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Les réactions sévères aux aliments sont plus communes qu’on le pense

En fait, plus de 70 % des enfants d’âge préscolaire souffrant d’allergies alimentaires auraient eu des réactions significatives durant trois ans, et 70 % d’entre eux n’auraient pas reçu d’épinéphrine par l’adulte qui s’occupait d’eux lors de crises potentiellement mortelles.

Lors d’une étude effectuée auprès de 512 enfants, on a noté que 30 % des réactions sévères chez les enfants allergiques avaient été traitées avec ce produit.

Les adultes responsables n’ont pas administré l’épinéphrine aux autres pour différentes raisons. Par exemple, certains n’ont pas reconnu la gravité de la réaction, n’avaient pas d’épinéphrine avec eux ou craignaient d’administrer le médicament.

« C’est très important pour les adultes responsables d’enfants souffrant d’allergies alimentaires de toujours avoir l’EpiPen avec eux, de savoir comment reconnaître les réactions et comment utiliser l’EpiPen. […] Utiliser correctement l’EpiPen au bon moment peut sauver une vie », explique le coauteur de la recherche et professeur au National Jewish Health, Dan Atkins.

Rappelons que les enfants de la ville auraient plus d’allergies alimentaires que les enfants de la campagne, selon une étude de la Northern University Feinberg School of Medicine.

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La fumée secondaire responsable de problèmes urinaires chez l’enfant

Selon l’Environmental Protection Agency, les parents seraient responsables de plus de 90 % de l’exposition de leurs enfants à la fumée secondaire de cigarettes.

Les physiciens de l’University of Medicine and Dentistry of New Jersey-Robert Johnson Medical School ont prouvé que la fumée secondaire de la cigarette était associée à des troubles d’irritation de la vessie de gravité modérée à sévère chez les enfants.

« La fumée de cigarette est une toxine dans l’environnement et est dangereuse pour la santé des enfants, particulièrement chez les tout-petits et les préadolescents. Les parents devraient concerter leurs efforts pour réduire l’exposition de leurs enfants à la fumée secondaire lorsqu’ils fument dans des espaces confinés comme la maison et la voiture. Cesser de fumer est l’option qui est la meilleure pour la santé des jeunes », explique le Dr Joseph G. Barone, pédiatre urologue.

Rappelons que les enfants exposés à la fumée secondaire parentale sont plus susceptibles d’avoir des maladies respiratoires chroniques toute leur vie.

La fumée secondaire durant la petite enfance est associée à un risque accru de maladies respiratoires chroniques et de déficits de la fonction pulmonaire en fin de vie, et ce, indépendamment du fait que l’enfant devenu grand ait fumé ou non lui-même.