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La seringue sans aiguille arrive finalement au Canada

Il existe depuis un bon moment déjà des alternatives aux seringues traditionnelles utilisées dans les milieux hospitaliers du Québec et du Canada.

Alors que plusieurs endroits dans le monde se sont dotés depuis longtemps de ces nouveaux systèmes, le Canada semble tarder à vouloir emboîter le pas. Les autorités auront du mal à éviter la question désormais, alors que la nouvelle seringue INJEX est finalement offerte en sol canadien.

Dénuée de l’horrible aiguille traditionnelle et permettant une intervention rapide et sans douleur, la seringue INJEX peut être utilisée dans une multitude de circonstances.

Notamment, les gens souffrant de diabète pourront effectuer des injections d’insuline beaucoup plus facilement. Les dentistes sont de ceux qui pourraient opter pour ce nouveau dispositif, ce qui pourrait aider les gens à se motiver davantage à les visiter! Aussi, certains traitements cutanés et les vaccins profiteraient de cette nouvelle technologie.

Les enfants, tout comme les grands enfants, seraient sans doute rassurés de voir une nouvelle façon de faire en matière de vaccination.

« INJEX est une invention allemande éprouvée déjà disponible dans plusieurs pays. Son innocuité et son efficacité ont été démontrées lors de nombreux tests cliniques », explique Benoît Côté de Marketing Médical Canada Inc., qui distribue le produit sur notre territoire.

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La peur des piqûres inspire une échelle des sentiments

L’outil d’évaluation favorise les jeunes à communiquer leurs sentiments, et aide ainsi les spécialistes à mieux cerner et comprendre la détresse qui les envahit et faire en sorte que l’enfant ne traîne pas avec lui cette phobie une bonne partie de sa vie.

Meghan McMurtry, professeure adjointe de psychologie à l’Université de Guelph, affirme que certaines recherches démontrent un lien entre les craintes des aiguilles à l’enfance et l’évitement de possibles soins médicaux au cours des années plus tard.

Elle explique que la peur est subjective, et si elle n’est pas bien exprimée, il est difficile de découvrir l’histoire qui l’entoure. Puisque les enfants ont souvent un vocabulaire restreint, l’échelle des sentiments vient à leur secours.

Celle-ci est conçue de cinq visages différents sans cheveux ne représentant aucun sexe et aucun âge. Les visages ont un regard vide à très effrayé.

L’outil est utilisé par des professionnels de la santé qui conseillent, lorsque l’enfant a une peur bleue des seringues, de l’aider à respirer profondément, lui changer les idées avec une conversation divertissante, une peluche ou encore lui présenter une vidéo amusante.

Les chercheurs ont montré l’échelle de la peur à 100 enfants, âgés de 5 à 10 ans, après qu’ils aient eu une prise de sang. Les enfants plus âgés ont exprimé leur crainte autant que les plus jeunes, un élément qui a d’ailleurs surpris les chercheurs.

Le nombre de fois que les jeunes ont eu une prise de sang n’a pas eu d’incidence, ce qui prouve que l’expérience des piqûres ne pousse pas nécessairement à l’amélioration de la situation.

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De plus en plus de seringues gratuites

Selon Cyberpresse.ca, le nombre de seringues gratuites offertes aux utilisateurs de drogues par injection a triplé depuis neuf ans dans la région de Québec. Cette hausse s’explique par le programme mis en place par le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec afin de diminuer le risque de contracter des infections transmissibles sexuellement et par le sang.

Devant la popularité croissante de ce programme, Québec a encore augmenté sa contribution cette année, a précisé Renée Maranda-Aubut, coordonnatrice en maladies infectieuses à la Direction de santé publique de la Capitale-Nationale.
 
Les centres de distribution peuvent ainsi répondre davantage à la demande des utilisateurs, qui sont aussi à risque que la communauté homosexuelle en ce qui concerne le taux d’infection au VIH.

L’autre volet de ce programme touche la récupération de seringues usagées. « On passe toujours le message de ne jamais partager ou échanger le matériel », a conclu Mme Maranda-Aubut.