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Viagra féminin : le dossier avance rondement

Encore une étape vers la matérialisation et la commercialisation d’un « Viagra féminin » semble avoir été franchie, selon ce que rapporte Top Santé.

« Plusieurs médicaments visant à doper le désir sexuel des femmes sont en cours d’essai aux États-Unis. Ils s’adressent aux 10 à 30 % de femmes qui souffrent d’un manque de libido », titre le magazine Libération.

Contrairement au Viagra déjà connu, qui favorise l’érection chez l’homme de façon physiologique, le produit destiné aux femmes stimulerait plutôt la libido.

Le dossier provoque beaucoup de réactions à travers le monde, tantôt sympathiques, tantôt réfractaires, alors qu’on approche d’un lancement probable du produit.

Un spécialiste américain, Andrew Goldstein, affirme clairement la « nécessité de ne pas transformer les femmes en nymphomanes », alors que pour Odile Buisson, gynécologue, plusieurs femmes « présentent une insensibilité cérébrale aux stimulations sexuelles, et ces troubles du désir peuvent générer une détresse psychique ainsi que des difficultés dans les rapports aux autres ».

Il semble que les plus récents essais cliniques aient été suffisamment concluants, et que la commercialisation serait envisageable au courant de l’année 2015 ou 2016.

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La grippe d’homme pourrait bien exister

La « grippe d’homme » pourrait en fait bel et bien exister, si l’on se base sur les conclusions proposées dans une étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Par le fait même, l’étude invalide la notion de « sexe faible » attribuée à la femme depuis la nuit des temps, pour remettre le titre à la gent masculine!

Cette récente recherche britannique confirme certaines études précédentes voulant que la testostérone affaiblisse le système immunitaire, rendant ainsi les hommes plus vulnérables que les femmes.

Par conséquent, la fameuse grippe d’homme existerait, puisque selon cette même logique, les mâles humains seraient plus vulnérables à l’influenza et moins aptes à la contrer.

Des révélations qui risquent d’affecter l’égo de plusieurs hommes fiers, mais qui permet d’en comprendre davantage sur le développement et la prévention de certaines maladies.

En contrepartie, le système immunitaire plus performant de la femme la rendrait aussi plus vulnérable à des dommages aux organes découlant de réponses agressives du système. Ce serait d’ailleurs la raison pour laquelle plus de cas de diabète et d’arthrite, notamment, sont recensés chez les femmes, toujours selon cette même étude.

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La fréquence des relations sexuelles pourrait influencer le salaire

Un chercheur de l’Université Anglia Ruskin et son équipe se sont amusés à analyser les courbes de salaire et celles… des fréquences des rapports sexuels.

Fait étonnant, le Dr Nick Drydakis et ses collègues sont parvenus à démontrer une certaine cause à effet entre le nombre de relations sexuelles recensées hebdomadairement et le salaire moyen de sujets, rapporte le Daily Mail (UK).

Ainsi, après avoir analysé près de 8 000 dossiers de sujets âgés de 26 à 50 ans, les chercheurs ont conclu que ceux qui 4 relations sexuelles et plus par semaine gagnent en moyenne 5 % de plus que les autres.

De plus, ceux qui n’ont aucune vie sexuelle gagneraient en moyenne 3 % de moins que ceux qui ont des activités intimes, même sporadiques.

Attention, cependant, il existe deux lignes de pensée découlant de ces conclusions.

Soit les personnes plus épanouies sexuellement atteignent plus facilement le succès, soit les personnes qui ont plus de succès réussissent davantage à charmer!

Une chose est sûre, l’absence de rapports sexuels peut mener à des troubles de l’humeur comme l’anxiété ou la dépression, selon le Dr Drydakis, qui résume :

« Les gens ont besoin d’aimer et d’être aimés. L’absence de ces éléments peut mener à vivre de l’anxiété ou à la dépression, ce qui peut affecter leur vie professionnelle. »

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Les enfants obèses consomment beaucoup plus de calories que prévu

Des chercheurs ont établi un nouveau calcul mathématique tenant compte des besoins énergétiques réels, selon des facteurs tels que le sexe, l’âge, la croissance et l’activité physique. Les résultats ont été publiés dans The Lancet Diabetes & Endocrinology.

En réalité, auparavant, le modèle suivi était le même pour le jeune enfant que l’adolescent en pleine croissance, peu importe le sexe. Or, les garçons, lors de la puberté, brûlent plus de calories que les filles, notamment à cause du développement musculaire. Ainsi, l’apport calorique représentant une prise de poids est désormais ajusté et plus important chez les garçons que chez les filles.

