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COVID-19: Aide financière possible pour les parents lors de la relâche

Plusieurs aides financières ont été possibles depuis le début de la pandémie, comme la PCU, la PCRE et la PCMRE. Cette fois-ci, c’est au tour de la PCREPA (la Prestation canadienne de la relance économique pour proches aidants) d’aider certains parents pour la semaine de relâche qui arrive à grands pas au début du mois de mars.

La Prestation canadienne de la relance économique pour les proches aidants pourra aider un des deux parents d’un enfant de moins de 12 ans lors de la semaine de relâche. Si l’école ou le service de garde de l’enfant est fermé pendant la semaine et que les deux parents n’ont pas de congés payés par leur employeur pendant la semaine de relâche, la PCREPA pourra donner un certain montant d’argent à un des deux parents s’il ne peut pas travailler au moins 50% de sa semaine de travail.

La PCREPA permet de toucher 500 dollars pour la semaine, ce qui équivaut à environ 450$ après le prélèvement du montant de l’impôt.

Si vous avez besoin de cette aide financière, vous pouvez remplir votre demande pour la Prestation canadienne de la relance économique pour les proches aidants juste ici.

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Le débat sur l’allaitement fait de l’ombre aux enjeux plus importants

La professeure Joan B. Wolf en est arrivée à la conclusion que le débat sur l’allaitement prend trop de place, rapporte le New York Times.

« En me basant sur l’analyse de centaines d’études, j’ai découvert que les avantages reliés à l’allaitement dans les pays développés sont inexistants, marginaux ou impossibles à dissocier des autres aspects de vie d’un enfant. »

De nos jours, les scientifiques, avocats et journalistes répandent cette idée que l’allaitement est conditionnel à la santé. Ainsi, la mère qui allaite est supérieure, et les autres devraient avoir honte de ne pas tout faire pour que l’allaitement fonctionne.

La réalité est toute autre, cependant. Les mères doivent trouver l’équilibre entre les besoins du bébé, des autres enfants, du conjoint, du travail, des parents qui vieillissent et des autres préoccupations.

Pendant ce temps, on oublie de se préoccuper de la flexibilité en entreprise pour la conciliation famille/travail, l’accessibilité à un service de garde de qualité et l’amélioration du système scolaire. Des enjeux qui, pour leur part, viendraient réellement en aide aux familles modernes.

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Les grands-parents servent souvent de service de garde en Europe

La recherche a été effectuée à partir des sondages Share et Elsa. Il s’agit d’enquêtes qui se sont penchées, entre autres, sur le vieillissement de la population.

« Dans l’ensemble, les grands-parents des pays européens étudiés s’occupent beaucoup de leurs petits-enfants », conclut l’Université Paris-Dauphine.

L’importance du soutien des grands-parents varie d’un pays européen à l’autre, surtout par rapport aux politiques familiales établies, à la présence de services de garde à temps plein et à la participation de l’État pour l’aide aux familles.

Le Danemark, la France et la Suède sont les pays où les services pour les enfants sont les plus présents et sollicitent donc moins la participation des grands-parents. Dans certains pays, comme l’Espagne, la Hongrie, l’Italie et le Portugal, la culture veut que naturellement, les grands-parents s’occupent des petits enfants.

Enfin, c’est en Allemagne, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni où le soutien public est le moins présent, mais les services de garde d’enfants sont adéquats.

Selon l’étude, les grands-parents qui sont les plus enclins à la garde d’enfants sont notamment plus jeunes, mieux éduqués, encore mariés et en bonne santé. De plus, ce sont les grands-mères qui acceptent le plus souvent ce rôle.

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Quelques trucs pour bien choisir votre service de garde

Parentingsquad.com apporte quelques aspects à ne pas négliger lorsqu’on est à la recherche d’un endroit où confier notre bébé.

1- Demandez des références avant tout et faites vos démarches le plus tôt possible. Les listes d’attente peuvent être très longues.

2- Déterminez les paramètres incontournables : l’endroit, le coût, les heures et journées nécessaires, ainsi que le service de garde en centre ou en milieu familial.

3- Fiez-vous à votre instinct. Lorsque vous faites le tour d’un environnement de service de garde, validez le ratio d’enfants pour chaque intervenant. Assurez-vous de connaître les méthodes de discipline et observez les enfants présents. Ont-ils l’air heureux?

