses étudiants ont comparé la mobilité de 11 personnes qui ont eu un traumatisme crânien à sept autres personnes n’ayant aucun problème neurologique.

Pour les situations sans obstacles ni interférences sensorielles, il n’y avait pas de différences entre les deux groupes. Les capacités locomotrices étaient semblables, mais durant des tests avec obstacles ou interférences sensorielles, ceux ayant eux un traumatisme crânien ralentissaient leur vitesse et augmentaient leur temps de réponse. De plus, la distance entre leur pied et l’obstacle à enjamber était moindre que chez les personnes n’ayant aucun problème neurologique.

Cela suggère que même après une guérison dite complète, les victimes de traumatismes garderaient certaines séquelles. Ce fait est important pour les personnes qui travaillent dans des milieux plus complexes comme des usines, des transports en commun ou encore qui pratiquent des activités intenses comme le sport.

Au Québec, plus de 5000 personnes sont victimes d’un traumatisme crânien chaque année et 40 % surviennent lors d’accidents de la route.

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Les séquelles du cancer à long terme

Des chercheurs du Centre de recherche CHU Sainte-Justine de Montréal ont constaté que les survivants du neuroblastome conservaient d’importantes séquelles à long terme.

Le neuroblastome est un cancer qui atteint les jeunes enfants. Souvent, il en résulte une ablation d’une tumeur dans le cou, la poitrine, le bassin, l’abdomen ou la moelle épinière, accompagnée de traitements très agressifs de radiothérapie et de chimiothérapie.

Toutefois, les survivants ont huit fois plus de chance de développer des maladies chroniques à l’âge adulte. Ces problèmes de santé peuvent être des complications neurologiques endocriniennes, sensorielles ou musculo-squelettiques, par exemple.

De plus, sur les données étudiées de 954 survivants diagnostiqués entre 1970 et 1986, en plus des problèmes de santé, on a noté que ces personnes étaient moins susceptibles de se marier et avaient des revenus moins importants que leurs frères et sœurs.

On préconise donc une surveillance étroite et un suivi à vie pour réduire les impacts de ce combat contre le neuroblastome chez les survivants.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of the National Cancer Institute.