D’autre part, cette nouvelle équation prouve qu’il ne s’agit pas uniquement de faire de l’exercice pour faire perdre du poids à nos enfants. Ils doivent également revoir les calories ingérées pour s’assurer une perte de poids efficace, d’autant plus que l’on doit considérer les périodes de croissance rapide.

Ainsi, comme l’indique Hall, l’auteur de la recherche, « un enfant qui n’a pas encore perdu son “gras de bébé” avant la puberté sera à l’étape idéale pour entreprendre un nouveau régime alimentaire plus équilibré. Il sera ainsi à même de transformer ce poids en masse musculaire équilibrée ».

Le Dr David Katz, directeur du Yale Prevention Research Center, fait également l’éloge de ce nouveau modèle nutritionnel. Anciennement, l’échelle indiquait qu’un enfant de 5 ans ayant accumulé un surpoids de 22 livres à 10 ans avait consommé 40 calories de trop quotidiennement pour en arriver à ce résultat. La nouvelle formule constate qu’il s’agit plutôt de près de 400 calories par jour. Un résultat beaucoup plus représentatif.

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Les condoms contre les infections vaginales

C’est une étude chinoise, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale PLoS ONE, qui fait le lien entre l’utilisation du condom et un taux supérieur de bactéries lactobacilles, protectrices contre l’infection.

Cependant, il est spécifié que bien que le lien soit fait, la causalité n’est toujours pas prouvée. La vaginose bactérienne est une infection se développant lorsque l’équilibre bactérien du vagin est déstabilisé.

Plus de 165 femmes sexuellement actives et âgées de 18 à 45 ans ont participé à la recherche. Elles ont toutes subi un frottis vaginal afin de déterminer le score de Nugent (nombre de bactéries), ainsi que la prévalence et l’influence des bonnes bactéries sur leur organisme.

Contrairement aux femmes portant le stérilet, en favorisant la présence de bonnes bactéries, celles utilisant le condom comme moyen de protection sexuel se seraient montrées moins à risque de contracter une vaginose bactérienne. Ces bonnes bactéries protègent également contre l’apparition de celles responsables, entre autres, du VIH.

Elles s’y prennent en rendant l’environnement vaginal quelque peu acide, et donc inhospitalier à ces mauvaises bactéries.

Mesdames, à vos condoms! Non seulement vous vous protègerez contre les grossesses et les maladies sexuellement transmissibles, mais vous aurez moins de chance de contracter ces désagréables infections ô combien inconfortables.

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L’été et la hausse de la libido, un phénomène réel?

Si certaines personnes se sentent plus lasses lors de la période estivale, particulièrement lors des pointes de canicules, d’autres ressentent spontanément un plus grand désir de faire l’amour.

Cette hausse de libido estivale est observée de façon assez fréquente, selon Top Santé, qui révèle des statistiques concernant la sexualité et les saisons.

Ces dernières semblent avoir un réel impact sur la libido des gens, à commencer par l’été qui, jusqu’à tout récemment, détenait la couronne de la procréation. Plus de bébés naissent maintenant en juillet, toujours selon les enquêtes et sondages rapportés, ce qui attribuerait la palme de la fécondité au mois de novembre.

37 % des femmes avouent être plus satisfaites sexuellement l’été, et 47 % affirment être plus performantes ou actives lors de cette même saison.

L’été apporterait aussi son lot d’expérience et d’aventures, alors que 76 % des répondants célibataires avouent se laisser tenter et charmer plus facilement en plein été. Aucune statistique concernant les aventures extra-conjugales, les tricheries et les expériences hors du commun, mais on peut imaginer…

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La perte de libido chez les nouveaux pères

Les nouveaux papas éprouveraient aussi une perte de libido à la suite de l’arrivée de bébé. C’est ce qu’une recherche américaine publiée dans le Journal of Sexual Medecine a dévoilé.

Les chercheurs de l’Université du Michigan ont fait le point sur les données cumulées par 114 conjoints de nouvelles mamans.

Alors qu’il est normal de concevoir qu’une femme ait besoin de temps pour récupérer de l’accouchement, entre autres à cause des hormones, des points de suture parfois nécessaires, de la fatigue et des nouvelles responsabilités, les hommes ne se retrouvent pas non plus sans soucis.

Un article paru sur Daily Mail (UK) fait le point sur l’étude et cite certains commentaires des spécialistes à la publication des résultats.

« Certains hommes se sentent épuisés, surtout une fois de retour dans la routine, quand ils sont de retour au travail », a déclaré Zita West, auteure de Your Pregnancy Companion.

