Kim Lizotte-Lévesque ne s’arrête jamais! Au grand bonheur de ses fans, l’autrice a écrit une toute nouvelle série qui s’intitule LesBombes.
Elle mettra en vedette Olivia Palacci, Julie de Lafrenière, Sarah Desjeunes Rico et Debbie Lynch-White.
L’histoire suivra quatre femmes qui se serrent les coudes et s’entraident afin de sortir de leurs dépendances.
«Les Bombes, c’est une histoire de rencontres inattendues, d’amitiés surprenantes et de résilience. C’est un grand voyage au cœur de nos contradictions, de nos questionnements sur la nature humaine et sur la volonté d’être mieux dans notre peau. On s’y reconnaîtra tous», a mentionné Sophie Deschênes, la productrice, par voie de communiqué.
La série sera composée de six épisodes de 60 minutes, qui seront diffusés l’hiver prochain à Séries Plus.
Haute Démolition est une série écrite par celui qui nous a donné Manuel de la vie sauvage, soit Jean-Philippe Baril Guérard avec la participation de Suzie Bouchard. Cette série dramatique que l’on pourra voir à l’hiver à l’antenne de Série Plusmettra en vedette Léane Labrèche-Dor, Étienne Galloy, Irdens Exantus, Guillaume Gauthier, Éric Bernier, Michel Charette, Bruno Marcil, Hélène Bourgeois Leclerc et plusieurs autres.
L’histoire suivra « Raph, un humoriste de la relève dont la carrière ne décolle pas assez vite à son goût, et Laurie, qui n’a jamais osé poursuivre son rêve de devenir autrice en humour. Laurie a toujours manqué de courage; Raph a toujours manqué de contenu. Ils sont un yin et un yang parfaitement opposés dont l’union leur permet de s’épanouir professionnellement et personnellement. Mais c’est trop explosif pour être durable. Quand Laurie réalise que leur couple n’a pas d’avenir, elle met fin au projet, plongeant Raph dans un trou noir abyssal. Il tente de s’en sortir en substituant l’amour de Laurie pour celui du public, avant d’entreprendre de la bannir de son milieu par pur désir de vengeance. Sa victoire sera douce-amère et laissera beaucoup de dommages collatéraux dans son sillage ».
Crédit:KOTV
Produit par KOTV, Haute démolition est une adaptation du roman de Jean-Philippe Baril Guérard.
« C’est un grand plaisir de collaborer à nouveau avec Jean-Philippe Baril Guérard et l’équipe de Corus sur l’adaptation d’une œuvre aussi percutante. Il ne fait aucun doute que la distribution de haut niveau sélectionnée pour l’occasion saura rendre justice aux personnages du roman », mentionnait Louis Morissette, par voie de communiqué.
Les tournages ont déjà commencé et l’on pourra voir la première saison cet hiver sur Série Plus.
En mai dernier, Série Plus a annoncé aujourd’hui sa toute nouvelle production originale,Manuel de la vie sauvage, une adaptation du roman du même nom de l’auteur Jean-Philippe Baril-Guérard, qui coécrit d’ailleurs les textes avec le réalisateur Christian Laurence. Aujourd’hui, la bande-annonce est sortie et ça l’air vraiiiiiment bon!
Rappelons que l’histoire tourne autour de Kevin Bédard, un millénial doué, persévérant et rempli d’ambitions qui, accompagné par deux amis, fondera une jeune entreprise qui confectionnera une application permettant de converser avec les morts avec l’aide de leurs traces numériques (oui, oui, vous avez bien lu!). Alors qu’atteindre la barre du succès ne sera « pas de tout repos » et que son entreprise grandira rapidement, Kevin sera à la croisée des chemins à cause des choix éthiques qu’il devra prendre.
Une distribution de feu pour la nouvelle série!
D’autant plus, parmi l’impressionnante distribution, on y retrouve entre autres Louis Morissette, Antoine Pilon, Virginie Ranger-Beauregard, Rodley Pitt, Gabriel Lemire, Gildor Roy et Catherine Brunet.
