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Découvrez la vraie façon de prédire le sexe du bébé

Dès l’annonce d’une grossesse, c’est une pluie de prédictions qui tombe sur la future maman. La croyance populaire veut qu’un ventre haut et rond annonce un garçon. Pour une fille, c’est plutôt un ventre bas et qui s’étend sur les côtés.

Mais dans le Mail Online, on peut lire les résultats surprenants d’une nouvelle recherche. Dans son nouveau livre, la journaliste scientifique Jena Pincott se sert des plus récentes observations médicales pour répondre à ce mystère entourant la grossesse.

Selon Pincott, ce serait la poitrine de la future maman qui en dirait plus long sur le sexe du bébé à naître.

Comment différencier? La croissance d’un foetus mâle produit plus de testostérone et exige plus d’énergie, surtout qu’il sera plus gros. Le résultat; la croissance mammaire serait limitée. Tandis qu’avec le fœtus femelle, moins d’énergie est requise, ce qui n’affecte pas la croissance mammaire.

D’ailleurs, il a été rapporté que les femmes portant une fille observent une croissance de leurs seins d’une moyenne de 8 cm, contre 6.3 cm pour celles qui attendent un garçon.

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Grossesse : au bout de cinq semaines, une prise de sang dévoile le sexe du bébé

Grâce à un test non invasif, la prise de sang, les chercheurs de l’Hôpital général de Cheil, à Séoul en Corée du Sud, ont constaté que divers éléments de deux enzymes — qui peuvent être extraits du sang de la femme enceinte — indiquent le sexe du bébé dès cinq ou six semaines.

Avec ce test, qui est moins dangereux, les scientifiques disent qu’ils peuvent maintenant réduire de moitié l’attente des tests invasifs (extraire un échantillon de la poche amniotique qui protège le fœtus), qui exigent 11 semaines de grossesse pour identifier le sexe du bébé.

Le Dr Hyun Ryu Mee a déclaré que connaître aussi tôt le sexe est important si la mère est porteuse d’un gène du chromosome X qui peut causer une maladie comme la dystrophie musculaire ou l’hémophilie. Si le fœtus est porteur de la maladie, les parents pourraient choisir l’avortement plus tôt.

Toutefois, l’équipe fait une mise en garde : « Cette méthode pourrait aussi favoriser le potentiel de la sélection du sexe, surtout en Asie. Par conséquent, il devrait y avoir un examen attentif de l’utilisation de cet outil d’analyse dans les situations cliniques ».

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Le stress influencerait le sexe du bébé

Il y a désormais un nouveau facteur déterminant quant au sexe du bébé, selon ce qu’on lit sur Mail Online. Des chercheurs de l’Oxford University viennent d’établir un lien entre le stress et le sexe du bébé.

Ainsi, une femme qui vit du stress au travail ou dans sa vie amoureuse avant de tomber enceinte aurait plus de chances de mettre au monde une petite fille qu’un garçon.

Les chercheurs ont même relié la dernière crise économique, puis les mois suivant les attentats du 11 septembre 2001, à un plus grand nombre de naissances de petites filles par la suite.

Il semble que les hormones du stress, dont le cortisol, joueraient un rôle. C’est ce que l’on soutient après en avoir analysé les taux de plus de 300 femmes, au moment où elles tentaient de tomber enceintes.

En chiffres, on estime que les femmes les plus stressées avaient eu 75 % moins de chances de mettre au monde un garçon. Et parmi celles qui avaient eu les plus hauts taux de cortisol, 50 % ont démontré un ratio évident de naissances de petites filles.

Rappelons que le cortisol est sécrété plus fortement lorsqu’une personne vit un stress à long terme.

On croit que le taux de cortisol pourrait faire en sorte qu’il soit plus difficile à l’embryon mâle de s’implanter dans l’utérus. De plus, les bébés de sexe masculin seraient plus vulnérables lorsque ce taux est élevé, ce qui entraînerait plus de fausses couches, donc plus de naissances de petites filles.

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Connaître très tôt le sexe du bébé

Selon le Journal of the American Medical Association, on pourra connaître le sexe de sont futur enfant alors qu’il n’est encore qu’au stade fœtal. Une équipe de chercheurs vient de mettre au point un test non invasif pouvant déceler le genre du fœtus dès la septième semaine de grossesse.

Ce test permettrait aussi le diagnostic hâtif de certaines maladies génétiques du chromosome X. En ce moment, on emploie l’amniocentèse pour avoir un tel diagnostic.
 
Toutefois, il ne donnerait pas le diagnostic en lui-même; il pourrait mener à une baisse de 50 % des tests invasifs pour les maladies génétiques reliées au genre.
 
Nous savons depuis une dizaine d’années que l’ADN fœtal est déjà présent dans le sang de la mère au tout début de la grossesse. On atteint maintenant, avec ce test, un taux de réussite de 98,6 % pour détecter un fœtus femelle et 95,4 % pour détecter un fœtus mâle.