« Ils se sentent souvent fatigués, car ils sont également réveillés la nuit et ne se reposent pas suffisamment quand ils rentrent à la maison parce qu’ils veulent partager du temps avec la famille », dit-elle.

Tout cela n’est pas idéal pour les relations sexuelles. Les résultats ont démontré que c’est plus d’un homme sur cinq qui ne fait pas l’amour en deçà de 3 mois après l’accouchement, surtout quand le conjoint est aussi fort conscient des changements physiques et psychologiques de sa douce.

Les couples doivent s’attendre à être patients avant de reprendre une intimité « normale », et ce, pour laisser le temps à l’homme et à la femme d’apprivoiser leur nouvelle vie.

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Parler sexe et intimité avec les jeunes

Alors qu’il se pourrait que le sujet soit plutôt tabou dans certains foyers, il n’en reste pas moins que le sexe fait partie de la vie de tous, et qu’il est préférable d’en parler en famille que de laisser vos jeunes tenter d’apprendre par eux-mêmes sur le web.

Cité sur PsychologyToday, le Dr John Chirban de Harvard explique l’importance de l’approche holistique du sujet afin de bien faire comprendre que le sexe n’est pas seulement l’acte physique ou faire des bébés. Le sexe, c’est aussi l’intimité, le plaisir, l’amour, l’amitié, la passion et la communication.

Il mentionne d’ailleurs que pour vous, en tant qu’être sexué et parent, il serait infiniment plus facile de faire comprendre la sexualité à vos enfants si vous vous êtes vous-même questionné sur le sujet. 

En analysant votre propre sexualité, vos attentes et ce que cela vous procure sur le plan des cinq sphères reliées (physique, émotionnelle, sociale, relationnelle et spirituelle), il vous sera plus aisé de bien communiquer avec vos enfants sans tomber dans les clichés et ce que les anciens apprentissages vous ont possiblement inculqué.

Une base solide les aidera à faire l’important lien entre le sexe, l’intimité et l’amour.

 

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Le sexe : Remède contre le vieillissement

Sur Le Figaro, un article fait état des résultats d’une recherche sur les bénéfices de la sexualité active effectuée par le Pr David Weeks, neuropsychologue à l’Hôpital Royal d’Édimbourg.

Ce sont 3500 hommes et femmes qui ont participé aux observations sur une durée de 10 ans. Une particularité qui réunissait chacun d’eux était qu’ils avaient tous l’air plus jeunes que leur âge.

Alors que l’étude tentait de déterminer ce qui pouvait en être la raison, les chercheurs ont été surpris d’apprendre que la sexualité régulière arrivait en deuxième place après l’activité physique.

Notons que par « régulière », il était question de 3 rapports par semaine.

Il a été déterminé que ces participants paraissaient être 7 à 12 ans de plus jeunes. Plus de trois rapports n’apportent pas de bénéfice supplémentaire. En réalité, les bienfaits de la sexualité vont bien au-delà de la seule apparence ou du plaisir physique et émotionnel.

Une autre étude datant de 2004, qui avait été publiée dans le Journal of The American Medical Association, avait déterminé que les hommes qui éjaculaient plus de vingt fois par mois avaient un risque de cancer de la prostate réduit d’un tiers par rapport à ceux qui le faisaient moins de huit fois par mois.

Alors, faites l’amour, c’est bon pour vous!

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Un lien est démontré entre la santé psychologique et la sexualité

Quelques études sur la sexualité paraissent aujourd’hui, dont une sur les effets d’une sexualité abondante, mais celle qui retient le plus l’attention est probablement cette autre qui trace un lien entre la santé psychologique et certains comportements sexuels.

C’est Santé Log qui rapporte cette étude, par ailleurs effectuée par des chercheurs de l’Université California State, voulant que les gens plus enclins aux aventures d’un soir ou uniques puissent présenter des signes d’instabilité psychologique ou d’anxiété.

Publiées dans le Journal of Sexual Research, les théories et conclusions avancées font état d’autres études précédentes sur le sujet, pas toutes concluantes, mais dont certaines avaient reconnu le lien entre le « vagabondage sexuel » et une faible estime de soi.

La présente tend plus à conclure que les gens plus stables sur les plans psychologique et émotif chercheraient moins les rapports sexuels constants avec plusieurs partenaires différents pour des histoires d’un soir.

Les chercheurs impliqués dans l’étude tiennent cependant à préciser qu’on parle bien d’un lien tracé, et non d’une cause à effet.

L’étude a été effectuée auprès de près de 4000 sujets.