Catégories
Uncategorized

Les fruits et légumes pourraient aider au sevrage de la cigarette

Des chercheurs américains constatent que les fruits et légumes ne sont pas simplement bons pour la santé, mais seraient aussi avantageux et utiles lors de l’arrêt du tabagisme, rapporte Top Santé.

C’est une équipe de spécialistes basée à Buffalo, aux États-Unis, qui a tracé ce parallèle en étudiant les impacts des fruits et légumes sur le comportement des individus fumeurs et non-fumeurs.

L’étude se base sur les cas de 1000 fumeurs (25 ans et plus) et révèle que ceux-ci consommeraient en moyenne moins de fruits et légumes que les non-fumeurs.

Au-delà du lien de souci de leur santé plus évident chez les non-fumeurs, qui mangent donc de façon plus équilibrée, on note qu’une augmentation de la consommation des fruits et légumes chez les fumeurs faciliterait l’arrêt du tabagisme.

La satiété accrue, une meilleure humeur et des niveaux de dopamine plus importants sont tous des facteurs découlant de la consommation de fruits et légumes, qui expliqueraient ainsi une plus grande facilité à abandonner la cigarette.

Fumeurs, à vos pommes et carottes!

Catégories
Uncategorized

Comment survivre au sucre

Le sucre connait de durs moments, alors qu’il est dépeint comme un terrible ennemi par les spécialistes. Les médias tapent abondamment sur le clou, rapportant un nombre incessant d’études et de recherches sur le sujet.

Les plus récentes parlent même de « toxicité » en ce qui a trait au sucre et ses dérivés, clamant que l’ingestion de sucre ne fait pas que grossir et qu’il est carrément nocif pour l’organisme.

La motivation d’abandonner le sucre ne serait pas suffisante pour y parvenir, selon Topsante.com, puisque cet élément serait profondément ancré dans nos us et coutumes.

Cela commence à la naissance, alors que l’allaitement et le liquide amniotique donneraient le goût du sucre dès l’arrivée dans ce monde. Les confiseries qui suivront ainsi que le sucre contenu dans presque tous les aliments viendront porter le coup fatal et nous rendre « dépendants ».

Alors, comment s’en sevrer? Les experts proposent une « désintoxication » en douceur, en commençant par la prévention. Lire les ingrédients sur ce que vous achetez et identifier les sources principales de sucre dans votre alimentation sont de bons points de départ. Remplacez les pires aliments par d’autres, meilleurs pour la santé.

Évitez d’acheter les versions chocolatées de tous les produits (Nutella, céréales au cacao, chocolatines) et privilégiez les aliments complets et « vrais », ainsi que les produits de grains entiers.

Remplacez vos rages de sucre par un fruit, un yogourt (régulier, ceux à la vanille contiennent déjà beaucoup de sucre), ou passez vos rages dans les noix et autres aliments du genre.

Considérez cela comme un véritable sevrage et soyez indulgents avec vous-même!

Catégories
Uncategorized

Astuces pour cesser l’allaitement

Choisir son moment : Si possible, c’est mieux d’arrêter l’allaitement lorsqu’il n’y a pas trop d’autres gros changements dans votre vie, par exemple l’entrée à la garderie ou le retour au travail.

Le faire graduellement : Encore une fois, dans la mesure du possible, c’est beaucoup plus facile pour maman et pour bébé de réduire la fréquence et la durée des boires progressivement, sur une période de quelques semaines idéalement.

Commencer par les boires « non-essentiels » : Souvent, les bébés boivent moins durant la journée, et plus le matin et avant de dormir. Ces boires plus importants (pour le lait et souvent aussi pour le côté réconfort) sont habituellement les derniers à être coupés.

Changer la routine : Il peut être utile de faire différent pour montrer une nouvelle routine à bébé et pour couper l’association avec le sein : par exemple, avant le dodo, au lieu de s’asseoir dans la chaise berçante, on peut regarder un livre par terre ou dans le lit.

Penser aux besoins nutritionnels de bébé : Il va falloir remplacer son lait maternel, habituellement avec du lait maternisé jusqu’à l’âge d’un an, puis par du lait de vache 3,25 %.

Catégories
Uncategorized

Sevrage : favoriser le solide à la purée

Radio-Canada rapporte que selon la Pre Ellen Townsend et son équipe de l’Université de Nottingham, les aliments solides présentent deux avantages pour les bébés.

Les enfants qui mangeront de petits morceaux solides plutôt que de la purée auront tendance à adopter un comportement alimentaire plus sain et ils risqueront moins le surpoids que ceux nourris à la cuillère avec des aliments en purée.

Cet énoncé fait un lien également avec une étude récente qui affirmait que laisser son enfant en bas âge manger avec ses doigts plutôt qu’avec des ustensiles pouvait favoriser un bon équilibre alimentaire et une bonne santé.

Celui qui mange avec ses doigts serait davantage porté à sélectionner ses aliments dans son assiette et même choisir plus de glucides que celui qui est nourri à la cuillère par ses parents avec de la purée.

Parus dans le British Medical Journal, les résultats de l’étude de l’Université de Nottingham tendent à prouver que le mode de sevrage peut influer sur les préférences alimentaires et l’indice de masse corporelle (IMC), et ce, dès la petite enfance.

