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Gillian Anderson aime taquiner Jamie Dornan

Gillian Anderson et Jamie Dornan semblent s’amuser comme des petits fous sur le plateau de la série The Fall.

L’ex-agente Scully de X-Files est de retour en force avec deux rôles d’importance à la télévision ces temps-ci, dont l’un aux côtés de Jamie Dornan.

Gillian Anderson révèle à E! adorer taquiner et rire de son nouveau partenaire, qui ne se prendrait pas vraiment au sérieux malgré son statut.

Jamie Dornan est devenu une vedette internationale lorsqu’il s’est vu confier le rôle principal masculin dans Fifty Shades of Grey. Alors que le film est sur le point d’être lancé (13 février), Jamie Dornan garderait les pieds sur terre.

« Il est très facile à taquiner. C’est super, parce que je l’agace beaucoup. Spécialement sur son nouveau statut de sex-symbol », explique Anderson.

L’actrice de 46 ans sait très bien par quoi passe actuellement Jamie Dornan, elle qui était devenue une superstar internationale et un sex-symbol à la suite du succès fulgurant de la série X-Files.

La seconde saison de The Fall arrive sur Netflix (US) le 16 janvier 2015.

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Iggy Azalea sommée de s’excuser à Azealia Banks par des pirates informatiques

L’ère des pirates informatiques se poursuit. Cette fois, c’est la rappeuse Iggy Azalea qui se voit sommée de s’excuser à son homologue Azealia Banks, sous peine de représailles virtuelles.

 

C’est qu’une guerre de mots fait actuellement rage entre Iggy Azalea et Azealia Banks. Il semble qu’une partie de la communauté des pirates informatiques soit du camp de Banks.

 

La guerre entre les deux chanteuses a été initiée par les déclarations d’Azealia Banks envers Iggy Azalea, qu’elle jugeait indifférente face aux problèmes de la communauté noire à la suitedu rejet des accusations du policier de New York qui a enlevé la vie d’Eric Garner.

 

Les menaces de ce qui est considéré comme une branche du groupe Anonymous révèlent l’existence d’un sex tape mettant en scène Azalea. Le film serait publié en ligne si la rappeuse refuse de s’excuser auprès de Banks et des manifestants de New York.

 

La rappeuse nie catégoriquement l’existence d’un tel film.

 

Us Magazine rapporte qu’Iggy Azalea n’a cependant pas relancé Azealia Banks sur Twitter depuis les menaces.

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Potins

Big n’a pas de bons mots pour Carrie Bradshaw

Dans une rencontre surréelle entre la réalité et la fiction, Chris Noth, l’interprète de Mr. Big ou Big dans la série à succès Sex in the City, n’a pas que de bons mots au sujet de la populaire Carrie Bradshaw, incarnée par Sarah Jessica Parker.

Noth estime que Bradshaw est à tort représentée et perçue par ses fans comme une victime de l’amour et de son personnage, rapporte Digital Spy, ce qui serait plutôt loin de la réalité, selon sa propre analyse.

« C’est drôle, parce qu’avec The Good Wife, les gens m’accusent de toujours jouer des hommes puissants. Mais ils ont des faiblesses. Big était puissant parce qu’il avait beaucoup d’argent et il pouvait sembler être en contrôle de la relation, mais il était une épave émotionnelle. En fait, il était ce qu’il était, mais il ne prétendait pas être autre chose. C’est Carrie qui prétendait être quelqu’un d’autre. Il ne l’a jamais trompée. La relation n’a pas marché, et il s’est marié. Carrie a eu combien de petits amis? Elle était en fait une fille facile (rires) », lance Chris Noth, mi-sérieux, mi-blagueur, en entrevue avec news.com.au.

Ces déclarations surviennent au moment où un troisième film basé sur la franchise Sex in the City serait en développement, selon plusieurs rumeurs. On pourrait s’attendre à une tournure explosive après ces propos de la part de Chris Noth.

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Big n’a pas de bons mots pour Carrie Bradshaw

Dans une rencontre surréelle entre la réalité et la fiction, Chris Noth, l’interprète de Mr. Big ou Big dans la série à succès Sex in the City, n’a pas que de bons mots au sujet de la populaire Carrie Bradshaw, incarnée par Sarah Jessica Parker.

Noth estime que Bradshaw est à tort représentée et perçue par ses fans comme une victime de l’amour et de son personnage, rapporte Digital Spy, ce qui serait plutôt loin de la réalité, selon sa propre analyse.