« Le roman percutant de Jean-Philippe Baril Guérard m’avait envoûté… En écrivant ensemble le scénario, nous avons pu aller encore plus loin dans les méandres impitoyables du monde des jeunes entrepreneurs en techno. Autour d’Antoine Pilon, Virginie Ranger-Beauregard et Rodley Pitt, nous avons réuni une distribution toute étoile qu’il me tarde de diriger. À l’image de l’ambitieux Kevin Bédard, l’équipe est déterminée à prendre tous les moyens pour créer une oeuvre qui ne laissera personne indifférent », a mentionné le réalisateur et coauteur de la série, Christian Laurence.
La diffusion des 6 épisodes de 60 minutes de Manuel de la vie sauvage est prévue au printemps 2022.
La série Bête noire a été acquise par la chaîne POLAR+. Dès lundi prochain, les résidents de la France et de la Pologne pourront visionner la série. L’émission sera d’ailleurs disponible dans 70 pays, avec des sous-titres.
« Nous sommes ravis de proposer la série « Bête noire » aux abonnés de POLAR+, elle sera diffusée dans la case Révélations dédiée aux séries événements de la chaîne. Nos abonnés [sont heureux] de découvrir des polars du monde entier avec de nouvelles écritures et de nouveaux talents. La réalisation de Sophie Deraspe les plongera dans une intrigue bouleversante », a indiqué Louisa Boughias, directrice de la chaîne POLAR+, dans un communiqué.
« Bête noire fera désormais vibrer le public des quatre coins de la planète »
« Grâce à cette nouvelle entente avec CANAL+ et sa présence dans tous les pays de la francophonie ainsi qu’en Pologne, entente à laquelle s’ajoutent celles intervenues avec SBS en Australie, NRK en Norvège et Link.TV aux États-Unis, la version originale de Bête noire fera désormais vibrer le public des quatre coins de la planète », a ajouté Chrystine Girard, cheffe, Distribution internationale, ENCORE.
Pour Bête noire, première série réalisée par la cinéaste Sophie Deraspe (Antigone), Série Plus a injecté les gros dollars. La chaîne est, comme bien d’autres diffuseurs, plutôt frileuse à l’idée de dévoiler le montant exact, alors disons simplement que chacun des épisodes d’une heure a coûté environ trois fois plus que la moyenne québécoise. Et ça paraît.
Bête noire raconte, avec une qualité cinématographique impressionnante, une histoire difficile, celle d’une famille — les Tremblay — au lendemain d’une tuerie en milieu scolaire. Sauf que cette famille, c’est celle du tueur, de l’adolescent qui a pris six innocentes vies avant de s’enlever la sienne. Ce point de départ a de quoi donner des frissons et n’est pas sans rappeler les témoignages de Monique Lépine, des parents du tueur de la fusillade de Dawson ou encore de la mère d’un des tireurs de Columbine, des ouvrages et des entrevues que les auteurs, Patrick Lowe (Mémoires vives) et Annabelle Poisson (Le Chalet), ont consultés dans leur travail de recherche étoffé.
La série s’ouvre sur Mélanie (la toujours excellente Isabelle Blais), qui travaille dans une garderie lorsqu’elle aperçoit aux nouvelles qu’un attentat est en train d’avoir lieu à l’école de ses deux adolescents, Jérémy (Zakary Auclair) et Léa (Marine Johnson). La panique la prend rapidement, évidemment, et elle se rend sur les lieux où elle retrouve son conjoint, Luc (Stéphane Gagnon), jusqu’au moment où elle se fait dire des mots qu’aucun parent ne veut entendre dans sa vie : votre fils est une des victimes, mais c’est aussi le coupable.
Le tour de force, ici, c’est de ne jamais montrer la fusillade, ne jamais glorifier cet acte atroce comme s’il s’agissait d’un événement spectaculaire. Les auteurs ont d’ailleurs tenu à répéter en rencontre de presse qu’ils ont à coeur la mouvance voulant qu’on évite de prononcer les noms des assaillants. Ce ne sont ni des héros ni des célébrités et personne ne souhaite leur donner la gloire qu’ils recherchent d’une manière aussi tordue et macabre. « On a abordé ça avec le plus de pudeur, le plus de circonspection [possible], en essayant de ne pas en faire un spectacle », a affirmé Patrick Lowe aux médias.