4- Posez des questions. Vous devez connaître les politiques et y adhérer. Notamment les heures d’ouverture et de fermeture, la politique lorsque l’enfant est malade et les attentes du service de garde.

5- Ne lésinez pas sur la sécurité et la propreté. Demandez à voir la cuisine, la salle de bain, les salles de jeu. Voyez si les intervenants utilisent des gants lorsqu’ils changent les bébés de couche. Vérifiez si les équipements sont sécuritaires et adaptés aux enfants.

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Quelles activités priorisez-vous pour vos enfants après les cours?

Comme l’indique SheKnows, à moins d’avoir un emploi qui nous permet d’être à l’école à 15 h pour ramener nos enfants à la maison, il faut prévoir un service de garde adéquat.

Il y a bien entendu le service de garde de l’école, mais ce dernier comporte souvent des lacunes, par exemple en ce qui concerne l’encadrement pour les devoirs. C’est à vous de prévoir le coup et de vérifier s’il n’existe pas d’autres solutions, comme une gardienne à domicile.

Rappelez-vous cependant que votre enfant vient de passer la journée à apprendre ou réviser des notions en classe. Il aura donc besoin de se dégourdir. À cet effet, assurez-vous que le service de garde de l’école prévoit des activités physiques supervisées.

Vous êtes en droit de demander au responsable du service de garde quel est le programme, combien d’élèves sont regroupés pour un même surveillant et s’il est possible, par exemple, de faire faire les devoirs de votre protégé avant de lui permettre d’aller jouer dehors.

Si ces services ne vous conviennent pas, mieux vaut opter pour une gardienne à domicile, qui permettra notamment à votre enfant de se retrouver dans son environnement. De plus, il pourra faire ses devoirs avec un adulte, et cela vous permettra de passer du temps de qualité ensemble pour faire quelques activités physiques amusantes.

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Démarches importantes en début de grossesse

Le premier examen prénatal – Inutile de vous ruer chez le médecin à 7 semaines de grossesse. Cependant, le premier rendez-vous doit se faire avant la fin du 3e mois. En principe, la première échographie aura lieu vers 16 semaines, et donc uniquement lors de la 2e rencontre.

Prise de sang et test d’urine – Que ce soit à la première ou à la 2e rencontre avec votre médecin, sachez que vous devrez passer ces tests. Ils servent à détecter, notamment, diverses maladies dangereuses (transmises sexuellement ou génétiques), ainsi que votre taux de sucre et votre groupe sanguin.

Aviser votre employeur – Il est important, après votre rendez-vous chez le médecin, d’indiquer à votre employeur la date prévue de votre accouchement. Prévoyez un papier du médecin!

Le congé de maternité – Vous avez droit à 1 an de congé. De plus, votre conjoint a lui aussi droit à au moins 5 semaines de congé de paternité. Renseignez-vous auprès du Régime québécois d’assurance parentale (RQAP), mais surtout, commencez à planifier vos économies en fonction de cette diminution de salaire.

Le service de garde – Dès que vous aurez passé les 3 mois critiques de votre grossesse, faites le tour des services de garde locaux ou près de votre travail, à votre choix. Les listes d’attente sont très longues, et les services favorisent les familles dont l’un des enfants est déjà en place à la garderie. Assurez-vous donc d’être sur les listes d’attente rapidement.

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Service de garde – facteur associé aux troubles du comportement chez l’enfant

La recherche a été menée notamment par Eric Dearing, professeur au Boston College. « En Norvège, nous n’avons trouvé aucune indication d’un lien quelconque entre les heures passées en garderie et l’augmentation des risques de troubles du comportement chez les enfants. »

De nombreuses études précédemment effectuées aux États-Unis, quant à elles, démontraient des résultats complètement opposés. Pourtant, la recherche a été menée à grande échelle, soit auprès de plus de 75 000 enfants dans différents services de garde.

Selon Medical News Today, Dearing suggère que la différence se situe probablement au niveau de la réglementation appliquée dans les garderies, qui diffère grandement des États-Unis.

À priori, le fait d’interdire les enfants de moins de 1 an, selon le professeur, constituerait l’un des facteurs de grand impact.

Ses collègues chercheurs de l’École de médecine de Harvard affirment que les services de garde en Norvège sont plus surveillés et doivent respecter des politiques plus sévères que chez les Américains. Ils croient donc fermement que ce sont ces différences qui causent la problématique comportementale chez les enfants américains.

