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Un chirurgien retire un serpent vivant de son oreille!

Des images troublantes circulent sur le web en ce moment, alors que l’on voit un chirurgien sortir un serpent vivant de l’oreille d’une femme.

C’est à se demander si cette séquence est véridique puisqu’un serpent qui s’infiltre par une oreille, il doit être très petit en circonférence.

La vidéo de quatre minutes a été publiée sur Facebook par Chandan Singh, le 31 août dernier. Par contre, il n’y a aucune information qui stipule le moment et l’endroit où ça s’est produit.

https://www.facebook.com/100078698452814/videos/3118940928417494/

On voit donc un «supposé» chirurgien tenté l’enlever le serpent avec deux pinces à épiler et ça semble plutôt très ardu comme «opération».

On ne sait toutefois pas si le serpent a pu être enlevé du conduit auditif puisque la vidéo se termine sans que l’on voit le résultat.

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Nightlife.ca

Un python en liberté recherché par les autorités de Gatineau!

C’est sur leur page Facebook que le Service de police de la Ville de Gatineau (SPVG) annonçait hier, lundi 13 juillet 2020, l’avis de recherche officiel de l’animal, et ce, tout en rassurant la population locale quant à sa possible présence dans les rues de Hull.

Nous tenons à rassurer la population quant à la possible présence d’un python en liberté dans le quartier des…

Posted by Service de police de la Ville de Gatineau on Monday, July 13, 2020

En effet, selon des informations données aux autorités par la SPCA de l’Outaouais, le type de reptile qui s’est échappé ne constituerait pas une menace, puisqu’ «il ne manifeste pas de propension pour l’attaque». N’étant pas non plus très imposant, il mesurerait un peu moins d’un mètre (entre 2,5 et 3 pieds).

De plus, ce type python se roulerait en boule comme mécanisme de défense lorsqu’il se sent menacé ou qu’il est effrayé ? d’où son nom en anglais: «ball python».

Finalement, la 3e information quant au reptile, diffusée par le SPVG, est que l’animal serait principalement nocturne, et apprécierait autant la chaleur que les endroits frais et humides.

C’est vendredi dernier que le propriétaire du serpent, un résident du quartier des Hautes-Plaines du secteur de Hull, aurait contacté le SPVG, afin de signaler la perte de son animal ? alors que celui-ci était déjà en cavale depuis plusieurs jours.

D’ailleurs, ce dernier aurait apposé plusieurs affiches afin d’offrir une récompense à quiconque retrouverait son reptile, ce qui, à l’origine, aurait suscité des inquiétudes chez les résidents du secteur concerné.

Le service de police local invite quiconque qui apercevrait le fameux python à composer le (819) 246-0222. De plus, il est fortement déconseillé de tenter de le manipuler ou de l’attraper, alors que cette espèce «n’aime pas particulièrement être touchée, malgré le fait que l’animal y soit peut-être habitué.

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Du venin d’abeilles pour combattre le cancer

C’est en extrayant une molécule (la mélittine) du venin d’abeilles et en l’injectant en laboratoire que des scientifiques de l’Université de l’Illinois ont fait cette découverte. Le « poison » des abeilles aurait des vertus thérapeutiques pour le cancer et ferait en sorte que les cellules cancéreuses cessent de se multiplier.

La mélittine est une petite protéine difficile à récupérer et qui se retrouve en petite quantité dans le venin. Les chercheurs doivent trouver comment celle-ci peut se diriger au bon endroit au bon moment pour ne pas engendrer des effets secondaires tragiques qui peuvent provoquer des paralysies ou des hémorragies.

Les chercheurs sont cependant déjà sur la bonne voie. Ils ont réussi à produire des toxines très compactes dans la nanoparticule et celles-ci se déversent seulement dans le système sanguin et se fixent uniquement aux tumeurs.

Cela évite la croissance et la propagation de cellules cancéreuses, a expliqué le principal auteur de l’étude, le Professeur Pan Dipanjan, lors de la réunion annuelle de l’American Chemical Society.

Ce dernier avance que d’ici trois à cinq ans, si les tests sur les cochons et les rats s’avèrent concluants, des essais pourront être réalisés sur l’homme. Une imitation de certaines toxines de venins de scorpions ou de serpents pourrait également être efficace pour traiter le cancer, écrit Top Santé.

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Mode et accessoires

Le serpent du Livre de la jungle effigie d’une bague

Le célèbre serpent créé par Rudyard Kipling pour Le livre de la jungle, Kaa, se retrouve enroulé autour d’une bague chez Boucheron.

Les animaux semblent fort populaires chez les créateurs. Alors que Chaumet est lié à l’abeille et Cartier à la panthère, voilà que Boucheron fait revivre son histoire avec le serpent.