Plein de vies brisées, de gens traumatisés à jamais, de nouveaux éléments de preuve qui viennent tout changer. Bête noire est très intense, tout le temps. Il n’y a aucune pause, aucun moment où on peut reprendre notre souffle. Et ça, on ne peut qu’imaginer à quel point ça reflète le sentiment de manque d’air que ressentent les personnages — et les vraies victimes collatérales de ces tueries — à travers toute cette panique.
Nous retrouverons entre autres dans cette série, produite par KOTV et réalisée par Christian Laurence : Louis Morissette, Antoine Pilon, Virginie Ranger-Beauregard, Rodley Pitt, Gabriel Lemire, Gildor Roy et Catherine Brunet.
La chaîne indique que c’est Antoine Pilon qui incarnera Kevin, le personnage principal, PDG d’une jeune entreprise innovante.
« Nous avons réuni une distribution toute étoile qu’il me tarde de diriger. À l’image de l’ambitieux Kevin Bédard, l’équipe est déterminée à prendre tous les moyens pour créer une œuvre qui ne laissera personne indifférent! », a notamment indiqué par voie de presse le réalisateur et coauteur de la série, Christian Laurence.
Kevin Bédard est au centre de cette histoire. Ce millénarial ambitieux « fonde avec deux amis une startup qui met au point une application permettant de dialoguer avec les défunts grâce à leurs traces numériques ». Tout un programme captivant!
Il faudra se montrer patient pour découvrir cette nouvelle série : la diffusion des six épisodes est prévue au printemps 2022.
C’est rare qu’une série québécoise puisse rivaliser avec les grosses productions américaines. Ce n’est pas que nos scénarios ne sont pas de qualité ou que nos artisans manquent de talent, loin de là. C’est souvent, bêtement, une question de moyens. Mais pour Bête noire, première série réalisée par la cinéaste Sophie Deraspe(Antigone), Série Plus a injecté les gros dollars. La chaîne est, comme bien d’autres diffuseurs, plutôt frileuse à l’idée de dévoiler le montant exact, alors disons simplement que chacun des épisodes d’une heure a coûté environ trois fois plus que la moyenne québécoise. Et ça paraît.
Bête noire raconte, avec une qualité cinématographique impressionnante, une histoire difficile, celle d’une famille — les Tremblay — au lendemain d’une tuerie en milieu scolaire. Sauf que cette famille, c’est celle du tueur, de l’adolescent qui a pris six innocentes vies avant de s’enlever la sienne. Ce point de départ a de quoi donner des frissons et n’est pas sans rappeler les témoignages de Monique Lépine, des parents du tueur de la fusillade de Dawson ou encore de la mère d’un des tireurs de Columbine, des ouvrages et des entrevues que les auteurs, Patrick Lowe (Mémoires vives) et Annabelle Poisson (Le Chalet), ont consultés dans leur travail de recherche étoffé.
Crédit:Lou Scamble
La série s’ouvre sur Mélanie (la toujours excellente Isabelle Blais), qui travaille dans une garderie lorsqu’elle aperçoit aux nouvelles qu’un attentat est en train d’avoir lieu à l’école de ses deux adolescents, Jérémy (Zakary Auclair) et Léa (Marine Johnson). La panique la prend rapidement, évidemment, et elle se rend sur les lieux où elle retrouve son conjoint, Luc (Stéphane Gagnon), jusqu’au moment où elle se fait dire des mots qu’aucun parent ne veut entendre dans sa vie : votre fils est une des victimes, mais c’est aussi le coupable.
Le tour de force, ici, c’est de ne jamais montrer la fusillade, ne jamais glorifier cet acte atroce comme s’il s’agissait d’un événement spectaculaire. Les auteurs ont d’ailleurs tenu à répéter en rencontre de presse qu’ils ont à coeur la mouvance voulant qu’on évite de prononcer les noms des assaillants. Ce ne sont ni des héros ni des célébrités et personne ne souhaite leur donner la gloire qu’ils recherchent d’une manière aussi tordue et macabre. « On a abordé ça avec le plus de pudeur, le plus de circonspection [possible], en essayant de ne pas en faire un spectacle », a affirmé Patrick Lowe aux médias.