« C’est drôle, parce qu’avec The Good Wife, les gens m’accusent de toujours jouer des hommes puissants. Mais ils ont des faiblesses. Big était puissant parce qu’il avait beaucoup d’argent et il pouvait sembler être en contrôle de la relation, mais il était une épave émotionnelle. En fait, il était ce qu’il était, mais il ne prétendait pas être autre chose. C’est Carrie qui prétendait être quelqu’un d’autre. Il ne l’a jamais trompée. La relation n’a pas marché, et il s’est marié. Carrie a eu combien de petits amis? Elle était en fait une fille facile (rires) », lance Chris Noth, mi-sérieux, mi-blagueur, en entrevue avec news.com.au.

Ces déclarations surviennent au moment où un troisième film basé sur la franchise Sex in the City serait en développement, selon plusieurs rumeurs. On pourrait s’attendre à une tournure explosive après ces propos de la part de Chris Noth.

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Potins

Anne Hathaway sous-estimée et jugée pas assez sexy par les réalisateurs

Aussi difficile que cela puisse paraître, il semble qu’un grand nombre de réalisateurs estiment qu’Anne Hathaway n’est « pas assez sexy » pour certains rôles, rapporte BANG Media International.

D’autres douteraient de ses capacités à défendre certains rôles, ce qui aurait largement contribué à faire du parcours de l’actrice à Hollywood une épreuve perpétuelle sur le plan professionnel.

Hathaway peut cependant remercier le réalisateur Christopher Nolan de l’avoir intégrée dans Dark Knight Rises, puis dans Interstellar, lui permettant ainsi de changer de registre et démontrer l’étendue de son talent et de son charme.

« Même si j’ai eu de beaux succès, ça n’a jamais été facile. Plein de gens m’ont dit : “Tu n’es pas ceci, tu n’es pas comme ça, tu ne peux pas jouer ça”. Et je ne vous dis même pas le nombre de fois où l’on m’a dit que je n’étais pas sexy. J’ai eu du mal à me trouver du travail auprès des réalisateurs pendant un moment. Une fois qu’on a annoncé que je faisais Interstellar, le téléphone s’est remis à sonner », explique Anne Hathaway en référence au lendemain de sa victoire aux Oscars en 2013.

Interstellar arrive en salles le 7 novembre prochain.

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Anne Hathaway sous-estimée et jugée pas assez sexy par les réalisateurs

Aussi difficile que cela puisse paraître, il semble qu’un grand nombre de réalisateurs estiment qu’Anne Hathaway n’est « pas assez sexy » pour certains rôles, rapporte BANG Media International.

D’autres douteraient de ses capacités à défendre certains rôles, ce qui aurait largement contribué à faire du parcours de l’actrice à Hollywood une épreuve perpétuelle sur le plan professionnel.

Hathaway peut cependant remercier le réalisateur Christopher Nolan de l’avoir intégrée dans Dark Knight Rises, puis dans Interstellar, lui permettant ainsi de changer de registre et démontrer l’étendue de son talent et de son charme.

« Même si j’ai eu de beaux succès, ça n’a jamais été facile. Plein de gens m’ont dit : “Tu n’es pas ceci, tu n’es pas comme ça, tu ne peux pas jouer ça”. Et je ne vous dis même pas le nombre de fois où l’on m’a dit que je n’étais pas sexy. J’ai eu du mal à me trouver du travail auprès des réalisateurs pendant un moment. Une fois qu’on a annoncé que je faisais Interstellar, le téléphone s’est remis à sonner », explique Anne Hathaway en référence au lendemain de sa victoire aux Oscars en 2013.

Interstellar arrive en salles le 7 novembre prochain.

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Cinéma

Jennifer Hudson approchée pour Sex in the City 3

Après des rumeurs persistantes ces dernières semaines concernant l’intérêt de New Line et HBO pour un troisième film de la franchise à succès Sex in the City, voilà que l’une des protagonistes du premier film confirme l’affaire.

Il s’agit de Jennifer Hudson qui, pour ceux qui s’en souviennent, faisait partie de la distribution du premier volet cinématographique de Sex in the City, en 2008.

Le Journal de Québec rapporte en effet que l’actrice et chanteuse confirme une approche tentée par les producteurs de son côté pour un éventuel Sex in the City 3.