Les auteurs de cette étude ont analysé le cas de 155 enfants âgés de 20 mois à 6 ans et demi, sur le questionnaire rempli par les parents quant au mode d’alimentation de leur bébé et sur la méthode de sevrage utilisée.

Comme la plupart des études antérieures, cette dernière n’a pas permis de connaître quel était l’âge parfait pour introduire les aliments solides dans le régime d’un enfant. Certains parents participants ont répondu qu’ils avaient laissé leur bébé se nourrir seul de petits morceaux solides dès l’âge de six mois.

Catégories
Uncategorized

Faut-il laisser bébé manger avec ses doigts?

Selon une étude britannique de l’Université de Nottingham, publiée récemment dans le British Medical Journal, un bébé qui mange avec ses doigts aurait une alimentation plus saine à l’âge adulte.

Parmi les 155 enfants examinés, âgés de 20 mois à six ans et demi, 92 bébés ont été sevrés grâce à la méthode nommée Baby led weaning (bébé se sèvre seul), qui consiste à laisser l’enfant manger seul de petits morceaux d’aliments solides à texture fondante. Les 63 autres ont été nourris avec des aliments réduits en purée, donnés à la petite cuillère.

Il semblerait que les enfants qui découvraient la nourriture avec leurs petits doigts étaient davantage attirés par les glucides, comme le pain ou les pâtes, alors que ceux sevrés à la petite cuillère préféraient les produits sucrés.

Ce constat permet d’établir une relation avec le surplus de poids. En effet, l’étude a démontré que 8 des bébés nourris à la cuillère ont fait de l’embonpoint, contre un seulement parmi ceux qui mangeaient avec les doigts.

Catégories
Uncategorized

Le syndrome de sevrage néonatal scruté à la loupe

Le traitement pharmacologique pour le syndrome de sevrage chez le nouveau-né peut être considéré seulement si les signes et les symptômes sont graves.

Ne sachant pas quels sont les effets à long terme sur la santé de l’enfant, les médicaments doivent être utilisés avec une très grande précaution et vigilance, déclare dans un récent rapport l’American Academy of Pediatrics.

Il serait préférable pour les spécialistes d’avoir recours à des stratégies non-pharmacologiques, en tentant de réduire le stress environnemental du nourrisson, en le plaçant et en l’assistant dans une pièce calme et sombre, et en lui fournissant une alimentation riche en calories.

Les effets secondaires d’un sevrage chez le bébé par l’absorbation de médicaments peuvent se caractériser principalement par des difficultés neurocomportementales comme l’irritabilité et des tremblements, des anomalies, des difficultés à se nourrir et des pleurs excessifs.

Il semblerait que le sevrage des opiacés ou des sédatifs-hypnotiques peut être mortel pour le bébé. Les opiacés sont souvent prescrits chez les femmes enceintes atteintes de douleur chronique.

À l’échelle nationale aux États-Unis, les besoins en sevrage néonatal ont passé de 8000 cas en 1995 à 12 000 en 2008.

Selon une enquête en 2009, près de 5 % des femmes enceintes avaient consommé des drogues autres que des médicaments, telles que de l’héroïne, et près de 12 % s’étaient livrés à de fortes consommations d’alcool.

Catégories
Uncategorized

Nouvelle avenue pour les bébés de mères toxicomanes

Un nouveau médicament, la buprénorphine, permettrait aux bébés nés de mères toxicomanes de rester moins longtemps à l’hôpital et de vivre un sevrage plus supportable, et ce, à un moindre coût.

Les résultats d’une étude publiée dans le New England Journal of Medicine indiquent en effet que ce médicament est tout aussi efficace chez la mère et chez son bébé que la méthadone.

Dans le cadre de cette étude, les bébés qui ont reçu de la buprénorphine ont eu besoin de moins de morphine que ceux soignés avec la méthadone pour traiter leur syndrome d’abstinence néonatale.

De plus, moins de jours ont été nécessaires au traitement de ce syndrome (4,1 au lieu de 9,9). Les poupons ont donc été hospitalisés moins longtemps, soit 10 jours au lieu de 17,5.

Beaucoup d’espoir réside donc en ce médicament qui pourrait réduire en plus les coûts liés au sevrage de la mère et de l’enfant. Finalement, les bébés en cause connaîtraient un soulagement plus rapide de leurs souffrances.

Catégories
Uncategorized

Le sevrage de la cigarette, plus difficile pour les femmes

Un sondage Angus Reid, mené pour le compte de Johnson & Johnson, nous apprend que les femmes sont plus préoccupées par l’irritabilité et le gain de poids provoqués par le sevrage de la cigarette, au point où elles remettent en question l’abandon de cette habitude.

77 % des répondantes ont affirmé être inquiètes à l’idée d’engraisser lors de l’arrêt du tabagisme, comparativement à 48 % de la gent masculine.

De plus, dans 10 % des cas, les femmes interrogées ont avoué griller des cigarettes dans l’espoir de mieux contrôler leur poids, voire même maigrir.

« L’image de soi chez la femme est très souvent biaisée et tend à encourager un tel comportement », a expliqué Nadine Bonneville, nutritionniste et intervenante en cessation tabagique à la Clinique d’aide aux fumeurs de l’Hôpital Laval de Québec.