La griffe est liée au reptile depuis que Frédéric Boucheron a offert à sa femme un collier inspiré du serpent.

Depuis, il a été célébré en 1968 avec une gamme symbolique, et en septembre dernier lors de la XXVIe Biennale des Antiquaires avec la pièce Serpent Opalescent.

Cette fois, la bague rend hommage à Kaa, qui revit en or blanc garni de diamants avec des yeux émeraude.

Un bijou raffiné et élégant, comme le veut la tradition chez Boucheron.

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Nouvelles quotidiennes

Allemagne : dormir avec des reptiles

Le concept s’adresse aux amateurs d’émotions fortes et à ceux qui ont le sommeil profond. Le Landau Reptililum, l’un des plus grands zoos de reptiles en Europe, a décidé de se transformer en « hôtel » un certain temps pour permettre à ses visiteurs téméraires de vivre une expérience hors du commun.
 
Les gens sont invités à passer une nuit entourés par plus de 150 espèces différentes de reptiles.
 
« Protégés » par une tente, des lits de camp sont installés dans la section du zoo qui est consacrée aux reptiles du désert, au milieu des vivariums.
 
C’est donc au son des geckos sauvages et des criquets que les courageux peuvent réussir à s’endormir, et peut-être à la sonnette du serpent qu’ils peuvent se réveiller… s’ils se réveillent!
 
En plus de débourser environ 220 euros, un prix qui inclut la visite privée du zoo et le petit déjeuner, les familles désireuses de vivre cette aventure dite « sécuritaire » doivent tout de même prévoir un montant supplémentaire pour une assurance qui leur donnera droit de dormir aux côtés de leurs nouveaux amis de chambre.
 
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Des hot-dogs au serpent

Un des mets traditionnels américains, le hot-dog, retrouve sa popularité, et ce, sur la côte ouest américaine.
 
En Californie, il est devenu un met prisé, et les restaurateurs ne reculent devant rien pour le réinventer, rapporte La Presse.
 
Ainsi, chez Wurstküche, on ne sert que des hot-dogs, mais vous avez le choix entre 20 variétés. Bien entendu, le traditionnel chien chaud est offert, mais pour les plus aventureux, vous aurez l’embarras du choix avec des hot-dogs mangue et jalapeño, canard et bacon ou, encore plus étrange, serpent à sonnette et lapin ou alligator et porc.
 
Chez SlawDogs par contre, vous trouverez d’autres variétés inusitées, comme le Chicharrón Dog. Il s’agit d’un hot-dog au boeuf garni de laitue hachée, d’échalotes, de coriandre, de kimchi, d’une mayonnaise Sesumi, le tout recouvert de deux tranches de flanc de porc braisé.
 
Donc, si vous passez par la Californie et que le cœur vous en dit, optez pour des hot-dogs. Les frites, elles, demeurent inchangées.
 
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Les pythons à la rescousse des humains

Des travaux publiés dans le magazine Science indiquent que le python birman pourrait venir en aide aux humains dans le milieu de la santé cardiaque.
 
On croit qu’une meilleure compréhension de leur digestion pourrait aider les chercheurs, et par conséquent les malades.
 
Après avoir ingéré un animal, le serpent sécrète beaucoup d’acides gras, mais on ne note aucun dépôt gras dans son cœur. On observe plutôt une augmentation de l’enzyme superoxyde dismutase. Or, chez l’humain, celle-ci a un effet protecteur sur le cœur.
 
« Nous avons découvert qu’une certaine combinaison d’acides gras peut avoir des effets favorables sur la croissance cardiaque chez des organismes vivants », explique la Dre Cecilia Riqueline, coauteure de l’étude.
 
Les recherches se poursuivent donc sur le sujet afin de découvrir les secrets du serpent qui pourraient nous être très utiles.
 
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L’arachnophobie est acquise durant l’enfance

Une revue scientifique vient de démontrer que les enfants et les bébés peuvent apprendre rapidement à avoir peur des araignées et des serpents.

Des études précédentes avaient démontré que les humains et les singes se transmettent plus facilement la peur d’un animal dangereux que celle d’une espèce sans danger.

La présente recherche, parue dans Current Directions in Psychological Science, montre une autre cause de la sélection naturelle.

Dans l’une des recherches en question, on a fait regarder à des bébés de sept mois une vidéo représentant un animal dangereux tel un serpent, puis une autre avec un animal sans danger comme un éléphant. Au même moment, on a fait entendre une voix joyeuse ou une voix apeurée aux tout-petits.

Les enfants ont regardé la vidéo du serpent plus longtemps lorsqu’ils entendaient la voix apeurée, mais sans démontrer de signes de la peur.

On a donc conclu que nous avons bel et bien des réflexes de détection pour ce genre d’animal et une capacité de les associer avec des impressions de dégoût et de répulsion.