« Je pense que ça va se faire. Quelqu’un est d’ailleurs venu me voir à ce sujet. Donc si les pourparlers ont commencé, c’est qu’il y a des chances que le film voit le jour », révèle Jennifer Hudson.

Considérant l’intérêt avoué de Sarah Jessica Parker et Kristin Davis pour un ultime film de la saga Sex in the City, il est permis de croire que Carrie et sa bande seront de retour dans un avenir rapproché.

Et les fans loyaux de la série n’ont que peu à faire des critiques horribles des versions portées au grand écran…

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La difficile ascension de Lizzy Caplan

Lizzy Caplan aura pris plusieurs détours et emprunté divers chemins, dont certains qu’elle regrette, avant d’atteindre le statut dont elle peut maintenant profiter davantage.

Dans une entrevue accordée à Marie Claire (UK), Lizzy Caplan révèle que son parcours a été moins évident que celui de ses homologues du film Mean Girls, qui a lancé plusieurs carrières.

Notamment celle d’Amanda Seyfried et de Rachel McAdams, rapporte Film-News, qui ont profité d’un succès instantané avec la suite que l’on connaît.

Mais pour Caplan, la situation n’a pas été aussi évidente, et l’actrice s’est battue pour l’obtention de plusieurs rôles, allant même jusqu’à changer radicalement de look.

« La vérité, c’est que je n’ai pas travaillé pendant un an. J’ai teint mes cheveux blonds et me suis fait bronzer. Mais je me sentais comme une vendue », explique Lizzy Caplan.

Sauf que ce changement lui a ironiquement permis de ne pas se faire oublier, et l’actrice a par la suite décroché des rôles successifs, notamment dans Cloverfield et Hot Tub Time Machine.

Elle se retrouve maintenant confortablement en vedette dans Masters of Sex aux côtés de Michael Sheen, dans un rôle pour lequel elle vient de recevoir une nomination aux Emmy Awards.

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La difficile ascension de Lizzy Caplan

Lizzy Caplan aura pris plusieurs détours et emprunté divers chemins, dont certains qu’elle regrette, avant d’atteindre le statut dont elle peut maintenant profiter davantage.

Dans une entrevue accordée à Marie Claire (UK), Lizzy Caplan révèle que son parcours a été moins évident que celui de ses homologues du film Mean Girls, qui a lancé plusieurs carrières.

Notamment celle d’Amanda Seyfried et de Rachel McAdams, rapporte Film-News, qui ont profité d’un succès instantané avec la suite que l’on connaît.

Mais pour Caplan, la situation n’a pas été aussi évidente, et l’actrice s’est battue pour l’obtention de plusieurs rôles, allant même jusqu’à changer radicalement de look.

« La vérité, c’est que je n’ai pas travaillé pendant un an. J’ai teint mes cheveux blonds et me suis fait bronzer. Mais je me sentais comme une vendue », explique Lizzy Caplan.

Sauf que ce changement lui a ironiquement permis de ne pas se faire oublier, et l’actrice a par la suite décroché des rôles successifs, notamment dans Cloverfield et Hot Tub Time Machine.

Elle se retrouve maintenant confortablement en vedette dans Masters of Sex aux côtés de Michael Sheen, dans un rôle pour lequel elle vient de recevoir une nomination aux Emmy Awards.

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Demi Lovato estime que le sex-appeal passe par la confiance personnelle

Demi Lovato en a fait du chemin malgré son jeune âge, elle qui s’est retrouvée face à ses démons à la suite du tourbillon médiatique devenu son quotidien.

Après quelques passages en thérapie pour des troubles alimentaires, notamment, la jeune star devient progressivement un modèle pour les autres jeunes femmes en proie au doute et aux dépendances.

Déjà de retour en force, Lovato lance un message fort, estimant que le sex-appeal passe par la confiance personnelle, rapporte ELLE Canada.

« Pour moi, le sex-appeal est provoqué par le fait d’être confiant et confortable dans sa propre peau », lance une Demi Lovato convaincue.

Ensuite questionnée sur son type masculin, l’interprète de Heart Attack y va d’un autre bon message. « Pour avoir mon attention, un gars doit être franc, honnête, vrai, être capable de me supporter et de me faire rire », admettant constamment travailler sur elle-même pour tenter de s’améliorer.

De bien belles paroles pour une jeune femme d’à peine 21 ans, pop star de surcroît, alors qu’un grand nombre de ses homologues n’envoient pas nécessairement à la jeunesse un message très sain.