Ainsi, Eric Dearing et son équipe, qui ont été méticuleux et ont effectué les recherches basées sur les mêmes facteurs étudiés, en sont venus à la conclusion que des études menées auprès d’autres pays que les États-Unis étaient nécessaires pour faire la lumière sur des résultats si différents.

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La garderie peut nuire au développement

C’est ce que rapportent à la Royal Economic Society les économistes Michael Kottelenberg et Steven Lehrer de l’Université Queen en Ontario, qui ont examiné la mise en place de services de garde subventionnés au Québec. Un article à ce sujet est d’ailleurs paru dans le journal The Telegraph le 28 mars.

Les chercheurs se sont aperçus que les enfants envoyés à un jeune âge dans des milieux de garde subventionnés par l’État obtenaient des résultats plus faibles aux examens que ceux qui étaient demeurés à la maison en âge préscolaire.

Les résultats moindres touchaient davantage les garçons que les filles. Parmi tous les enfants envoyés en service de garde, les garçons faisaient beaucoup plus preuve de signes d’agressivité et d’hyperactivité également.

Pour les auteurs de l’étude, « les services de garde ont un effet important et négatif sur le développement social et moteur, sur le comportement et sur la santé des petits ».

Cependant, il a été noté par les chercheurs que les enfants issus de familles très défavorisées avaient connu des avantages à fréquenter les garderies, mais la plupart des Québécois obtenaient des résultats « vraiment pires », en comparaison avec leurs pairs des autres provinces du Canada.

La quantité réduite de temps que les enfants passent avec leur mère ou leur père à lire ou jouer serait le facteur principal en cause de ces moins bons résultats.

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Un guide d’alimentation pour les garderies

C’est dans le but de contrer l’obésité chez les enfants de moins de 5 ans et afin de s’assurer que les bambins reçoivent les nutriments essentiels et ne consomment pas trop de sel ou de sucre que ce guide a été conçu. Le personnel de service de garde est ainsi mieux outillé et guidé dans ses interventions.

Divisé en deux catégories, « printemps/été » et « automne/hiver », le guide propose une panoplie d’aliments sains et des idées pour le petit déjeuner, les collations, le dîner et le souper. Le document rappelle aussi les portions.

Le personnel de garde est également averti de ne pas punir ou de récompenser un enfant lorsqu’il termine ou non son assiette. Le dessert devrait toujours être offert, même si l’enfant ne mange pas tout.

Le jus de fruits et les boissons devraient être davantage remplacés par la consommation d’eau et de lait, même entre les repas.

Lors de fêtes, de petits cadeaux, tels que des autocollants, devraient être donnés au lieu de sucreries.

Les statistiques démontrent que plus d’un enfant sur cinq est en surpoids ou obèse lors de son entrée à l’école primaire. Celui-ci court un risque accru de développer un diabète de type 2 et d’avoir plus de caries dentaires.

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Du soutien pour l’enfant ayant une mère dépressive

Si les jeunes enfants de mères dépressives semblent accuser plus de problèmes de comportement que les autres en grandissant, on pourrait minimiser les dégâts en leur offrant du soutien.

C’est ce que suggère une étude de l’Université d’Adélaïde, en Australie, parue dans Pediatrics. Précisément, les enfants de deux ans dont la mère est dépressive, mais qui passent au moins une demi-journée par semaine avec un autre adulte, vivraient moins de problèmes comportementaux plus tard.
 
Quatre heures hebdomadaires passées avec une gardienne ou un membre de la famille, ou passées dans un service de garde, suffisent à réduire manifestement lesdits problèmes.
 
Ces résultats proviennent d’une étude longitudinale ayant débuté en 1998. 557 femmes et leur enfant ont été suivis, et ce, à partir de la grossesse jusqu’à ce que l’enfant ait atteint l’âge de neuf ans. Au final, les données portant sur 438 femmes et leur enfant étaient accessibles aux fins de la recherche.
 
Les cas de dépression étaient évalués à deux moments, soit lorsque le bébé a eu deux ans, puis trois ans et demi. Parmi les 438 mères retenues, 303 ne souffraient pas de la dépression, tandis que 88 d’entre elles en vivaient des périodes et que 47 en étaient atteintes de manière constante.

Ajoutons, en contrepartie, que des problèmes de comportements étaient plus courants chez les enfants de cinq ans dont la maman souffrait d’une dépression continue.