Crédit:Lou Scamble
Non, ce qui est exploré ici, c’est vraiment l’après-coup que vit la famille. Comme pour n’importe quel deuil, encore plus quand il est aussi particulier que celui-ci, les proches ne réagissent pas tous de la même manière. Certains ont honte, certains se sentent coupables, d’autres tombent dans la consommation, quelques-uns ont des choses à cacher…
Parce qu’en plus de devoir enterrer leur fils, de subir la perquisition dans leur maison, le harcèlement des médias, les confrontations parfois violentes avec les familles des victimes et les autres membres affectés dans la communauté, les questions incessantes, la cyberintimidation, les jugements constants, le sentiment d’avoir failli à son enfant et toutes les autres émotions complexes qu’on peut imaginer, les parents doivent aussi traverser l’enquête, et certaines personnes dans leur entourage ont moins envie de parler de ce qu’elles savent que d’autres.
Crédit:Lou Scamble
Cette enquête est menée par la psychiatre-coroner Éliane Sirois (Sophie Cadieux), dont le calme cartésien n’atténue pas la profonde empathie qu’elle ressent pour la famille Tremblay, empathie accentuée par sa vie personnelle qui est dans un grand tournant. Elle cherchera à comprendre ce qui est arrivé, ce qui a poussé Jérémy à commettre un tel acte irréparable, impardonnable, et développera une connexion avec la mère endeuillée, qui a besoin de ces réponses. Comment ce jeune qui avait du talent en dessin, un grand ami depuis longtemps (même si celui-ci avait changé d’école) et des parents aimants malgré son adolescence un peu difficile en est-il arrivé là?
Éliane Sirois doit également composer avec le sergent Boisvert (Martin Dubreuil), un enquêteur de la vieille école qui ne connaît clairement pas la définition du mot « compassion » et qui est pressé de clore l’affaire pour satisfaire l’opinion publique.
Crédit:Lou Scamble
En plus de la famille immédiate de Jérémy (qu’on découvre lui-même peu à peu à l’aide de quelques flashbacks) et des gens en charge du dossier, on rencontre au fil des épisodes d’autres personnages qui ont eu une influence sur l’adolescent. On pense à Zac (Lévi Doré), le chum de Léa; à Steve (Pierre-Luc Brillant), le frère de Mélanie; à Cassandre (Audrey Roger), la meilleure amie de Léa; à Charlie (merveilleuse Nahéma Ricci), une élève de l’école. Cette dernière se dévoile au compte-gouttes, mais seigneur que ce personnage est frappant.
Crédit:Lou Scamble
Plein de vies brisées, de gens traumatisés à jamais, de nouveaux éléments de preuve qui viennent tout changer. Bête noire est très intense, tout le temps. Il n’y a aucune pause, aucun moment où on peut reprendre notre souffle. Et ça, on ne peut qu’imaginer à quel point ça reflète le sentiment de manque d’air que ressentent les personnages — et les vraies victimes collatérales de ces tueries — à travers toute cette panique.
Bête noire sera diffusée les mercredis à 20h sur Série Plus dès le 31 mars. Pour voir la bande-annonce, c’est par ici.
Ce jeudi, Série Plus a dévoilé la bande-annonce de sa nouvelle production originale, Bête noire. Poignante, déchirante et bouleversante, cette série réalisée par Sophie Deraspe, à qui l’on doit l’excellent film Antigone, traitera d’un drame humain sans nom.
Au cours de ses six épisodes d’une heure signée par Patrick Lowe et Annabelle Poisson, Bête noire présentera l’histoire de Jérémy (Zachary Auclair), un adolescent de 16 ans, qui commettra un geste irréparable aux effets collatéraux majeurs. Sa mère, campée par Isabelle Blais, se lancera alors dans un questionnement pour comprendre comment son fils a pu en arriver là. Elle le fera avec l’aide d’Éliane Sirois, la psychiatre-coroner chargée de l’enquête, interprétée par Sophie Cadieux.
Le reste de la distribution annoncée à l’automne dernier est tout aussi impressionnante : Nahéma Ricci, Stéphane Gagnon, Martin Dubreuil, Lévi Doré, Marine Johnson, Audrey Roger, Pierre-Luc Brillant, Maxime Genois, Hugo Giroux, Guillaume Laurin, Martin-David Peters, Lise Roy et Sonia Vigneault.